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Putain ! Je t'aime ...Plus (fictif)

lilasys

Maître Poète
#1
Putain ! Je t'aime ...Plus

Et je reste là, les mains timides le coeur palpitant
Les lèvres qui ne peuvent prononcer ces deux mots
Au fond de moi, une guerre entre ange et Satan
Pourquoi ne pas te dire la vérité en un morceau?

Ta venue me tourmente, tes maux font t"ils semblant?
Quel diadème affreux, veux tu offrir à mon tombeau ?
Est ce le démon qui est en toi qui se pare de diamants
Où ces souvenirs bousculent, enveloppent de ce fichu anneau

Pourquoi traîner des remords quand l'amour est absent ?
Je suis couchée, seule, sans pudeur sur le triste radeau
Celui qui vogue au delà de tout, au delà du temps
Livide est le destin de nos vies coupées aux ciseaux

Et tu me tends la main, tu es tout tremblant
Mais mon corps lui est froid, il n'a plus de porte manteau
Il rêve d'océan, de ciel, il cherche l'unique vaisseau
Celui d'une pauvre condamné privé d'amour, d'amant

Et je retiens mes larmes, putain c'est quoi ces sanglots ?
Qui brûlent ma gorge, ces traîtres font les insolents
Ô mon dieu ! Ne levez pas ce voile, le dernier rideau
Qui protège un coeur qui se meurt pour lui de sentiments

Pars, j'attends le coucher de soleil ,j'ecoute le vent
Je veux ces nuits éternelles où les étoiles seront mon bandeau
A travers les brumes de tes regrets, Ô mon seul galant
Porteur de béquilles, vis, je ne serais pas la lame de ce couteau

Pars, radieux, avant de déshabiller à jamais mes serments
Je ne veux dévoiler le pêcher qui mouille mon berceau
Sur ce lit de ténèbres, tu ne sauras la fin du roman
Je l'emporte au fond de l'oubli à vol d'oiseaux ...

LILASYS


 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
D’entrain ! Je ne t'anime plus !

Et je teste là, mes mains humides pour ma sœur, trépignant,
L’élève qui souvent voulait détourner tous ses maux,
En rond, en moi, naguère terrait en toi le bon et le méchant,
Pour ne jamais mentir, ne pas te monter un bateau.


Revenu ce tour me hante, tes mots sont-ils tremblants ?
Quel dilemme souffreteux, puis-je t’offrir en bon cadeau ?
L’air de mes poumons supposent en toi bien trop de tourments,
Où tes souvenirs basculent et développent en un fichu bandeau.



(en pensée avec vous)


Répare ! J'entends te doucher de bon miel, j'écourte le temps,
Je peux des ennuis actuels, atténuer tes voiles en forme de château,
Envers les embruns de tes secrets, pour ton plus bel amant,
Colporteur en resquille, vois ! Je me voudrais ni larme, ni fardeau.


Répare ! En vieux, je veux t’habiller pour toujours de beaux sarments,
Je ne veux pas étioler le rocher qui souille ton cerceau,
Sur ce pli, tu célèbres les passages du plus beau des romans,
Je l'exhorte sans fond, sans oubli au survol des lambeaux.