Sonnet dit parallèle
Forme ABBA-ABBA-CDC-décédé
Anoblir ma vie
Je voyais tous les ans, les jours, les nuits, les heures
Disparaitre là-bas, hors de mes horizons
Ce voyage si long où se jouent les saisons
Je les rencontrais gai que n'en soit qu’il m’apeure
Délicate ma joie au fond de ma demeure
Je me l'entretenais dans ma relation
Avec ce monde fou m'offrant solution
Sans qu’au souvent blessé mon âme ne pleure
Et le soleil brillait de lumière folle
Elle luisait plus haut que le fort de ma fête
Pour l’échanger ourlée de ce tout qui assole
Le bonheur m'a laissé pratiquer défaite
En ma saine raison aux actes sans contrôle
Veux anoblir ma vie, en forgeant son faîte
©ƒC
Je voyais tous les ans, les jours, les nuits, les heures
Disparaitre là-bas, hors de mes horizons
Ce voyage si long où se jouent les saisons
Je les rencontrais gai que n'en soit qu’il m’apeure
Délicate ma joie au fond de ma demeure
Je me l'entretenais dans ma relation
Avec ce monde fou m'offrant solution
Sans qu’au souvent blessé mon âme ne pleure
Et le soleil brillait de lumière folle
Elle luisait plus haut que le fort de ma fête
Pour l’échanger ourlée de ce tout qui assole
Le bonheur m'a laissé pratiquer défaite
En ma saine raison aux actes sans contrôle
Veux anoblir ma vie, en forgeant son faîte
©ƒC