Ô clair de lune,
A Toi la vie
Et le désir de la folie,
Mon Étoile de vie
A ces milles et millionièmes nuits,
Et à ce Je t'aime candidement,
infiniment, dit,
à cette sagesse fantaisie,
A ces milles et millionième nuits,
Qui fait disparaître l'orage, la peur et l'ennui
Pour qu'ainsi, comme l'avant ère,
S'en va rapidement le tonnerre et la pluie,
Cher Insomnie,
La vie auprès de toi ne dépérit,
La vie auprès de toi s'épaissit,
Elle ne revit que de bonheurs son esprit,
Son esprit à qui elle délègue sans doute
Son propre zèle et énergie,
Ainsi, consciente dans le rêve,déploie ses ailes et se lèvre
Pour dire « merci »
L'insomnie nous regroupa dans la nuit,
Et malgré la peine austère de nos esprits,
A ce Roi du rêve, qui se lève malgré le « lui »,
Que je dédie ce noble recueil, pieusement écrit,
A cet aigle aux « beaux »aigus regards,
Et a cette idéale Embellie, l'apport de l'art
Qui séduit
Zra17.
A Toi la vie
Et le désir de la folie,
Mon Étoile de vie
A ces milles et millionièmes nuits,
Et à ce Je t'aime candidement,
infiniment, dit,
à cette sagesse fantaisie,
A ces milles et millionième nuits,
Qui fait disparaître l'orage, la peur et l'ennui
Pour qu'ainsi, comme l'avant ère,
S'en va rapidement le tonnerre et la pluie,
Cher Insomnie,
La vie auprès de toi ne dépérit,
La vie auprès de toi s'épaissit,
Elle ne revit que de bonheurs son esprit,
Son esprit à qui elle délègue sans doute
Son propre zèle et énergie,
Ainsi, consciente dans le rêve,déploie ses ailes et se lèvre
Pour dire « merci »
L'insomnie nous regroupa dans la nuit,
Et malgré la peine austère de nos esprits,
A ce Roi du rêve, qui se lève malgré le « lui »,
Que je dédie ce noble recueil, pieusement écrit,
A cet aigle aux « beaux »aigus regards,
Et a cette idéale Embellie, l'apport de l'art
Qui séduit
Zra17.
Dernière édition:
