Alcool
En cette brève enivrance, rare ou éternelle,
Pour l'oubli anodin de tristesses et désirs,
Qui reviendront demain plus forts et cruels,
Aux lueurs de l'alcool pour oublier le pire,
La douleur est la même au réveil dévastant,
Il y a le travail,, s'occuper oublie le souvenir,
Qu'il serait malheureux de flétrir en frelatant,
Indigente et traitresse boisson faisant pourrir,
Il paraît au demeurant de la pointe du jour,
Apporter réconfort, inspiration, fiction réelle,
Ce serait oublier ses mensonges, ses atours,
L'alcool est vagabond, la rue est sa gamelle,
J'ai bien connu la rue et ses degrés d'oubli,
Les migraines au matin coupant le jour l'élan,
Pour sortir de l'enfer et se replonger dedans,
Il y a peu de drames sans substances par ici,
Cet être malhonnête est comme un président,
Nous vantant le bonheur pour prendre notre argent,
Il ne faut pas grand chose pour pouvoir vivre sans,
S'occuper vivement, corps, esprit sans tourments.
En cette brève enivrance, rare ou éternelle,
Pour l'oubli anodin de tristesses et désirs,
Qui reviendront demain plus forts et cruels,
Aux lueurs de l'alcool pour oublier le pire,
La douleur est la même au réveil dévastant,
Il y a le travail,, s'occuper oublie le souvenir,
Qu'il serait malheureux de flétrir en frelatant,
Indigente et traitresse boisson faisant pourrir,
Il paraît au demeurant de la pointe du jour,
Apporter réconfort, inspiration, fiction réelle,
Ce serait oublier ses mensonges, ses atours,
L'alcool est vagabond, la rue est sa gamelle,
J'ai bien connu la rue et ses degrés d'oubli,
Les migraines au matin coupant le jour l'élan,
Pour sortir de l'enfer et se replonger dedans,
Il y a peu de drames sans substances par ici,
Cet être malhonnête est comme un président,
Nous vantant le bonheur pour prendre notre argent,
Il ne faut pas grand chose pour pouvoir vivre sans,
S'occuper vivement, corps, esprit sans tourments.