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Ô NATURE (sonnet)

#1
Des millions de regards, contemplent les paysages,
Brusquement, inquiets par des forces mystérieuses,
Soudain, des mouvements de tornades furieuses,
Accompagnées de pluies, effacent leurs messages.
Puis, les arbres craignent le souffle d'un vent fort,
Hélas, les ouragans s'en prennent aux maisons,
Inondations des rues, des quartiers, sans raison,
Simplement, ils espèrent, retrouver leur confort.
L'homme continue sa fabrique de robots,
Nombreux finiront comme des micro-robots,
Machines sans âme, nul ne sera pareil.
Or, l’intelligence, en vain, artificielle,
Deviendra, au fil des siècles, superficielle,
Face à l’ardeur d’un extraordinaire Soleil.

Hortensia
 

Vega46

Maître Poète
#4
L’homme comme toutes les espèces qui l’ont précédé disparaîtra rapidement et dans moins de 20 000 ans aucunes traces de son passage n’apparaîtront sur la planète livrée aux aléas du temps où naîtrons de nouvelles espèces...
Bienvenue sur Créa vous méritez une haie d’hortensias bravo...
Amitiés poétiques
Maurice Marcouly
 
#5
Quand de l'esprit de chacun
ne ressortira plus rien, l'homme
ne cogitera plus rien!
Pauvre pantin, robot l'articulera!

Merci pour ce sonnet,
Amicalement, Polymnie2
 

Polymnie2

Maître Poète
#7
Et le vent souffle encore
à décorner les boeufs
N'ouvrez pas le parapluie sous les gouttes
il est lui aussi téléguidé!
Le sol n'arrête pas de s'essuyer sous les feuilles
archi mâchées!

Hortensia, ton poème est hélas toujours
d'actualité! il est très beau, très riche
de Vérité!
L'homme fait toujours le poirier,
comme un enfant joue, les pieds en l'air,
la tête sur terre!
Si seulement cela pouvait remettre les
cervelles à l'endroit!!!!!

Merci à toi, en attendant le plaisir
de te revoir,
Amicalement, Polymnie2