Après 2 ans d’attouchements
J’ai finalement ouvert les yeux
Sur une réalité désolante à laquelle j’essaie désespérément
De trouver un dénouement heureux
Je me suis plongée dans le silence
Pendant une éternité
Avant de me rendre à l’évidence
Qu'il ne me fallait pas l’accepter
J’avais 15 ans
Quand avec tes mains sales
Tu as traité comme un animal
Mon corps innocent
Tu m’as enlevé toute mon intégrité
Tu m’as humiliée, rabaissée, et abusée
Jusqu’à la fin
Jusqu’à ce que je ne sois plus rien
Et aujourd’hui, comme hier et demain
Les souvenirs du crime de tes mains
Me reviennent en tête
Sans jamais qu’ils ne s’arrêtent
Et bien que j’essaie d’oublier et d’avancer
Ma tête en décide autrement
En me plongeant dans des souvenirs violents
Auxquels, je ne peux pas échapper
J’avais 15 ans
Quand tu as volé mon innocence
Avec ton indésirable comportement
Qui m’a laissée dans d’horribles souffrances
Et il n’y a rien
Rien qui puisse me libérer de cette douleur
Qui est causée par l’horreur
Du souvenir du passage de tes mains
Et c'est avec le peu de force qui me reste
Que j’écris ces mots avec l'espoir
Que tu voies la portée de tes gestes
Et qu'ainsi il ne fasse plus si noir
J’ai finalement ouvert les yeux
Sur une réalité désolante à laquelle j’essaie désespérément
De trouver un dénouement heureux
Je me suis plongée dans le silence
Pendant une éternité
Avant de me rendre à l’évidence
Qu'il ne me fallait pas l’accepter
J’avais 15 ans
Quand avec tes mains sales
Tu as traité comme un animal
Mon corps innocent
Tu m’as enlevé toute mon intégrité
Tu m’as humiliée, rabaissée, et abusée
Jusqu’à la fin
Jusqu’à ce que je ne sois plus rien
Et aujourd’hui, comme hier et demain
Les souvenirs du crime de tes mains
Me reviennent en tête
Sans jamais qu’ils ne s’arrêtent
Et bien que j’essaie d’oublier et d’avancer
Ma tête en décide autrement
En me plongeant dans des souvenirs violents
Auxquels, je ne peux pas échapper
J’avais 15 ans
Quand tu as volé mon innocence
Avec ton indésirable comportement
Qui m’a laissée dans d’horribles souffrances
Et il n’y a rien
Rien qui puisse me libérer de cette douleur
Qui est causée par l’horreur
Du souvenir du passage de tes mains
Et c'est avec le peu de force qui me reste
Que j’écris ces mots avec l'espoir
Que tu voies la portée de tes gestes
Et qu'ainsi il ne fasse plus si noir
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