« Bonnes convenances »
Le sentiment d’unis, quand les regards se croisent,
Bien vite dépassé, par tous ceux qui nous toisent,
Je n’ai jamais compris, que la joie donne peine,
Quand les pauvres nés, ne savent ce qu’est la haine,
Ce sont les bien pensants, ou ceux qui nous dirigent,
Au marché du village, nos rires les affligent,
Ils ont le mord aux dents, le bonheur les attriste,
Pour nous c'est de la rage, ils ne sont pas artistes,
La vie leur a donnée, la cuillère et l’argent,
De leur herbe jaunie, jalousant les « sans dents »,
Plus rien à espérer, seule la bourse est pleine,
Avec leurs envies, étranges et souveraines,
Ces messieurs nous regardent, se demandant comment,
Ses sourires complices, se feraient gratuitement,
Habillage et se fardent, voilà leur apanage,
C’est le plaisir factice, riche femme n’a pas d’âge…
(Ps: nullement sexiste, riche homme c'est idem, voyez Laetitia, etc … ->)
Le sentiment d’unis, quand les regards se croisent,
Bien vite dépassé, par tous ceux qui nous toisent,
Je n’ai jamais compris, que la joie donne peine,
Quand les pauvres nés, ne savent ce qu’est la haine,
Ce sont les bien pensants, ou ceux qui nous dirigent,
Au marché du village, nos rires les affligent,
Ils ont le mord aux dents, le bonheur les attriste,
Pour nous c'est de la rage, ils ne sont pas artistes,
La vie leur a donnée, la cuillère et l’argent,
De leur herbe jaunie, jalousant les « sans dents »,
Plus rien à espérer, seule la bourse est pleine,
Avec leurs envies, étranges et souveraines,
Ces messieurs nous regardent, se demandant comment,
Ses sourires complices, se feraient gratuitement,
Habillage et se fardent, voilà leur apanage,
C’est le plaisir factice, riche femme n’a pas d’âge…
(Ps: nullement sexiste, riche homme c'est idem, voyez Laetitia, etc … ->)
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