Le déchiré du ciel....
Un peu plus de luisance, sans encore souffrir,
Des étoiles qui veillaient en tes souvenances,
Maintenant que la nuit cille de ses décences,
Pour séduire comme un appât, essaye de t’en offrir.
Les belles lueurs du soir, chercheraient à luire,
Quand le soleil les blessant lors des décadences,
Dans les yeux qui réchauffaient ces déchéances,
De distincts regards, partirait ailleurs rougir.
La lune qui encornait parfois son noir voile
Viderait la nuit pour étaler sa nouvelle toile ;
Et continuellement, les cieux, jusqu’à l’aurore
Te laisseraient voir les plus belles lumières,
Qui jaillissaient sans cesse des profondes mers
Où brillait chaque nuit le miroir de la mort.
LILASYS
Un peu plus de luisance, sans encore souffrir,
Des étoiles qui veillaient en tes souvenances,
Maintenant que la nuit cille de ses décences,
Pour séduire comme un appât, essaye de t’en offrir.
Les belles lueurs du soir, chercheraient à luire,
Quand le soleil les blessant lors des décadences,
Dans les yeux qui réchauffaient ces déchéances,
De distincts regards, partirait ailleurs rougir.
La lune qui encornait parfois son noir voile
Viderait la nuit pour étaler sa nouvelle toile ;
Et continuellement, les cieux, jusqu’à l’aurore
Te laisseraient voir les plus belles lumières,
Qui jaillissaient sans cesse des profondes mers
Où brillait chaque nuit le miroir de la mort.
LILASYS