CONCOURS : 26 mots imposés
Du 20 octobre au 31 octobre
Résultats 3 novembre
Thème :
26 mots débutant par A devront figurer dans vos poèmes
Aaronide
Abasourdir
Accolade
Admission
Aérienne
Affinage
Agencer
Ahurissement
Aigre
Ajourée
Akènes
Alambiqué
Améliorer
Angoisse
Aorte
Apaiser
Aqueuse
Araser
Aseptise
Athlète
Aubaine
Avalanche
Awa
Axée
Ayant droit
Azur
Consignes :
Rimes en ABAB
Aucune autre contrainte
Attention à l’orthographe, accords et ponctuation
Je demande aux concurrents d’attendre les résultats pour poster sur leur page personnelle les poèmes présentés au concours
Ne pas mettre de poèmes dans la rubrique commentaire
Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP
Chef de jury : Llumierelive
1 Amour, Alpes et Azur. LURON1er 7.93
Je vais vous abasourdir, des coteaux d’azur, par une vue aérienne,
L’aubaine que chacun ayant droit à son petit paradis,
Axée à vous faire une avalanche de photos que j'aseptise, moins anciennes,
Améliorer pour vous apaiser et enlever l’angoisse battant dans votre aorte alourdie,
Comme l’athlète veut araser l'onde aqueuse et reçoit l’accolade à son admission collégienne,
Ahurissement ! Voir le mot aaronide où lemot awa tellement alambiqué, sans crédit,
Aigre de déguster des akènes, d’agencer l’affinage laissant une zone ajourée en gardienne,
D’abord quelques vues de la baie des anges de notre beau midi,
L’arrière pays, ses alpes, sa vallée des merveilles sans concession terrienne,
Ses lacs, ses fleuves, ses rivières et ses gorges pour les plus hardis,
Un album d’images de canyoning pour la descente de clues magiciennes,
L’eau à la bouche, pour vous régaler, à vous une recherche plus approfondie.
Le Sud à l’honneur avec des 'vents' d'humour qui soufflent sur votre écrit, c'est gai, les consignes sont respectées.
L’histoire tient debout
Respect des mots imposés, rimes en ABAB respectées avec de plus en « ienne » et « i »
« le mot aaronide ou le mot awa tellement alambiqués »
J'ai ressenti un grand amour pour votre région, Merci pour ces belles vues offertes à tous.
Exercice réussi...Bravo
*************
2 Tous ces mots m’étaient dictés FREDERIC REBOUL 7.70
Relis, « j’y ont », j’ui fais, çà me servira de leçon ?
Ah, ah, ah ! Aaronide ? Ronde Ide et moi, ze,
Dis après bégaiement et admission aérienne, bon !
Une aigre accolade ajourée pour une grande ardoise…
J’écris, après affinage, ces mots et mets faits pour vous abasourdir.
Je souris au fromage comme mie qu’est mini, plutôt en rire…
Quel ahurissement et quelle angoisse ! Mon aorte veut s’alourdir ?
Avec de nombreux soupirs et mes nombreux sourires, j’ai connu pire.
Pour m’apaiser et m’améliorer, alambiqué pour mieux m’agencer,
Un coup de chaud, un coup de froid, une effervescence.
Barbie rit de l’akène, humour vitreux, blague aqueuse, penser…
Patience et sciences, souvenirs d’enfance et d’adolescence.
L’athlète aseptise avec aubaine sa terre pour araser son terrain.
Avalanche de ola azur axée vers la branche awa. Hein ! dit gênes !
Les meilleurs conseillers, entraîneurs et juges sont ses parrains.
Ayant droit sous mon ciel azur de plaire à mes marraines…
Vous ne manquez pas d 'humour, je me suis régalée
le zozotement du départ est une riche idée, une plume qui sautille alegria
vous avez jusqu'au bout d'el'écrit "bien joué "avec les 26 mots imposés
bravo
Parfait pour les mots imposés et bons jeux de mots, beaucoup d’humour !
De bonnes idées mais soyez plus précis
(j’aurais mis science au singulier)
Suggestions:
( " être alambiqué et m'agencer "... plus simple )
( " Aubaine, l'athlète aseptise la terre et sa foulée vient araser son terrain " ... Plus clair )
( " sur l'azur une avalanche de ola, axée vers la..." )
( " hein ! dit gênes ": bon jeu de mots, mais je n'en vois pas là nécessité à cet endroit )
( Petit conseil : en poésie, pour plus de légèreté, le face à face des voyelles est à éviter )
( sous son ciel )
**************
3 Le vol du sphinx. GAUTIER ALAIN 7.70
Vue aérienne de l'azur des pyramides,
Je me souviens de cette angoisse aaronide,
De ce discours destiné à nous apaiser,
Notre âme, ce prêcheur voulait améliorer.
