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Résultat du concours 26 mots pour une histoire

LLUMIERELIVE

Maîtresse des concours
Membre du personnel
#1
CONCOURS : 26 mots pour une histoire

Du 1er aout au 15 aout inclus (les poèmes envoyés après le 15 août ne pourront participer)
Résultats 18 aout

Envoi de vos poèmes en copier/coller sur mon MP

Thème : 26 mots pour une histoire



Contraintes :

Forme libre (pieds non comptés mais rimes plates obligatoires, chaque vers doit se terminer par le son é)

Utiliser en ordre les mots suivants :

Ambiguïté
Barème
Cacophonie
Disette
Equivalence
Festival
Guéridon
Hantise
Inertie
Jeunesse
Kaolin
Litanie
Maussade
Nauséabond
Obsolète
Pitrerie
Quolibet
Rengaine
Statuaire
Tribulation
Urbanisme
Vestiaire
Watt
Xénos
Yeux
Zona


Ex
: Quelle ambiguïté en ces phrases recopiées
Où je ne sais par quels barèmes inculqués
Doivent en cacophonie se conjuguer
etc etc



Soit un poème de 26 vers relatant une histoire cohérente de votre choix

Attention à l’orthographe et à la ponctuation







Vos poèmes seront notés comme à l’accoutumée avec impartialité et dans le respect total des consignes.


Si vous souhaitez être juge contactez moi sur mon MP



A votre imagination
Médaille d'Or PROSE16 9.05
Médaille d'Argent ZUC 8.92
Médaille de Bronze LURON1er 8.68

1 COMPLIQUE LURON1er 8.23
Un tour de force réussi, poème bien agencé.
Juste un détail, dans votre dernière phrase :
vouliez-vous dire ? « Par mon texte, le juge le zona ... »
(Cannet et désuets : sons ê )
Où (mes grandes tribulations). Consignes bien respectées qui malgré le titre ne semblaient pas compliquées pour ce poète qui sait parfaitement jouer des mots

Et voilà dans une très grande ambiguïté
Du barème des notes, il va falloir composer
En évitant la cacophonie de ces mots alambiqués
En période de disette et vacances, je me sens obligé
Pour une équivalence aux poèmes de l’année
Comme celui que je fis lors du festival au Cannet
C’est sur le guéridon que je l’avais laissé
A ma plus grande hantise de le voir publié
Mais dans l’inertie de mes siestes, je l’avais oublié
N’étant plus d’une très grande jeunesse, je suis émoussé
Comme ma porcelaine en kaolin, un brin fêlée
Comme cette litanie de mots à enchevêtrer
Qui me rend maussade et un peu chagriné
De devoir tuer les maux nauséabonds enfilés
Qui deviennent obsolètes de devoir s’appliquer
Dans une immense pitrerie de mes vers inversés
Lâchant à la ronde des quolibets désuets
C’est une rengaine de l’humour de devoir vous amuser
Un élément statuaire pour un concours à terminer
Ou mes grandes tribulations vont vous enthousiasmer
Loin d’un urbanisme pour des pages imprimées
Pour qu’en rentrant aux vestiaires, je les vois primées
Egalisant tous les watts que j’ai dépensés
Demandant à Xénos de bien vouloir m’aider
Pour vous en mettre plein les yeux, exalté
Pour mon texte, le juge le zona dans le forum COMPLIQUE.


**************

2 Vingt six lignes pour dire "c'est fini" MANACHA 7.25
..... Une rupture parfaitement exprimée avec des mots pas faciles à placer.
( la jeunesse se sente )
( Attention : 2ème pers. Du sing. : toi qui regardes, qui écoutes, si tu penses, sois satisfait )
( je le resterai, je me battrai : futur simple--- te rappellerait: conditionnel )
( Son ê et non é : ferais, connais, resterai, battrai, satisfait, savais et quolibet )
Attention le son « ai » n’est pas « é ». Superbe missive de rupture !


