O petite fée aux yeux d’ange
Qui me hantent et me libère
Pour errer dans ton paradis
Et respirer ta voix en douce mélodie
Mais tu m’a sombré dans le dissimulé enfer
Que tu cachais derrière les louanges
Toute cette idylle n’était qu’un vil mensonge
Qui marque le présent et obnubile l’hier
Comme un Satan qui lancine l’érudit
Et même l’ange gardien devient maudit
Dans tes griffes de démon et ton cœur de fer
Excentrique, comme les êtres changent
Et ton céleste visage Inusité et étrange
Qui masque le mal par sa vénusté princière
Tu t’es emparé de mon âme comme tu l’as dit
Mais ma plume, affaiblie, refusée, répondit
«Je suis l’auréole sur ta tête d’adultère
La ou les anges et démon s’échangent
Tu apparais comme une accorte mésange
Sur les branches d’infâmes et de vulgaires
Un jour je saurai dévoiler le secret que tu perdis
Qui confuse l’ange et le démon en inédit
Qui est tu angélique diablesse éphémère ?
Tu es sans doute cet aigri mélange
Qui me hantent et me libère
Pour errer dans ton paradis
Et respirer ta voix en douce mélodie
Mais tu m’a sombré dans le dissimulé enfer
Que tu cachais derrière les louanges
Toute cette idylle n’était qu’un vil mensonge
Qui marque le présent et obnubile l’hier
Comme un Satan qui lancine l’érudit
Et même l’ange gardien devient maudit
Dans tes griffes de démon et ton cœur de fer
Excentrique, comme les êtres changent
Et ton céleste visage Inusité et étrange
Qui masque le mal par sa vénusté princière
Tu t’es emparé de mon âme comme tu l’as dit
Mais ma plume, affaiblie, refusée, répondit
«Je suis l’auréole sur ta tête d’adultère
La ou les anges et démon s’échangent
Tu apparais comme une accorte mésange
Sur les branches d’infâmes et de vulgaires
Un jour je saurai dévoiler le secret que tu perdis
Qui confuse l’ange et le démon en inédit
Qui est tu angélique diablesse éphémère ?
Tu es sans doute cet aigri mélange