Un prêche alambiqué, dur à saisir,
Qui parfois pouvait abasourdir,
Avalanche ajourée de mots maladroits,
Pour moi l'ayant droit.
Il jonche le sol tels des akènes asséchés,
Aubaine historique pour des aliénés,
Servant à des sectes recherchant notre admission,
Le mal il aseptise sans notre permission.
Point de vue aigre, poussant à l'ahurissement,
Voulant ici bas tout araser simplement,
Fruit diabolique d'un cruel affinage,
Terre tantôt axée sur le bien ou le mal,
Une accolade à un autre age.
Déesse aqueuse ou pas on te dénature,
Ô Awa, athlète antique de mère nature,
Le monde il voulait agencer, sans trêve,
Dans mon aorte coule ta sève,
Petit griot le chanteur des baobabs,
Pour te défendre, je me ferai ton nabab.
Bel ensemble, belle histoire, une pointe mais très fine pour des vers où le "il" est en trop, ça alourdit, c'est mon avis
exemple :" le monde voulait agencer sans trêve" au lieu de « le monde voulait agencer sans trêve »
vous m’en avez servi quelques uns !
Respect des mots imposés mais quel dommage : rimes en AABB au lieu de ABAB
Au 12ème vers « mal » n’a aucune rime, mais le fond reste remarquable et retient toute mon attention
j'ai beaucoup aimé votre écrit, vos mots sont bien placés, bien compris
mais quel dommage que vos rimes soient des rimes suivies et non alternées !
( Une accolade d'un autre âge
**********
pas confortable par rapport aux consignes la mousse "araser" e est à raser , petit bémol
mais vous ne l'ignorez pas! sinon bel ensemble qui m'a fait sourire
votre imagination est débordante
J’aime bien le « t’axée » et ces jeux de mots…une belle harmonie de lecture… « alambiquées » aurait du être « alambiqué » afin de suivre les mots imposés
Un beau talent que j'ai lu. Bravo, je vous gratifie
Consignes respectées et rien de maladroit en ce poème ! Vous avez su faire de ces mots imposés une fort belle histoire
Bravo ! vous avez respecté toutes les consignes....
J'ai aimé l'idée qui reste très cohérente jusqu'à la fin de votre écrit, votre aisance poétique et votre conclusion.
vous avez tenter l'impossible et chaque vers tient debout, t un lien d'entre vos lignes pas mal du tout
j’aime beaucoup
Un poème " alambiqué " mais qui fait passer un message très clair
Consignes respectées.
Consignes respectées avec en plus des rimes tout en 1 et en aire
Bravo pour tous ces Z en chaque vers : vous avez multipliés les difficultés !
« zigomatiques cris »
Des pensées de Zola au gout du jour !
**********
17 Vingt six maux LURON1er 7.45
Du 20 octobre au 31 octobre
Résultats 3 novembre
Thème :
26 mots débutant par A devront figurer dans vos poèmes
Aaronide
Abasourdir
Accolade
Admission
Aérienne
Affinage
Agencer
Ahurissement
Aigre
Ajourée
Akènes
Alambiqué
Améliorer
Angoisse
Aorte
Apaiser
Aqueuse
Araser
Aseptise
Athlète
Aubaine
Avalanche
Awa
Axée
Ayant droit
Azur
Consignes :
Rimes en ABAB
Aucune autre contrainte
Attention à l’orthographe, accords et ponctuation
Je demande aux concurrents d’attendre les résultats pour poster sur leur page personnelle les poèmes présentés au concours
Ne pas mettre de poèmes dans la rubrique commentaire
Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP
Chef de jury : Llumierelive
*****************
Médaille d'or: ZUC 9.55
Médaille d'argent: RAYMOND3 9.26
Médaille de bronze MARGHO 9.19
*************
Médaille d'or: ZUC 9.55
Médaille d'argent: RAYMOND3 9.26
Médaille de bronze MARGHO 9.19
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1 Amour, Alpes et Azur. LURON1er 7.93
Je vais vous abasourdir, des coteaux d’azur, par une vue aérienne,
L’aubaine que chacun ayant droit à son petit paradis,
Axée à vous faire une avalanche de photos que j'aseptise, moins anciennes,
Améliorer pour vous apaiser et enlever l’angoisse battant dans votre aorte alourdie,
Comme l’athlète veut araser l'onde aqueuse et reçoit l’accolade à son admission collégienne,
Ahurissement ! Voir le mot aaronide où lemot awa tellement alambiqué, sans crédit,
Aigre de déguster des akènes, d’agencer l’affinage laissant une zone ajourée en gardienne,
D’abord quelques vues de la baie des anges de notre beau midi,
L’arrière pays, ses alpes, sa vallée des merveilles sans concession terrienne,
Ses lacs, ses fleuves, ses rivières et ses gorges pour les plus hardis,
Un album d’images de canyoning pour la descente de clues magiciennes,
L’eau à la bouche, pour vous régaler, à vous une recherche plus approfondie.
