Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Terriblement vulnérable …..

lilasys

Maître Poète
#1
Terriblement vulnérable …..

Sans ailes pour me fondre sur votre joue
Caresser votre main, en capturer le confort
Violer les monts et les châteaux-forts
M’extraire de ce cauchemar composé de boue

Implorer n’importe qui, mourir jusqu’à la lie
Exister à vos côtés et être encore mon réveil
Ne plus condamner ces nuits où meurt le sommeil
Ces jours creux où la louve altère l’alalie

Gémir, châtier, cogner du pied et sans menotte
Qui peut embrasser l’écho de mon enfer ?
Mère, je m’embaume, j’exhale le somnifère
Le corps griffé de rails qui rendent linotte

Aidez-moi ! Je supplierais une nouvelle histoire
N’importe quel parchemin, j’attesterais
Le devoir de me punir sous le couperet
Humer une dernière fois votre mouchoir

N’éventez pas ma lamentable plainte !
Ces veines arrosées du sang de mes idéaux
Mère ! Élaborez-moi un signe de votre paseo
Sous les persiennes de cet enclos sans teinte

Mère, mère, mère souhaitez-vous ce souffle ?
Dont la mort orgueilleuse vole mes mots
Qu'importe ce loin, d’où je dérive en seule pantoufle
Somnambule, dont le seau plein est sans mémo ….

LILASYS

images (41).jpg

 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#15
Terriblement vénérable.

Sans elle, sans confondre, ainsi je joue,
Redresser dès demain, en espérer le renfort,
Voiler ses mots est pour moi, un sport,
D’extraire ses cauchemars pour qu’elle reste debout.

Importer n’importe quoi, sourire toute la vie,
Subsister à ses côtés et être là pour son réveil,
N’être pas le con damné le jour de manque de sommeil,
Les nuits creuses où là, elle couve l’absence d’envie.

Blêmir, mâter et rogner ce qui sied à ses menottes,
Qui veut l’enlacer de bravo au mont en fer ?
Mère, son baume se doit d’exhorter le plus fier,
Décor dégriffé du travail d’ou dépendent les sottes.

Aimez-la ! Je ne plierais pas aux nouvelles histoires,
Qu’importe votre chemin, je vous testerais,
De devoir ne plus punir dans ce coup, je raie,
Et d’exhumer une dernière fois vos pochoirs.

N’inventez pas de lamentable complainte,
Ma verve opposée du rang des idéaux,
Mère ! Corroborez avec moi vos lignes du beau,
Sous vos persiennes, vos idées jamais éteintes.

Mère, pour l’effet mère, souhaitez donc bonne bouffe,
Quand le fort orgueilleux vous vole vos mots,
J'importe de loin, mes sourires vous emmitouflent,

Comme une bulle de sot qui gomme tous vos maux.
 

lilasys

Maître Poète
#17
Terriblement vénérable.

Sans elle, sans confondre, ainsi je joue,
Redresser dès demain, en espérer le renfort,
Voiler ses mots est pour moi, un sport,
D’extraire ses cauchemars pour qu’elle reste debout.


Importer n’importe quoi, sourire toute la vie,
Subsister à ses côtés et être là pour son réveil,
N’être pas le con damné le jour de manque de sommeil,
Les nuits creuses où là, elle couve l’absence d’envie.


Blêmir, mâter et rogner ce qui sied à ses menottes,
Qui veut l’enlacer de bravo au mont en fer ?
Mère, son baume se doit d’exhorter le plus fier,
Décor dégriffé du travail d’ou dépendent les sottes.


Aimez-la ! Je ne plierais pas aux nouvelles histoires,
Qu’importe votre chemin, je vous testerais,
De devoir ne plus punir dans ce coup, je raie,
Et d’exhumer une dernière fois vos pochoirs.


N’inventez pas de lamentable complainte,
Ma verve opposée du rang des idéaux,
Mère ! Corroborez avec moi vos lignes du beau,
Sous vos persiennes, vos idées jamais éteintes.


Mère, pour l’effet mère, souhaitez donc bonne bouffe,
Quand le fort orgueilleux vous vole vos mots,
J'importe de loin, mes sourires vous emmitouflent,

Comme une bulle de sot qui gomme tous vos maux.
Merci .........