L' ambiguïté, de mes sentiments s'est emparée
Et tel un barème, a décidé
De semer une cacophonie dans mes pensées
Je dis que je préférerais une disette que de les affronter
Mais je sais qu'en cas d'équivalence je le ferais
Ce festival, qui dans ma tête a commencé,
Sur ce guéridon je l'ai posé.
Mais ma hantise, tu la connais...
Ce n'est pas l'inertie de mes actions passées
Ni le fait que la jeunesse se sent écrasée...
Tu le sais, toi qui regarde ce kaolin écharpé,
Et toi qui écoute ma litanie privée
Je voudrais dire que je suis maussade et que je le resterais
Mais tu te sens comme un excrément nauséabond, donc je me battrais
Si tu pense que c'est obsolète alors soit satisfait.
Car ma pitrerie te rappellerai que je t'ai quitté
En plus c'est toujours le même quolibet
Et ça sera la même rengaine car tu es "navré".
La statuaire grecque, c'est comme notre amour, du passé
Il était comme une tribulation, et il s'est terminé.
Tu n'aimais pas l'urbanisme mais je le savais...
Et notre vestiaire a disparu, quand notre liaison a cessé
Tu dis qu'un watt suffirait pour rallumer la flamme de notre piété
Mais à présent Aphrodite est comme Xénos car je me suis lassée
Regarde moi dans les yeux pour que ça te sois confirmé
Pourtant tu t'accroches à moi comme la maladie de Zona. Ne peux tu pas me laisser ?


****************

3 L'historiette et son tohu- bohu de Mots IBOUJO 8.35
Une utilisation très cohérente des mots imposés. Bravo !
Une belle émotion en vous lisant, surtout vers cette fin si bien amenée.
( petit détail : seul cacophonie était demandé et non cacophonique )
( alphabet, jardinet, sonnet, Papounet : son ê et non é )
( obsolètes, je les ai épaulés, faite de...)
Sur leurs pages gagnait le cœur. Magnifiques souvenirs d’un poète en herbe qui depuis lors a su faire ses preuves

La langue de Molière est riche, est belle , elle a son AMBIGUITE
Je vous donne un BAREME, un taux quasi égal de facilités et de difficultés
CACOPHONIQUE ou silencieux , le mot Français , doit et exprime sa beauté
"Construire des mots" est jeu incalculable, pas de DISETTE dans l' alphabet
Le synonyme est utile EQUIVALENCE, la métaphore peut venger une armée
Pour le Poète rejoindre la métrique est FESTIVAL , l'écrivain va créer de son côté
Va inventer une histoire en pleine Nature ou sur le GUERIDON de sa muse éveillée
La page blanche, une HANTISE , sa présence? endiguée par une source ravivée
Ils ne se laissent pas pénétrer par l'INERTIE , ils sont fertiles d'activités
Ils se souviennent dans leur prime JEUNESSE , de cette porcelaine ocrée
Une argile , le KAOLIN où ils ont commencé à rimailler leur tout premier sonnet
En boucle, comme une LITANIE, ils se le récitaient, l'émotion pleurait du nez
La saison importe peu, été chaud ou automne MAUSSADE , les vers attardés
Sur leur page gagnaient le cœur, en robe courte au wc NAUSEABOND de mémé
C'était moi, réfugiée clandestine des toilettes OBSOLETES de mes grands- parents aimés
Reine en PITRERIES , je déclamais, eux s 'esclaffaient dans la chaleur des bouches ridées
Ils aimaient écouter et même sous leurs QUOLIBETS, je me montrais pleine de fierté
J'avoue que mes insistances faisaient RENGAINE, ils en redemandaient ,j 'étais bissée
STATUTAIRE de leur joie , Dieu m'en souvienne, ils revivaient , je les ai épaulé
En cette fin de Vie, faites de TRIBULATIONS malheureuses ou de liesses éprouvées
Un peu perdus devant un URBANISME qui se développait envahissant leur jardinet
Ils ressentaient cette voie de garage, ce VESTIAIRE, et pour les stimuler , montée
Sur des piles de cent mille volts et WATTS , je gesticulais des lèvres des fables de poupées
XENOS le baigneur amoureux de Pénémalpropre, une histoire à dormir debout, un jour de nuitée
Ma grand -mère ferma les YEUX , mes poèmes à la main, le sort s'acharnait sur Papounet
Un ZONA lui brûlait le poumon , sa résistance était faible comme une flamme vacillante ailée