Le Sud à l’honneur avec des 'vents' d'humour qui soufflent sur votre écrit, c'est gai, les consignes sont respectées.
L’histoire tient debout
Respect des mots imposés, rimes en ABAB respectées avec de plus en « ienne » et « i »
« le mot aaronide ou le mot awa tellement alambiqués »
J'ai ressenti un grand amour pour votre région, Merci pour ces belles vues offertes à tous.
Exercice réussi...Bravo
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2 Tous ces mots m’étaient dictés FREDERIC REBOUL 7.70
Relis, « j’y ont », j’ui fais, çà me servira de leçon ?
Ah, ah, ah ! Aaronide ? Ronde Ide et moi, ze,
Dis après bégaiement et admission aérienne, bon !
Une aigre accolade ajourée pour une grande ardoise…
J’écris, après affinage, ces mots et mets faits pour vous abasourdir.
Je souris au fromage comme mie qu’est mini, plutôt en rire…
Quel ahurissement et quelle angoisse ! Mon aorte veut s’alourdir ?
Avec de nombreux soupirs et mes nombreux sourires, j’ai connu pire.
Pour m’apaiser et m’améliorer, alambiqué pour mieux m’agencer,
Un coup de chaud, un coup de froid, une effervescence.
Barbie rit de l’akène, humour vitreux, blague aqueuse, penser…
Patience et sciences, souvenirs d’enfance et d’adolescence.
L’athlète aseptise avec aubaine sa terre pour araser son terrain.
Avalanche de ola azur axée vers la branche awa. Hein ! dit gênes !
Les meilleurs conseillers, entraîneurs et juges sont ses parrains.
Ayant droit sous mon ciel azur de plaire à mes marraines…
Vous ne manquez pas d 'humour, je me suis régalée
le zozotement du départ est une riche idée, une plume qui sautille alegria
vous avez jusqu'au bout d'el'écrit "bien joué "avec les 26 mots imposés
bravo
Parfait pour les mots imposés et bons jeux de mots, beaucoup d’humour !
De bonnes idées mais soyez plus précis
(j’aurais mis science au singulier)
Suggestions:
( " être alambiqué et m'agencer "... plus simple )
( " Aubaine, l'athlète aseptise la terre et sa foulée vient araser son terrain " ... Plus clair )
( " sur l'azur une avalanche de ola, axée vers la..." )
( " hein ! dit gênes ": bon jeu de mots, mais je n'en vois pas là nécessité à cet endroit )
( Petit conseil : en poésie, pour plus de légèreté, le face à face des voyelles est à éviter )
( sous son ciel )
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3 Le vol du sphinx. GAUTIER ALAIN 7.70
Vue aérienne de l'azur des pyramides,
Je me souviens de cette angoisse aaronide,
De ce discours destiné à nous apaiser,
Notre âme, ce prêcheur voulait améliorer.
Un prêche alambiqué, dur à saisir,
Qui parfois pouvait abasourdir,
Avalanche ajourée de mots maladroits,
Pour moi l'ayant droit.
Il jonche le sol tels des akènes asséchés,
Aubaine historique pour des aliénés,
Servant à des sectes recherchant notre admission,
Le mal il aseptise sans notre permission.
Point de vue aigre, poussant à l'ahurissement,
Voulant ici bas tout araser simplement,
Fruit diabolique d'un cruel affinage,
Terre tantôt axée sur le bien ou le mal,
Une accolade à un autre age.
