Mon beau, mon merveilleux amant
Avec toi je vis sans tourment
Rien ne peut aller à contre courant
C'est notre histoire, notre chant
Mais toi Qu'éprouves tu réellement pour moi ?
Ouvre moi ton cœur et que suis je pour toi ?
Notre histoire peut-elle se mourir parfois
Tu le sais, je suis amante et amoureuse à la fois
Alors allons nous nous aimer toujours ?
Laissons nos mots parler d'amour
Boire tes paroles au fil des jours
Allé, viens montons à cette tour
Nous admirerons le coucher du soleil
Alors des mots nous nous chuchoterons à l'oreille
La haut, ce langage sera une pure merveille
Inventons nous un code à nul autre pareil
Aurons nous la chance de vivre un grand bonheur ?
Sans aucune haine et sans douleur
Que dirais tu de pénétrer en mon cœur
Une antre t'attend, enfonce toi à l'intérieur
Avec toi et par toi je veux être pénétrée
Sans brusquerie, avec une douceur réglée
Il n'y a plus de risque de procréer
Mais protège toi et mets un bonnet
Oublierais tu que notre amour est virtualité ?
Douterais tu de notre grande amitié ?
Oh ! toi, mon beau, mon merveilleux destrier
Avec toi je vis sans tourment
Rien ne peut aller à contre courant
C'est notre histoire, notre chant
Mais toi Qu'éprouves tu réellement pour moi ?
Ouvre moi ton cœur et que suis je pour toi ?
Notre histoire peut-elle se mourir parfois
Tu le sais, je suis amante et amoureuse à la fois
Alors allons nous nous aimer toujours ?
Laissons nos mots parler d'amour
Boire tes paroles au fil des jours
Allé, viens montons à cette tour
Nous admirerons le coucher du soleil
Alors des mots nous nous chuchoterons à l'oreille
La haut, ce langage sera une pure merveille
Inventons nous un code à nul autre pareil
Aurons nous la chance de vivre un grand bonheur ?
Sans aucune haine et sans douleur
Que dirais tu de pénétrer en mon cœur
Une antre t'attend, enfonce toi à l'intérieur
Avec toi et par toi je veux être pénétrée
Sans brusquerie, avec une douceur réglée
Il n'y a plus de risque de procréer
Mais protège toi et mets un bonnet
Oublierais tu que notre amour est virtualité ?
Douterais tu de notre grande amitié ?
Oh ! toi, mon beau, mon merveilleux destrier