**************

4 Vingt six mots pour une fin en thé. LURON1er 8.68 médaille de bronze
Bravo ! Consignes respectées en totalité
Bien qu'un peu lassante la répétition de « vingt six mots » a fini par me plaire, en voyant apparaître ce serpent de mots comme tricotés au centre de vôtre « ouvrage poétique », agrémentant la cohérence de votre histoire.
Pour bien chanter… faute de frappe excusable ! 26 mots dans des vers bien choisis


Vingt six mots d’Ambiguïté
Vingt six mots pour un Barème bien exécuté
Vingt six mots en Cacophonie tarabiscotée
Vingt six mots sans Disette à tricoter
Vingt six mots sans Equivalence pour ben chanter
Vingt six mots c’est un Festival pour enchanter
Vingt six mots d’un Guéridon pour gai luron à fêter
Vingt six mots, la Hantise de la promiscuité
Vingt six mots pour une Inertie des poètes encroûtés
Vingt six mots d’une Jeunesse absente de quantité
Vingt six mots sur un Kaolin émietté
Vingt six mots, une Litanie à exploiter
Vingt six mots Maussades qu’il nous faut édicter
Vingt six mots Nauséabonds qu’il nous faut étêter
Vingt six mots Obsolètes à escamoter
Vingt six mots en Pitrerie pour plaisanter
Vingt six mots de Quolibet entraînent l’ hilarité
Vingt six mots que je Rengaine sans ma jovialité
Vingt six mots pour une Statuaire de banalité
Vingt six mots pour une Tribulation déjantée
Vingt six mots d’Urbanisme pour vous dérouter
Vingt six mots sortant du Vestiaire complètement dépités
Vingt six mots pour un Watt survolté
Vingt six mots comme Xénos en pleine divinité
Vingt six mots pour tes Yeux lamentés
Vingt six mots qu’il Zona tout hanté


*************

5 Une histoire alambiquée ! PROSE16 9.05 médaille d'or
Magnifique ! J'ai adoré. Une grande maîtrise dans l'écriture
mais aussi du vocabulaire imposé.
( quolibet : son ê )
Contrôles référencés ou contrôle référencé, attention aux accords ! Fort amusant

Il me décoche un regard sans ambiguïté,
Ses yeux sont un barème de contrôle référencés.
S'en suit une cacophonie de sentiments mélangés
Provoquant une disette sévère de mon franc parler.
Il vérifie l'équivalence de mes défauts et qualités,
Un singulier festival de savants calculs et données !
Je pose incidemment mes fesses sur le guéridon ciré,
Avec la hantise de me faire habilement manipuler...
L'inertie de cet instant n'a que trop duré,
Ma jeunesse s'est lentement délitée,
Tel le kaolin qui s'effrite, fragilisé...
Je m'offusque de ses litanies répétées.
L'ambiance devient maussade et plombée
A cause de ce pervers nauséabond et dégénéré !
Souvenir obsolète, tête déboussolée,
Pitoyables pitreries à pleurer,
Pleurer pour d'horribles quolibets
Dont la rengaine s'est épuisée ;
Élevé au statuaire de la lâcheté,
Ses tribulations très loin l'ont emmené
Goûter à l'urbanisme des immenses cités.
Définitivement au vestiaire relégué !!!
Les watts de mon cerveau se sont révoltés,
Exit le Xénos, cet étrange et dangereux aliéné !
La rivière de mes yeux s'est asséchée,
Me reste à soigner un méchant zona qui s'est réveillé !!!


