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A ! l'ombre de mes silences ....

lilasys

Maître Poète
#1


A l’ombre de mes silences … médaille de Bronze



Aussi profonde soit la vie dans ses maladresses,

L’aspect du courtil se saupoudre de libres échantillons,

Ovations d’arômes, prises en bouquets de caresses,
Monde où se rallient le fusil, poudre et trublions,
Beauté de l’enfant oublié dans ses gazouillis,
Ramage en frémissements, d’un cheval à bascule,
Ecoutez la plume effacer ces éternels gargouillis,


De surprise, vocation l’ombre où plane le crépuscule,
Expression où l’homme impose un silence foi, dignité,


Maître d’un orchestre, d’un panel d’anonymes,
Entretenu par des discours intellectuels, d’indignités,
Sommes-nous les citoyens épris d’un drapeau à l’hymne ?


S’indigner par les va-nu-pieds entrechoqués de cailloux,
Intime pensée d’une sphère épuisée, brisée sous les flammes,
Léguer la haine aux leaders oligarques d’achat de canailloux,
En plein ciel, les étoiles ne clarifient plus l’humain porte lames
Nature violée a nos yeux, où sont nos pelles, pioches et râteaux ?
Ce pays qui est le nôtre, dressons la table pour les convives !
Egalité, fraternité et incommensurable liberté cerise sur gâteau,
Savoir pardonner est un luxe, pour nos aïeuls un drame rédivive.


LILASYS



 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#2
A l’ombre de mes silences… (titre de lilasys)

Ainsi confondre mes envies par mes maladresses,

Le respect du futile en par foudre me livre l’aiguillon,

Opérations en dômes, méprises des bouquets de tendresses,
Mode qui me rallie au grésil, saupoudre les baillons,
Biseauté de l’instant troublé de mes gazouillis,
Rasage en franchissement, d’un rival qui recule,
Ecourtez l’enclume, repassez mon sempiternel fouillis,

De méprise en rotation, sombre où plane le minuscule,
Exception, l’homme dépose sa chance, sa foi, sa dignité,

Mettre un bourgmestre pour un appel anonyme,
Entretenu par des discours d’intellectuels sans dignité,
Sommes-nous les doyens au mépris d’un bon patronyme ?

S’empresser par une marche à pied d’être choqué par le flou,
Imprime l’insensé, par une mère épuisée, brisée sous les flammes,
Larguer les chaînes pour pouvoir débarquer les déchets de gabelou,
En plein fiel, les toiles défient plus que la main ces sortes de drames
Nature voilée aux vieux, où sont nos belles pioches, nos châteaux ?
Ce beaux terroir est nôtre, adressons fable pour que les cons vives !
Et gale alitée, frère mité ou un con misérable libre de crise bobo,
Savoir donner est un faste de nos parents, mais cette dame récidive.
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#3
La république n'est plus que l'ombre d'elle même, même plus l'ombre de la révolution, l'ombre des revanchards rode,
le peule n'a plus que son ombre pour le soutenir
 

lilasys

Maître Poète
#5
A l’ombre de mes silences… (titre de lilasys)

Ainsi confondre mes envies par mes maladresses,

Le respect du futile en par foudre me livre l’aiguillon,

Opérations en dômes, méprises des bouquets de tendresses,
Mode qui me rallie au grésil, saupoudre les baillons,
Biseauté de l’instant troublé de mes gazouillis,
Rasage en franchissement, d’un rival qui recule,
Ecourtez l’enclume, repassez mon sempiternel fouillis,


De méprise en rotation, sombre où plane le minuscule,
Exception, l’homme dépose sa chance, sa foi, sa dignité,


Mettre un bourgmestre pour un appel anonyme,
Entretenu par des discours d’intellectuels sans dignité,
Sommes-nous les doyens au mépris d’un bon patronyme ?


S’empresser par une marche à pied d’être choqué par le flou,
Imprime l’insensé, par une mère épuisée, brisée sous les flammes,
Larguer les chaînes pour pouvoir débarquer les déchets de gabelou,
En plein fiel, les toiles défient plus que la main ces sortes de drames
Nature voilée aux vieux, où sont nos belles pioches, nos châteaux ?
Ce beaux terroir est nôtre, adressons fable pour que les cons vives !
Et gale alitée, frère mité ou un con misérable libre de crise bobo,
Savoir donner est un faste de nos parents, mais cette dame récidive.
Merci Luron pour tout ce parcours ensemble , qu'il est long ce chemin !!qu'il est long ! Bisous
 

lilasys

Maître Poète
#6
La république n'est plus que l'ombre d'elle même, même plus l'ombre de la révolution, l'ombre des revanchards rode,
le peule n'a plus que son ombre pour le soutenir
Oui c'est vrai le peuple est trop divisé , l'argent achète l'homme sans conscience , sans fierté .....C'est le monde que nous offrons à nos enfants ....
Merci Le Chat d'être venu sur ma page qui est porteuse d'un pays divisé en plusieurs clans se qui n'arrange rien ! Bisous