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A Saez

#1
Un soir, dans une journée noir,
Mon n'esprit s'alluma par tes paroles,
Me demandant qui voudrait te croire,
Et pensant que tu avais tord.

Jour et nuit, mes refléxion tournaient vers toi.
Disant que tu te prenais pour un roi,
Que la vie n'est pas une critique,
Et que seuls les abeilles piquent.

Lisant, freudenant, écoutant tes évangiles,
J'eu peur de me faire avoir,
Mais j'ai ouverts les yeux sur le Monde de la vie,
J'ai vu que ça ne vaut rien de croire.
Mais le savoir et le début de ceci,
Où la liberté, la vérité sont les visées,
Je suis "JE", ne jamais l'oublier,
Ce n'est plus le temps de manipuler.
De rester mouton, de rester pions,
D'un plateau fôlatrer par des fachos,
D'un capitalisme diriger pour Comsommer,
Mais par l'éternité, jamais il ne survivra.

Tu as été l'étincelle à la mèche du bonheur,
Le malheur, je l'ai laissé au Monde, à ces humains.
Les superflus sont devenue des écoeurs.
Pas comme à ces pigeons qui n'y comprennent rien.

De St Petersbourg à Paris,
Par ces jour étranges, j'accuse,
Ces jeunes, ces cons, ces vendus,
Les anarchitectures sans verdures.

Je rêve d'un monde parfait,
sans abatoir, sans pourboir,
Je suis perdu, "no place for us",
Monter la haut, "in this world".