Regard par les larmes encore troublé,
Blessures toujours non refermées,
Voilà déjà bien des années que je pleure,
Tentant seul de survivre à ce malheur.
Dans ce monde des vivants; je sombre,
Pleurant sur la tombe d'un frère mort,
Ou sous cette dalle tu reposes à l'ombre,
De ces années volées naissent nos remords.
Tu n'es plus que l'ombre de toi même,
Disparu à jamais toi mon frère aîné,
Me laissant seul face à moi-même,
Ce frère censé dans la vie m'aiguiller.
Je souffre en silence de ton absence,
Chaque jour ainsi tu hantes mon esprit,
Ses joies partagées, souvenirs d'enfance,
Ce frère aîné symbole de ma vie.
Je meurs en silence, mais tu resteras :
Mon rayon de soleil en ces jours de pluie,
Cette lumière éblouissante en ces jours si gris,
Blessures toujours non refermées,
Voilà déjà bien des années que je pleure,
Tentant seul de survivre à ce malheur.
Dans ce monde des vivants; je sombre,
Pleurant sur la tombe d'un frère mort,
Ou sous cette dalle tu reposes à l'ombre,
De ces années volées naissent nos remords.
Tu n'es plus que l'ombre de toi même,
Disparu à jamais toi mon frère aîné,
Me laissant seul face à moi-même,
Ce frère censé dans la vie m'aiguiller.
Je souffre en silence de ton absence,
Chaque jour ainsi tu hantes mon esprit,
Ses joies partagées, souvenirs d'enfance,
Ce frère aîné symbole de ma vie.
Je meurs en silence, mais tu resteras :
Mon rayon de soleil en ces jours de pluie,
Cette lumière éblouissante en ces jours si gris,