*************

6 Politiquement correcte RAYMOND3 8.15

Un écrit clair sans ambiguïté, clair et engagé...
(héritier, quartier, imprégné : son ié )
Fort beau pamphlet, bravo
Qui délaisse les sots, élève l’Ambiguïté
Témoin le Barème de l’image entachée
D’un audimat en Cacophonie arrangé
Fait montre de Disette à la face cachée
Sans Equivalence politique héritée
A la billetterie d’un Festival, des progrès
Sur un Guéridon recueillant les enjeux votés
Des candidats qu’une Hantise baigne de rivalité
Entends ! Silence Inertie de la Jeunesse et
Au théâtre du Kaolin, s’élève la mélopée,
D’un Sarko montre en mal de quartier
Litanie prouesses de mots peu imprégnés

Le spectacle Maussade de l’œuvre inachevée
Frôle le Nauséabond, ici-bas entier
Président ! Ta rime Obsolète frise le navré.
Pitrerie, Quolibet, Rengaine jaillit la vérité
Père François Statuaire de l’Elysée déguisé
Et ses Tribulations faites d’étrangetés
Dans l’Urbanisme d’un Vestiaire relooké
Ceux qui gueulent le plus ont des Watts télé
Vanter la politique toute en rose, idée
De Xénos chef de cabinet, son bras cassé !

Et vous trouvez ça drôle ! Comme l’héritier
Des ciments be-bert les Yeux à peine cachés

Voyez-vous c’est ça la France de quoi se gratter
Un Zona et de savoir comment on est gouvernés!


***********

7 Où Léo narre de vingt six mots !
A la façon d'une salve, j'adore, je lis.... LURON1er 8.61


Jeu de mot, humour teinté d'acidité, mais une excellente gymnastique
pour l'esprit, laissant libre cours à l'imagination. Consignes respectées. Bravo !
Quel humour ! avec des mots imposés bien placés


Et du titre, je vous fais part d’une petite Ambiguïté
Où Léo narre de vingt six mots sans vouloir vous expliquer
Pour vous faire vingt six vers un peu déséquilibrés
C’est le
Barème du peintre ou du foldingue pour l’hilarité
Fanatique d’une grande
Cacophonie pour une Disette impliquée
Une folie en suspension pour un mec un tantinet désaxé
En
Equivalence d’un Festival de Guéridons bien astiqués
Dans ses tableaux ou dans son langage insensé
Laissant au spectateur la
Hantise du choix entre humour ou gaieté
Entre le pire et le meilleur, la joie d’un être halluciné
Adepte de l’
Inertie, apprenant à la Jeunesse l’art tarabiscoté
Paranoïaque, si habile de ses mains, fabriquant la beauté
Agile avec l’argile, ce
kaolin ne doit pas être escamoté
Pour former après cuisson une porcelaine à posséder
Qu’il nous vend comme une
Litanie Maussade sophistiquée
Sans relent
Nauséabond, mais adeptes des mots Obsolètes déformés
Spécialiste de
Pitrerie et de Quolibet, il enchaîne en Rengaine fatiguée
Avec toutes ses muses et une cour jamais embarrassée
Pour sa
Statuaire, il se veut troublions plein de Tribulations dénaturées
Mettant au centre du monde une gare pour un
Urbanisme perturbé
Enfantant devant les médias des idées bien contournées
Et laissant au
Vestiaire ce courant sans Watt d’une lumière détraquée
Pour ne pas lire ce texte non raffiné mais torturé.
A la manière de cet artiste hors pair, virtuose des futilités

Xénos troublé, malade des Yeux et du Zona, en devient tout troublé
Laissant à votre pauvre écrivaillon ces lignes en légèreté.


Merci Salvator,
Pour une médaille, je suis FOU du chocolat, en vain !!!


**********
8 L'ABECEDAIRE DE MA CARRIERE MARYVELO 8.22

Une carrière mouvementée
On dit : la hantise et non l' hantise
( Sent ou sans mon papier ? ) ( ticket : son ê ) ( grillée, pit, papier, encrier, licence : son : )
Fort agréable et plaisante lecture , une envolée dans ces mots imposés

