Amie et collègue
Que je reste un instant à pleurer sur ton cœur
Car pour toi mon amie et collègue j’y pense,
Une année est passée et ta douleur en transe
Revient tel un fantôme arpenter ce malheur.
Ma foi, je ne sais pas si ta larme épuisée
A pour toi ce regard dans ce pâle reflet,
Par ce vœu je t’apporte un soutien maigrelet
Ton chemin n’a trouvé que réponse blasée,
Car chacun nous t’offrons nos bras en réconfort,
Chasse court ton idée à ne fuir ce silence
Et nous éloignerons aussi loin la souffrance,
De ton âme l’espoir fleurissant dans ton for.
Chère amie aujourd’hui d’un rire nous germons,
Il est simple de dire ; ô combien nous t’aimons…
Maria-Dolores