Astral
Si le vent de quiétude,
Devait nous revenir,
En notre solitude,
Pour mieux nous endormir.
Il vaut mieux s'en défier,
Pour la solitude,
Comme l'être, déifié,
Mais est ce une habitude ?
Que soit l'âtre où je loge,
J'entends parler de lui,
De ses lois je déroge,
Mais la chance me suit.
Est ce par mon vécu,
Que j'ai l'amour impie ?
Ou bien par la vue,
Que me sourit la vie.
Je dévie tout le temps,
Et mon compte le ressent,
Mais à chaque moment,
Mon futur est présent.
C'est pas trop explicable,
Et même inextricable,
Ces racines si affables,
Font ma vie, supportable.
Si le vent des montagnes,
Nous porte sur son dos,
Rien n'est insurmontable,
Et le monde, nous attends.
Matthale ©11/08/2018
Si le vent de quiétude,
Devait nous revenir,
En notre solitude,
Pour mieux nous endormir.
Il vaut mieux s'en défier,
Pour la solitude,
Comme l'être, déifié,
Mais est ce une habitude ?
Que soit l'âtre où je loge,
J'entends parler de lui,
De ses lois je déroge,
Mais la chance me suit.
Est ce par mon vécu,
Que j'ai l'amour impie ?
Ou bien par la vue,
Que me sourit la vie.
Je dévie tout le temps,
Et mon compte le ressent,
Mais à chaque moment,
Mon futur est présent.
C'est pas trop explicable,
Et même inextricable,
Ces racines si affables,
Font ma vie, supportable.
Si le vent des montagnes,
Nous porte sur son dos,
Rien n'est insurmontable,
Et le monde, nous attends.
Matthale ©11/08/2018