Les ambiguïtés ici demandées,
Réglementées par un barème codé,
Présage la cacophonie des poèmes à noter.
Une page concours sans disette souhaitée,
En toute équivalence réfléchissez,écrivez,
Soit le festival de bronze,argenté et doré
Sur le podium »guéridon » pour étonner.
Je plonge dans l'hantise d'échouer ou de tomber,
Subitement en inertie, désœuvrée
De la jeunesse perdue sans ticket...
Vite de ma mine kaolin j'écris une envolée
Qui hélas devient litanie désespérée.
Maussade vit mon esprit désenchanté,
Même pire,nauséabonde sent mon papier.
Obsolète,complétement démunie grillée,
De vous à moi,arrêtez vos pitreries sans pitié,
De vos quolibets je veux être épargnée,
De votre rengaine je suis fatiguée...mais...
Un nouvel art statuaire va me relancer
Dans des tribulations in imaginées,
De l'urbanisme je trône en notable licenciée,
L'écriture au vestiaire je rends l'encrier !!!
Mes statues par les watts sont éclairées,
Xénos pose plâtré en luxure de beauté,
Ses yeux globuleux possèdent un pouvoir illuminé,
De son regard pétillant il vous vaccine du zona à perpétuité.


*************

9 Sous le régime de la communauté RAYMOND3 8.33

Joli festival de sous-entendus. Un message très clair.
( effrayer, courriers : son :
Bien mené, sous le ton de l’humour

On nous dit pas d'Ambiguïté,
Le Barème pour tous fixé,
Cacophonie non tolérée
Pas de Disette faut composer
L'Equivalence de vingt six vers rimés en é
Bonjour le Festival des courriers
Sur le Guéridon à corriger
La Hantise du staff,noter!
Inertie débarrassée, évacuée
La Jeunesse est là pour assurer.
Un bon casse-croûte livré
Des assiettées en Kaolin signées

Limoges attention rien casser
La Litanie de Bernardaud peut effrayer

De quoi rendre Maussade les plus excités
Et le repas devenir Nauséabond rien qu'en pensée.
Aux poèmes rien au hasard l'Obsolète est accepté
De même les Pitreries,Quolibets Rengaine en tenue de livrée.
Le Statuaire aura pour lui tous les modèles de poèmes classés
Les Tribulations personnelles traitées en particulier,
L'Urbanisme disciplinaire pour le concours sera loué,
Resteront au Vestiaire,les poèmes porno, normal il faut sauver l'humanité
Pas de gaspillage les Watts pour les jours sombres seront réservés,
Bé oui! Xénos a laissé des consignes à nous de respecter!
Sinon il ne restera que les Yeux pour pleurer,
Et les boutons vont fleurir comme un Zona bien planté!

**********

10 Abécédaire WILLYPOETE 7.28

Vingt six mots employés, mais inertie, jeunesse, litanie, ne se terminent pas par le son é.
( quolibets : son ê , ouble : son : )
« Fut à attraper un zona condamné » : un peu flou.
Peut-être que « Fut attrapé, au zona condamné. » aurait été plus clair ( il me semble.)
Attention rimes en é imposées…fort bon rythme


Pour lever toute ambiguïté
Sur les barèmes imposés
Qui ferait cacophonie spontanée,
Il n’y a pas de disette annoncée
Une équivalence sera trouvée
Pour organiser le festival d’été,

Les guéridons proposés
Pour la hantise des apeurés
Par un manque d’inertie
Dû à leur grande jeunesse,
Pourront avec du kaolin modeler
Leur principale litanie,

Rester maussade à l’idée
De ces nauséabondes fumées
Sortir d’obsolètes cheminées,
Ne serait que pitrerie affligée,
Et vous recevrez quolibets
Comme une rengaine méritée,

Tout ce statuaire disposé
Subit des tribulations détestées
A cause d’un urbanisme déluré,
Dans un vestiaire on a trouvé
Le roman que Mr Watt a oublié
Parlant du Xénos de l’antiquité
Qui pour les yeux de sa dulcinée,
Fut à attraper un zona condamné.

************

11 Le festival des détraqués, ZUC 8.10

Voilà qui est bien envoyé ? Belle conclusion.
Un style percutant, une cohérence dans la succession des mots imposés. Bravo !
( progrès, palais, tressaillait, postillonnaient : son ê )
( sourciller, banquiers, éveillés, dépouillé : son ié )
( petit oubli : de Soissons )
Véritable danse macabre dans ce festival!

