A un vil séducteur
Je vous ai vu, Monsieur, en galante compagnie,
Vous aviez ce sourire qui m'a tellement séduit.
J'ai cru naïvement, en vos beaux compliments
Et par vos belles paroles, me suis laissée bernée.
Je vous ai observé en ce lieu ombragé
Où je ne pensais pas, un jour, vous retrouver
Dans le parc, sur ce banc, où nous nous sommes assis,
Vous m'avez laissé croire, que vous étiez conquis
Les larmes roulent sur mes joues, mais je reste debout,
Complètement sonnée, le cœur tout chaviré.
J'ai cru, je vous l'avoue, à cette belle histoire
Et vous m'avez plongé dans la nuit la plus noire.
Je vous maudis, Monsieur, pour toute cette souffrance,
Pour tous vos beaux discours, qui me laissent en errance.
Je vais vite oublier votre sourire si doux,
Ne croyez pas, Monsieur, que je sois à genoux.
22 Août 2020
Copyright 2R6U1FA.
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Je vous ai vu, Monsieur, en galante compagnie,
Vous aviez ce sourire qui m'a tellement séduit.
J'ai cru naïvement, en vos beaux compliments
Et par vos belles paroles, me suis laissée bernée.
Je vous ai observé en ce lieu ombragé
Où je ne pensais pas, un jour, vous retrouver
Dans le parc, sur ce banc, où nous nous sommes assis,
Vous m'avez laissé croire, que vous étiez conquis
Les larmes roulent sur mes joues, mais je reste debout,
Complètement sonnée, le cœur tout chaviré.
J'ai cru, je vous l'avoue, à cette belle histoire
Et vous m'avez plongé dans la nuit la plus noire.
Je vous maudis, Monsieur, pour toute cette souffrance,
Pour tous vos beaux discours, qui me laissent en errance.
Je vais vite oublier votre sourire si doux,
Ne croyez pas, Monsieur, que je sois à genoux.
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