A sœur ouverte,
D'après A cœur ou vers de Lilasys
Tu élèves mes plaisirs au-delà de ma rue,
Me délivrant des cauchemars sans lendemain,
L'exigence de casser les tabous incongrus,
Qui veulent attacher ta belle amitié sans fin.
Sœur, n'te préoccupe pas des autres, tu es vermeille,
Pour nous, pauvres troubadours tu rimes à contre-pieds,
Ton œil sur le monde, tu te révulses des canailles,
Amoindri, pour enfin leur faire un croche-pied.
L'amitié pour tes vers auxquels je m'abonne,
Sort donc de cette prison qui toujours t'enveloppe,
Cloitrée dans tes souvenirs vilains, tu t'adonnes,
Les vestiges du temps te reviennent en syncope.
Chante donc maintenant le soleil de nos vies,
L'élégance et l'humour peuvent aller de paire,
Tu n'es pas carabosse, ici, beaucoup t'envie,
Gracieuse et de ta bosse tu nous sors des vers.
Juste pour te faire sourire. . . .
D'après A cœur ou vers de Lilasys
Tu élèves mes plaisirs au-delà de ma rue,
Me délivrant des cauchemars sans lendemain,
L'exigence de casser les tabous incongrus,
Qui veulent attacher ta belle amitié sans fin.
Sœur, n'te préoccupe pas des autres, tu es vermeille,
Pour nous, pauvres troubadours tu rimes à contre-pieds,
Ton œil sur le monde, tu te révulses des canailles,
Amoindri, pour enfin leur faire un croche-pied.
L'amitié pour tes vers auxquels je m'abonne,
Sort donc de cette prison qui toujours t'enveloppe,
Cloitrée dans tes souvenirs vilains, tu t'adonnes,
Les vestiges du temps te reviennent en syncope.
Chante donc maintenant le soleil de nos vies,
L'élégance et l'humour peuvent aller de paire,
Tu n'es pas carabosse, ici, beaucoup t'envie,
Gracieuse et de ta bosse tu nous sors des vers.
Juste pour te faire sourire. . . .