Dans l’ambiguïté des jours sans originalité,
J'avance au barème d'un compteur kilométrique limité,
Dans la cacophonie d'un moteur enrayé,
Ne craignant la disette d'une pénurie de carburant annoncé,
Consommant l'équivalence d'une terre vingt fois dépouillée,
Au festival des détraqués je me suis présenté,
Là un guéridon napoléon III jouait la salle à manger,
Devenant la hantise des fous d'être bien nés,
Devant l'inertie cohérente des marginaux et des révoltés du progrès,
Quand une jeunesse ivre d'une liberté délavée,
Massacrait sur une mazurka le kaolin fin d'un service à thé,
La litanie des soupières en porcelaine de mémé tressaillait,
Rendant maussade le faux clown des RG,
Là le concours de pets nauséabonds réservé aux banquiers,
Fut jugé obsolète par le premier sinistre édenté,
Et la pitrerie ordinaire d'un trader en costard fit l’unanimité,
Il gagna tout les quolibets du jour J sans sourciller,
Et la rengaine de la nuit tombait comme un dessin animé,
Donnant aux statuaires de glace le rythme endiablé
Leurs tribulations en danse macabre firent la rue s'éveiller,
Dans un urbanisme gris bétonné devenant marches du palais,
Les habits dans leur vestiaires oubliés s'indignaient de leurs nudités,
Et les haut parleurs crachant leur watt d'un rire postillonnaient,
Devant Xénos et sa cohorte étrange d’illuminée,
Leur yeux remplis d'émotions oubliant qu'ils étaient déjà condamnés,
Par le zona conventionnel des préjugés.


************


12 Critique sociale, ZUC 8.92 médaille d'argent

Un poème sans ambiguïté. On ne peut douter sur la destination de l'envoi de votre message...Bravo !
J'ai bien aimé « Sur Google Xénos n'est plus qu'une boutique, quelle étrangeté ? »
( après : son ê ) ( réfugs, priez : son )
Empli de vérités, très profond, porte à méditer

J'écris des mots sans ambiguïté,
Du moins je l'espère sur les barèmes édictés,
Dans la cacophonie politico-médiatique Bée !
Une disette économique morale et intellectuelle d'une société,
Un impérialisme capitaliste sans équivalence depuis l'antiquité,
Un festival de massacre de l'individu bien orchestré,
Les 7 d'or et les oscars détrônent Marianne sur le guéridon des libertés,
La hantise du berger voir les troupeaux s'élever
Dans l'inertie des masses laborieuses préférant leurs pâtées,
Le désespoir d'une jeunesse endigué par le foot et les jeux télévisés,

Kaolin fragile des nations qu'ils ont façonnés,
« Souviens toi du vase de Soissons » litanie mainte fois répétée,
Dans l’ambiance maussade donnent du liberté, égalité, fraternité,
Face aux vents nauséabonds qu'ils ont eux même soulevés,
Discours bien obsolète des pourvoyeurs de médiocrité,
La pitrerie électorale n'est plus qu'un jeu de télé-réalité,
Où le vainqueur sortira sous les quolibets, et après ?
La montreuse d'immigrés vous servira la même rengaine polluée,
Leur statuaire n'est plus que le cimetière d'une démocratie fanée,
« Les tribulations d'un chinois en Chine » d'un Président VRP,
D'un urbanisme galopant, seul signe de prospérité,
Laissant aux vestiaires les sans abris et les réfugiés,
Tous nos méga-watts ne ferons jamais esprits éclairés,
Sur Google Xénos n'est plus qu'une boutique, quelle étrangeté ?
Alors fermez les yeux incrédules et priez,
Le zona envahi le monde dans la fièvre et la cupidité.

 
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lyseron

Je reviens de loin, mais je ne vous oublie pas....
Membre du personnel
#2

J'ai hâte de vous lire, j'adore les histoires vraies ou pas....Bisous à tous !


 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#3
Et dans l'ordre un poème alambiqué c'est de plus en plus compliqué, surtout si on le termine à l'heure du thé, enfin ou t'es ? peut être avec les fées.......
 
