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Étincelle ...

lilasys

Maître Poète
#1
Étincelle ...

Une brève lueur déchire en notre sein
Quand un enfant paraît, tel matin d'un printemps
L'insolente nature orne un coin de jardin
Où, seule fleur sauvage, habille un sentiment

Auprès de la chandelle où, recueilli, je prie
Remercier du cadeau qu'un Dieu nous ait offert
Nous lisons dans ces yeux la beauté de la vie
Par ce ruban de fraise où l'on forme ses vers

Sans honte un grand éclat infiltre le regard
De ce vieux messager, ancien signe des cieux
De l'âme, la raison se moque de cet art
Les braises aux genoux dans l'âtre des aïeuls

Avez-vous vu cet astre, une admirable étoile
Escarbille poudrée en mystérieux rayon
Le parme de l'iris qui souvent nous dévoile
Les dessous des cartes d'un ombrageux sillon

Les pierres des bijoux grévent la seigneurie
Dont l'imposante image accuse un trait de soi
Le germe fait brandon car dans cette écurie
Rien n'égale l'ardeur d'un étalon de roi ....

LILASYS...

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luron1er

Administrator
Membre du personnel
#6
Hé teint celle !

Une élève fleur déchiffre tout mon plein,
Quand un fan disparaît, tel malin trop content,
L'indolente sature, corne une pierre de Cardin,
Oui ! Seule soeur faux âge, rhabille-toi gentiment.

Après tout le chant, elle se recueille aguerrie,
Au mercier du chapeau d'un vieux qui a souffert,
Nous bissons sans les dieux la santé et l’envie,
Car son turban s’affaisse et déforme ses revers.

Sans ponte d’un petit écrit, je filtre mes égards,
Comme ce vieux, mais âgé d’anciennes lignes d’anxieux,
Je rame de déraison, je toque par ma part,
La fraise à mon cou s’empêtre dans mes feuilles.

Avez-vous lu ce désastre d’une notable toile,
Et ma bille saupoudrée en énigmatique lion,
Le charme de son bis qui souvent te dévoile,
Le dessous des cartes d'un sombre aiguillon.

Etre fier de tes joujoux je rêve d’étourderies,
Dont la reposante image récuse tes traits de foi,
Le terme fait signe de braise sans être rouerie,
Rien n'égale l'auteur de « Désirez moi ! »