Le grand écrivain et poète romantique est retrouvé
« Il est un secret de la vie de Gérard de Nerval qui lui conciliera la sympathie et l'admiration des cœurs aimants : c'est l'amour qui l'avait rendu fou : c'est l'amour qui l'a tué.
Ce preux chevaleresque, ce poète idéal a passé, le front pâle et le cœur brisé,
au milieu d'un siècle gui n'était pas le sien, et dans lequel, par un singulier anachronisme,
il semblait personnifier le génie mélancolique et incompris de Werther. »