A paumes nues
Les ailes de tes bras m’enveloppent, et sculptent,
à paumes nues, l’avenir de notre Amour,
ô ma Muse, ma Sirène,
déifie l’azur du ciel et des océans.
à paumes nues, l’avenir de notre Amour,
ô ma Muse, ma Sirène,
déifie l’azur du ciel et des océans.
Vois, les salves des étoiles et la lune
s’enfuient,
le Soleil explose dessus les bocages,
dessus la barque des brumes,
s’enfuient,
le Soleil explose dessus les bocages,
dessus la barque des brumes,
les sentes et les routes montent au loin,
là où le continent de ta Lumière
se mêle aux brasiers des galaxies,
signe encore sur la moire de tes rayons,
là où le continent de ta Lumière
se mêle aux brasiers des galaxies,
signe encore sur la moire de tes rayons,
à même l’archipel des hameaux,
à même les sillons des vallons,
à flanc de douceur,
l’immensité de ma Beauté.
à même les sillons des vallons,
à flanc de douceur,
l’immensité de ma Beauté.
J’enfile mot à mot les sceaux de la brise,
des chants d’oiseaux, et des fleurs des champs,
pour psalmodier à l’Univers
des odes saphiques, et des lais de Grâce,
des chants d’oiseaux, et des fleurs des champs,
pour psalmodier à l’Univers
des odes saphiques, et des lais de Grâce,
évoquant ta peau de miel en la mienne,
et à la brune,
au sommet des jours, et des saisons,
la houle de mes spasmes.
et à la brune,
au sommet des jours, et des saisons,
la houle de mes spasmes.
Seul nous importe
la magie de nos instants,
avec Toi, le passé n’existe pas,
le futur est le présent qui se déplace,
la magie de nos instants,
avec Toi, le passé n’existe pas,
le futur est le présent qui se déplace,
alors, n’hésitons plus,
guide-moi,
seins contre seins,
clitoris contre clitoris,
guide-moi,
seins contre seins,
clitoris contre clitoris,
jusqu’à
la rose éclose de ma Jouissance,
jusqu’à
l’isthme de notre Tendresse !
la rose éclose de ma Jouissance,
jusqu’à
l’isthme de notre Tendresse !
Sophie Rivière