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Ô parcours cruel (attention susceptible de heurter les plus jeunes)

Blanc doré

Maître Poète
#1
De ce petit garçon haut comme trois pomme
Qui n'a rien demandé à personne. Juste se sentir libre et sourire à la vie. Voilà que déambule l'armada des éclairs noirs dans le regard, une sauvagerie par ci par là. La saleté incrusté dans l'esprit diabolisé pour en faire les frais ma gentillesse n'a plus osé me regarder. Dans un trou noir je me suis réfugié. Ma peine était sans effort, mes larmes un torrent de remords. Le chaos à l'appétit carnassier ma meurtrit, le fleur de poison à tout détruit. Un genou à terre, le regard tentant en vain de dessiner une nouvelle lune, la misère comme liasse d'infortune. Solitude était le nom de mon royaume, ma mère chantant sous ma paupière étincelle de nature, les seules baumes. École-prison, démence-passion, mes mots peine à exister, la mort hurle à rester enchaînée. Ils se jetent du haut de la falaise pour atterrir sur l'injustice profonde, la petite vie perd de sa lumière dans une austère désillusion. Engourdi par la peur, la tempête tout autour déchaîne une vil haine. Le ciel me tombe sur la terre, je perds, je traîne à petit feu je crève. Pantin d'exécution, fantôme de malheur puis statue de pierre, je trône depuis la fenêtre de l'exagération. Surgit puis ressurgit l'ombre mortifère du passé, je suis condamné à ne plus oser. Parfois fort, parfois fière, parfois déchiré ai je les armes nécessaires pour lutter contre la pénible sentence ?
 

simlecteur

Maître Poète
#2
De ce petit garçon haut comme trois pomme
Qui n'a rien demandé à personne. Juste se sentir libre et sourire à la vie. Voilà que déambule l'armada des éclairs noirs dans le regard, une sauvagerie par ci par là. La saleté incrusté dans l'esprit diabolisé pour en faire les frais ma gentillesse n'a plus osé me regarder. Dans un trou noir je me suis réfugié. Ma peine était sans effort, mes larmes un torrent de remords. Le chaos à l'appétit carnassier ma meurtrit, le fleur de poison à tout détruit. Un genou à terre, le regard tentant en vain de dessiner une nouvelle lune, la misère comme liasse d'infortune. Solitude était le nom de mon royaume, ma mère chantant sous ma paupière étincelle de nature, les seules baumes. École-prison, démence-passion, mes mots peine à exister, la mort hurle à rester enchaînée. Ils se jetent du haut de la falaise pour atterrir sur l'injustice profonde, la petite vie perd de sa lumière dans une austère désillusion. Engourdi par la peur, la tempête tout autour déchaîne une vil haine. Le ciel me tombe sur la terre, je perds, je traîne à petit feu je crève. Pantin d'exécution, fantôme de malheur puis statue de pierre, je trône depuis la fenêtre de l'exagération. Surgit puis ressurgit l'ombre mortifère du passé, je suis condamné à ne plus oser. Parfois fort, parfois fière, parfois déchiré ai je les armes nécessaires pour lutter contre la pénible sentence ?
...liberté que chérit ton beau poème....pourvue que la peur n'effrayerait les nouvelles plumes sans pressions.