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État de fermière. (pastiche)

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
État de fermière. (pastiche)

Sans les chances éclairs des bons vieux,

Fleurs qui scintillent et qui se fondent sur elle,
La femme se coiffe et délie pour réduire les cieux,
Aux étincelles d'humour comme douleurs naturelles.

La fraise du plaisir raffermit sous mes doigts,

Ce polisson éphémère est guidé par l'envie,
Bien en de ça des jours aux ébats des roi,
Gonfler par la dotation de dessous bien servis.

Ces chaleurs de velours sont un jardin de désir,

Embrumé de feux drôlets, abordé par des caresses,
La patience des cons fessés de s’asseoir sans soupir,
Déloger les ennuis de celles qui semblent princesses.

Les jours abondent et se ruent sans position,

Ecartés des jeunes brunes pour l'ami qu’on envie,
Enivrante élève aux larmes de rébellion,

Quand l'écart brille et évoque les peurs d’une vie.