Quand le soir s’allume
Sur la vie nocturne
Ouvrant les bras aux rires
Fiévreux de joie pure
Elle danse, désinvolte,
D’une plèvre hérésie
Se gorgeant du nectar
D’un plaisir délié
Tout étourdie encore
D’une discutable hérésie
Elle allume vive, la flamme,
De son esprit surpeuplé
Elle veut sentir le vent
S’engouffrer en son âme
Comme on passe un flambeau
Au détour d’un chemin
Dans l’espoir bref
Que ses hivers fréquentés
Suivent la rafale
D’un souffle naissant
C’est sur un front froid
Que sa tête s’incline
Cherchant l’appui
D' une voix grave
La fête gronde
Dans les rues
Elle part au bras
D’un inconnu
Sur la vie nocturne
Ouvrant les bras aux rires
Fiévreux de joie pure
Elle danse, désinvolte,
D’une plèvre hérésie
Se gorgeant du nectar
D’un plaisir délié
Tout étourdie encore
D’une discutable hérésie
Elle allume vive, la flamme,
De son esprit surpeuplé
Elle veut sentir le vent
S’engouffrer en son âme
Comme on passe un flambeau
Au détour d’un chemin
Dans l’espoir bref
Que ses hivers fréquentés
Suivent la rafale
D’un souffle naissant
C’est sur un front froid
Que sa tête s’incline
Cherchant l’appui
D' une voix grave
La fête gronde
Dans les rues
Elle part au bras
D’un inconnu