Amour, toujours!
Souvent je t'imagine,
Lascive dans mes bras,
Amoureuse et câline
Offerte à nos ébats.
Je te sens réceptive
Au moindre des bisous
Que ma bouche, hâtive,
Laisse au creux de ton cou.
Tu m'entoures de tes bras,
Pour mieux me retenir,
Et du haut jusqu'en bas
Je nous sens défaillir.
Je sens déjà ma bite
Se gonfler sous le feu,
Et ta main qui s'agite
Pour libérer ma queue
Me donne des frissons.
Ta jupe est à tes pieds;
Le chemisier fripon
Vite déboutonné
Dévoile sous mes yeux
Et mes mains patelines
Le galbe généreux
D'une superbe poitrine.
J'ai sorti tes deux seins
Des bonnets de dentelles;
J'en presse d'une main
La rondeur sensuelle.
D'une douce caresse
Je me suis égaré
A l'ouvert de ton sexe,
Dans le fourreau secret
De ton intimité.
Lentement elle t'amène
A plus de volupté,
Sans pudeur et sans gêne.
Ma verge s'est dressée,
Semblable à un gourdin,
Rougeoyante et bandée.
Tu l'as prise en tes mains
Et d'un lent mouvement
En masturbe la hampe;
Ta bouche suce le gland,
Qu'elle aspire, lèche et lampe.
Le désir est trop fort.
Mon sexe te pénètre
Il en jouit, il ressort,
Va et vient en ton ventre.
Ton vagin est bouillant,
Humide et agité
De mille mouvements..
Enflammé, excité
Je sens venir l'orgasme.
Je jouis comme une bête;
Dans de violents spasmes
J'éjacule en ton être,
Au plus profond de toi...
Le calme est revenu...
Après tous ces émois,
Apaisés et repus,
Nous sommes enlacés
Comme sur un nuage.
Sur toi, je suis penché:
Qu'il est beau ton visage
Quand après tant d'ivresse,
Au fond de moi tes yeux
Distillent la tendresse
De ton cœur amoureux.
==============
Souvent je t'imagine,
Lascive dans mes bras,
Amoureuse et câline
Offerte à nos ébats.
Je te sens réceptive
Au moindre des bisous
Que ma bouche, hâtive,
Laisse au creux de ton cou.
Tu m'entoures de tes bras,
Pour mieux me retenir,
Et du haut jusqu'en bas
Je nous sens défaillir.
Je sens déjà ma bite
Se gonfler sous le feu,
Et ta main qui s'agite
Pour libérer ma queue
Me donne des frissons.
Ta jupe est à tes pieds;
Le chemisier fripon
Vite déboutonné
Dévoile sous mes yeux
Et mes mains patelines
Le galbe généreux
D'une superbe poitrine.
J'ai sorti tes deux seins
Des bonnets de dentelles;
J'en presse d'une main
La rondeur sensuelle.
D'une douce caresse
Je me suis égaré
A l'ouvert de ton sexe,
Dans le fourreau secret
De ton intimité.
Lentement elle t'amène
A plus de volupté,
Sans pudeur et sans gêne.
Ma verge s'est dressée,
Semblable à un gourdin,
Rougeoyante et bandée.
Tu l'as prise en tes mains
Et d'un lent mouvement
En masturbe la hampe;
Ta bouche suce le gland,
Qu'elle aspire, lèche et lampe.
Le désir est trop fort.
Mon sexe te pénètre
Il en jouit, il ressort,
Va et vient en ton ventre.
Ton vagin est bouillant,
Humide et agité
De mille mouvements..
Enflammé, excité
Je sens venir l'orgasme.
Je jouis comme une bête;
Dans de violents spasmes
J'éjacule en ton être,
Au plus profond de toi...
Le calme est revenu...
Après tous ces émois,
Apaisés et repus,
Nous sommes enlacés
Comme sur un nuage.
Sur toi, je suis penché:
Qu'il est beau ton visage
Quand après tant d'ivresse,
Au fond de moi tes yeux
Distillent la tendresse
De ton cœur amoureux.
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