Toi qui me mis au monde un jour de soleil,
Toi qui m'allaitais quand j'avais faim,
Toi qui supportais mes pleurs sans fins,
Toi qui me donnais toujours l'éveil,
Je pense à toi.
Toi, qui la première, m'ouvris les yeux aux prodiges de la terre,
Toi qui me réjouissais le cœur
Pour me protéger du mystère et de la peur,
Tu seras toujours l'incontestable mère exemplaire.
Alors j'ai soif de ton apaisante voix.
Car jusqu'à ce que je sois gaillard
Tu m'as protégé comme la prunnelle de tes yeux;
Jamais verbe ne pourra faire mieux
Que la fierté et la profonde gratitude que j'éprouve à ton égard.
Merci maman
Toi qui m'allaitais quand j'avais faim,
Toi qui supportais mes pleurs sans fins,
Toi qui me donnais toujours l'éveil,
Je pense à toi.
Toi, qui la première, m'ouvris les yeux aux prodiges de la terre,
Toi qui me réjouissais le cœur
Pour me protéger du mystère et de la peur,
Tu seras toujours l'incontestable mère exemplaire.
Alors j'ai soif de ton apaisante voix.
Car jusqu'à ce que je sois gaillard
Tu m'as protégé comme la prunnelle de tes yeux;
Jamais verbe ne pourra faire mieux
Que la fierté et la profonde gratitude que j'éprouve à ton égard.
Merci maman