Vive la France profonde
Quel doux plaisir de vivre a la campagne
C’est un peu comme vivre au bagne
Impossible de faire de faire la grasse mat
Quand ce coq chante dans la merde jusqu’aux pattes
Quand t’il pleut nous pataugeons dans la gaboue
Floc floc après avoir eux de l’eau jusqu’au genoux
Tailler les arbustes, les haies bon sang quelle galère
Planter les carottes, les tomates et les pommes de terre
Quand le cul terreux du coin passe dans la rue
Avec sa remorque remplie de fumier qui pue
Vite fermer les fenêtres pour ne pas avoir l’odeur
Comme le voisin qui brûle ses saloperies quelle puanteur
A toute heure, le vacarme des tronçonneuses et des tondeuses
Maintenant un peu moins grâce aux plaintes de la râleuse
L’été les gens deviennent cinglés enfermés pendant 6 mois
D’un seul coup aux premiers rayons de soleil c’est la cata
Le midi ou le soir une effluve de graillon nous envahit
Les barbecues, les salons de jardins sont de sortis
Des soirées bien arrosées l’autre en face et sa gamelle
Avec sa grande gueule elle fait peter les décibels
Les vieilles commères qui s’emmerdent a leurs domiciles
Qui guignent a leurs fenêtres pour voir un battement de cils
Dans les petits villages tout se répand comme une traînée de poudre
Au moins ca leur fait une occupation, du grain a moudre
Prendre sa voiture pour aller en ville au supermarché
Car quand nous avons achetés la maison nous avons merdés
Pas pensé a la distance pour acheter un fromage ou une bière blonde
Pas de magasins a proximité dans ce trou du cul du monde
Il faut reconnaître que ca a du bon de vivre dans la cambrousse
Ravi de voir les joues rosie de mes enfants de leurs frimousses
Quand je vois les têtes de mes neveux citadins blanches comme des culs
Je me dis que rien que pour ça vivre en ville nous n’aurions pas pus
Quel doux plaisir de vivre a la campagne
C’est un peu comme vivre au bagne
Impossible de faire de faire la grasse mat
Quand ce coq chante dans la merde jusqu’aux pattes
Quand t’il pleut nous pataugeons dans la gaboue
Floc floc après avoir eux de l’eau jusqu’au genoux
Tailler les arbustes, les haies bon sang quelle galère
Planter les carottes, les tomates et les pommes de terre
Quand le cul terreux du coin passe dans la rue
Avec sa remorque remplie de fumier qui pue
Vite fermer les fenêtres pour ne pas avoir l’odeur
Comme le voisin qui brûle ses saloperies quelle puanteur
A toute heure, le vacarme des tronçonneuses et des tondeuses
Maintenant un peu moins grâce aux plaintes de la râleuse
L’été les gens deviennent cinglés enfermés pendant 6 mois
D’un seul coup aux premiers rayons de soleil c’est la cata
Le midi ou le soir une effluve de graillon nous envahit
Les barbecues, les salons de jardins sont de sortis
Des soirées bien arrosées l’autre en face et sa gamelle
Avec sa grande gueule elle fait peter les décibels
Les vieilles commères qui s’emmerdent a leurs domiciles
Qui guignent a leurs fenêtres pour voir un battement de cils
Dans les petits villages tout se répand comme une traînée de poudre
Au moins ca leur fait une occupation, du grain a moudre
Prendre sa voiture pour aller en ville au supermarché
Car quand nous avons achetés la maison nous avons merdés
Pas pensé a la distance pour acheter un fromage ou une bière blonde
Pas de magasins a proximité dans ce trou du cul du monde
Il faut reconnaître que ca a du bon de vivre dans la cambrousse
Ravi de voir les joues rosie de mes enfants de leurs frimousses
Quand je vois les têtes de mes neveux citadins blanches comme des culs
Je me dis que rien que pour ça vivre en ville nous n’aurions pas pus