Superbe poème, pleins de questions, comme le miens.
J'avais ça en stock, au cas où ^^
Miroir...
D’illusionnisme progressiste en illusions perdues,
De symbioses rigoristes en symbiote seul et nu,
Le reflet apporté ne transparait qu'à moitié,
Miroir, petit miroir, que caches tu en vérité?
De sensations recherchées en sentiments perdus,
D'apparitions fragiles en fractions solides et dures,
La finesse de ces échanges échappée de l'amitié,
Miroir, joli miroir, pourquoi montres tu un reflet?
D'histoires journalières en horizons perdus,
De pandémies émotionnelles en substituts,
Le regard apporté et à portée de la curée,
Miroir, triste miroir, tu me semble embué,
De raisonnements foisonnants en termes échus,
D'aventures impossibles en possible nouvelle mue,
La triste voie que suivent les futurs désabusés,
Miroir, pseudo miroir, qu'y a t'il sous ta vitrée?
D'apaisement en cheminement de songes émus,
De nuits torrides en jours terribles, vides et nus,
Le passage est étroit pour trouver où se poser,
Miroir, cinglant miroir, mon visage n'est pas gai,
De froideurs incessantes en chaleurs continues,
D’inestimables en estimés où l'âme est dévêtue,
La peur de voir vraiment que l'on peut se tromper,
Miroir, mon beau miroir, pourquoi vouloir me duper?
D'inspirations inutiles en battements de cœur perdus,
De soupir en désir, plaisir et vertiges, laisser sa vertu,
Le soleil chaque jour est une brûlure de plus, à oublier,
Miroir, ô mon miroir, montres moi vite ta face cachée.
Amitiées, Matthale
J'avais ça en stock, au cas où ^^
Miroir...
D’illusionnisme progressiste en illusions perdues,
De symbioses rigoristes en symbiote seul et nu,
Le reflet apporté ne transparait qu'à moitié,
Miroir, petit miroir, que caches tu en vérité?
De sensations recherchées en sentiments perdus,
D'apparitions fragiles en fractions solides et dures,
La finesse de ces échanges échappée de l'amitié,
Miroir, joli miroir, pourquoi montres tu un reflet?
D'histoires journalières en horizons perdus,
De pandémies émotionnelles en substituts,
Le regard apporté et à portée de la curée,
Miroir, triste miroir, tu me semble embué,
De raisonnements foisonnants en termes échus,
D'aventures impossibles en possible nouvelle mue,
La triste voie que suivent les futurs désabusés,
Miroir, pseudo miroir, qu'y a t'il sous ta vitrée?
D'apaisement en cheminement de songes émus,
De nuits torrides en jours terribles, vides et nus,
Le passage est étroit pour trouver où se poser,
Miroir, cinglant miroir, mon visage n'est pas gai,
De froideurs incessantes en chaleurs continues,
D’inestimables en estimés où l'âme est dévêtue,
La peur de voir vraiment que l'on peut se tromper,
Miroir, mon beau miroir, pourquoi vouloir me duper?
D'inspirations inutiles en battements de cœur perdus,
De soupir en désir, plaisir et vertiges, laisser sa vertu,
Le soleil chaque jour est une brûlure de plus, à oublier,
Miroir, ô mon miroir, montres moi vite ta face cachée.
Amitiées, Matthale
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