Je t'aime mon ami, mon frère (2ème partie)
Bonjour mon ami, comment vas-tu aujourd'hui ? Je suis content de te voir.
Je n'ai pas grand-chose à te raconter, mais je suis si heureux à côté de toi.
Le noisetier à bien grandit, et tes enfants aussi, j'en suis si fier et content.
Ta femme est resplendissante tu sais, elle brille comme un soleil naissant.
Quoi te dire mon grand, je suis assis sur la souche, dans le champ, tu sais.
Le vieux cerisier qu'on avait coupé, parce qu'on a jamais pu le déraciner.
Tu te souviens de cette journée ? Sous la pluie battante, en train de le scier
Parce qu'il menaçait de tomber sur le terrain de jeu des enfants, que tu as crée.
Ah ! Tu veux que je te parle de moi ? Tu n'as pas changé, toujours à t'inquiéter.
Pour ma santé. Ben ça va, enfin, je fais aller, le temps change, les nuages ont bougés.
Comment ? Si je suis apaisé ? Bien sur ne t'en fais pas pour si peu, tu es si occupé.
Je voudrais tellement pouvoir t'aider, même rien qu'un peu, à tout leur expliquer.
Tu veux tellement m'aider, nous aider, prends un peu soin de toi, de temps en temps.
Arrête toi un moment. Oui, je sais, les mois ont passés, l'eau s'est écoulée, doucement.
Pardon ? Tu dois déjà t'en aller ? Je comprends, tu es très demandé, ne t'en fais pas.
J'arrose les fleurs tous les jours, et je laisse le marbre blanc, pour qu'on ne t'oublie pas.
Tu as encore un peu de temps ? Salue pour moi tous les absents, s'il te plaît, merci.
Tu veux que je fasse une commission ? Pour ta femme ou tes enfants ? Tu es parti ?
Je pleure tout le temps, tu le sais bien, c'est toi qui me consolais, quand j'étais petit.
Et longtemps après encore, tu étais mon réconfort, oui, je t'embrasse aussi, mon ami.
Bonjour mon ami, comment vas-tu aujourd'hui ? Je suis content de te voir.
Je n'ai pas grand-chose à te raconter, mais je suis si heureux à côté de toi.
Le noisetier à bien grandit, et tes enfants aussi, j'en suis si fier et content.
Ta femme est resplendissante tu sais, elle brille comme un soleil naissant.
Quoi te dire mon grand, je suis assis sur la souche, dans le champ, tu sais.
Le vieux cerisier qu'on avait coupé, parce qu'on a jamais pu le déraciner.
Tu te souviens de cette journée ? Sous la pluie battante, en train de le scier
Parce qu'il menaçait de tomber sur le terrain de jeu des enfants, que tu as crée.
Ah ! Tu veux que je te parle de moi ? Tu n'as pas changé, toujours à t'inquiéter.
Pour ma santé. Ben ça va, enfin, je fais aller, le temps change, les nuages ont bougés.
Comment ? Si je suis apaisé ? Bien sur ne t'en fais pas pour si peu, tu es si occupé.
Je voudrais tellement pouvoir t'aider, même rien qu'un peu, à tout leur expliquer.
Tu veux tellement m'aider, nous aider, prends un peu soin de toi, de temps en temps.
Arrête toi un moment. Oui, je sais, les mois ont passés, l'eau s'est écoulée, doucement.
Pardon ? Tu dois déjà t'en aller ? Je comprends, tu es très demandé, ne t'en fais pas.
J'arrose les fleurs tous les jours, et je laisse le marbre blanc, pour qu'on ne t'oublie pas.
Tu as encore un peu de temps ? Salue pour moi tous les absents, s'il te plaît, merci.
Tu veux que je fasse une commission ? Pour ta femme ou tes enfants ? Tu es parti ?
Je pleure tout le temps, tu le sais bien, c'est toi qui me consolais, quand j'étais petit.
Et longtemps après encore, tu étais mon réconfort, oui, je t'embrasse aussi, mon ami.