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luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
Quand l’Ambiguïté du Barème amène à la Cacophonie, la Disette s’estompe en Equivalence pour un Festival de Guéridon, la Hantise qui nuit à l’Inertie de la Jeunesse. Le Kaolin est pour eux comme une Litanie Maussade de termes Nauséabonds et Obsolètes qui représentent Pitrerie et Quolibet comme une Rengaine Statuaire de Tribulation pour un Urbanisme de Vestiaire éclairé par les Watts de Xénos aux Yeux atteint de Zona.
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#7
ça va pas être du gâteau ça risque d'en décourager quelques uns, moi-même qui suis gourmand j'hésite
 
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zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#8
à t'on le droit de déformer un mot de la liste en jeu de mot?
 
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luron1er

Administrator
Membre du personnel
#9
Mais j’aurais pu vous soumettre après quelques déformations:

Quand l’âme bi guidée en bas règne, ça amène à une caque aux folies, de là dis, jette l’estompe en est, qui va, lance pour la fesse du val, mais guérit donc ! La vantardise nuit à l’inertie de tes jeunes fesses. Le chaos vilain est pour eux comme cette litanie maussade aux termes nauséabonds et obsolètes que présentent ces pitres qui rient et qui collent au gibet comme cette rengaine non salutaire de tribulations pour un urbain, schisme de vestiaire, déclaré par des kilo watts de gênes aux yeux comme déteint le zona.
 
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lyseron

Je reviens de loin, mais je ne vous oublie pas....
Membre du personnel
#11
D'accord!:)

On nous dit pas d'Ambiguïté,
Le Barème pour tous fixé,
Cacophonie non tolérée
Pas de Disette faut composer
L'Equivalence de vingt six vers rimés en é
Bonjour le Festival des courriers
Sur le Guéridon à corriger
La Hantise du staff,noter!
Inertie débarrassée, évacuée
La Jeunesse est là pour assurer.
Un bon casse-croûte livré
Des assiettées en Kaolin signées
Limoges attention rien casser
La litanie de Bernardaud peut effrayer
De quoi rendre Maussade les plus excités
Et le repas devenir Nauséabond rien qu'en pensée.
Aux poèmes rien au hasard l'Obsolète est accepté
De même les Pitreries,Quolibets Rengaine en tenue de livrée.
Le Statuaire aura pour lui tous les modèles de poèmes classés
Les Tribulations personnelles traitées en particulier,
L'Urbanisme disciplinaire pour le concours sera loué,
Resteront au Vestiaire,les poèmes porno, normal il faut sauver l'humanité
Pas de gaspillage les Watts pour les jours sombres seront réservés,
Bé oui! Xénos a laissé des consignes à nous de respecter!
Sinon il ne restera que les Yeux pour pleurer,
ET les boutons vont fleurir comme un Zona bien planté!

Bravo ! amicalement....Lys
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#12
D'accord!:)

On nous dit pas d'Ambiguïté,
Le Barème pour tous fixé,
Cacophonie non tolérée
Pas de Disette faut composer
L'Equivalence de vingt six vers rimés en é
Bonjour le Festival des courriers
Sur le Guéridon à corriger
La Hantise du staff,noter!
Inertie débarrassée, évacuée
La Jeunesse est là pour assurer.
Un bon casse-croûte livré
Des assiettées en Kaolin signées
Limoges attention rien casser
La litanie de Bernardaud peut effrayer
De quoi rendre Maussade les plus excités
Et le repas devenir Nauséabond rien qu'en pensée.
Aux poèmes rien au hasard l'Obsolète est accepté
De même les Pitreries,Quolibets Rengaine en tenue de livrée.
Le Statuaire aura pour lui tous les modèles de poèmes classés
Les Tribulations personnelles traitées en particulier,
L'Urbanisme disciplinaire pour le concours sera loué,
Resteront au Vestiaire,les poèmes porno, normal il faut sauver l'humanité
Pas de gaspillage les Watts pour les jours sombres seront réservés,
Bé oui! Xénos a laissé des consignes à nous de respecter!
Sinon il ne restera que les Yeux pour pleurer,
ET les boutons vont fleurir comme un Zona bien planté!
à mettre dans le concours, il a toute sa place.....
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#19
Sans attendre les notes, je ne peux dire que "chapeau" de pouvoir dire avec les mêmes mots des discours si différents mais si bien prononcés.
 
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