Déesse aqueuse ou pas on te dénature,
Ô Awa, athlète antique de mère nature,
Le monde il voulait agencer, sans trêve,
Dans mon aorte coule ta sève,
Petit griot le chanteur des baobabs,
Pour te défendre, je me ferai ton nabab.
Bel ensemble, belle histoire, une pointe mais très fine pour des vers où le "il" est en trop, ça alourdit, c'est mon avis
exemple :" le monde voulait agencer sans trêve" au lieu de « le monde voulait agencer sans trêve »
vous m’en avez servi quelques uns !
Respect des mots imposés mais quel dommage : rimes en AABB au lieu de ABAB
Au 12ème vers « mal » n’a aucune rime, mais le fond reste remarquable et retient toute mon attention
j'ai beaucoup aimé votre écrit, vos mots sont bien placés, bien compris
mais quel dommage que vos rimes soient des rimes suivies et non alternées !
( Une accolade d'un autre âge
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4 L’A toile où l’A régnait JACOU 8.60
Le sacerdoce aaronide
Était de mise en l’ancien temps
Mais aujourd’hui belle adonide
Vient refleurir tous les printemps
Pour apaiser aigres angoisses
De nos aortes alambiquées
Au fond du cœur de nos paroisses.
Que tous ces mots sont compliqués !!!!
Abasourdir en quelque sorte
Pauvre lecteur qui ayant droit
A quelque égard, prenne la porte
Rapidement, en désarroi.
Affinage pas de fromage !
Que tous ces mots à agencer
En poésie sont des images
Que Murielle a balancées.
Ahurissement clair azur
Avec ce mot, impossible
De respecter jolie césure
Sûr, il n’est pas compressible.
.
Mousse araser qui aseptise
Les petits poils mis à niveau
De temps en temps une bêtise
Qui est taxée d’un jeu de mot.
Vue aérienne et ajourée
Vous pourrez voir de beaux akènes
Oeil grand tout vert, un peu bourré
En avalanche tombés d’un chêne.
Enfin Awa un bel athlète
Nom inconnu « Non » en Créole
Encore un qui, me prend la tête
Aqueuse aussi, non, je rigole !
Et pour finir mon admission
A ce concours, une accolade
« Améliorer nos créations »
Une aubaine ! Grosse embrassade.
Un écrit plein d'humour et de jeux d motsLe sacerdoce aaronide
Était de mise en l’ancien temps
Mais aujourd’hui belle adonide
Vient refleurir tous les printemps
Pour apaiser aigres angoisses
De nos aortes alambiquées
Au fond du cœur de nos paroisses.
Que tous ces mots sont compliqués !!!!
Abasourdir en quelque sorte
Pauvre lecteur qui ayant droit
A quelque égard, prenne la porte
Rapidement, en désarroi.
Affinage pas de fromage !
Que tous ces mots à agencer
En poésie sont des images
Que Murielle a balancées.
Ahurissement clair azur
Avec ce mot, impossible
De respecter jolie césure
Sûr, il n’est pas compressible.
.
Mousse araser qui aseptise
Les petits poils mis à niveau
De temps en temps une bêtise
Qui est taxée d’un jeu de mot.
Vue aérienne et ajourée
Vous pourrez voir de beaux akènes
Oeil grand tout vert, un peu bourré
En avalanche tombés d’un chêne.
Enfin Awa un bel athlète
Nom inconnu « Non » en Créole
Encore un qui, me prend la tête
Aqueuse aussi, non, je rigole !
Et pour finir mon admission
A ce concours, une accolade
« Améliorer nos créations »
Une aubaine ! Grosse embrassade.
pas confortable par rapport aux consignes la mousse "araser" e est à raser , petit bémol
mais vous ne l'ignorez pas! sinon bel ensemble qui m'a fait sourire
votre imagination est débordante
J’aime bien le « t’axée » et ces jeux de mots…une belle harmonie de lecture… « alambiquées » aurait du être « alambiqué » afin de suivre les mots imposés
Titre : bon jeu de mots
J'ai aimé votre humour ainsi que vos jeux de mots (" mousse à-raser " un petit plus...sourire....)
Attention ! Employez les mots imposés avec leur orthographe initiale : aigre, alambiqué, aorte ...au singulier )
*********
5 Imposition. YVES DE FONJERAC 9.08
Toute sa pensée est Axée sur l'Affinage,
Et l'Aubaine d'une bonne cave Ajourée.
Agencer pour éviter un Aigre fromage,
Araser pour, sous l'Azur, bien le savourer.
C'est oublier cette vilaine masse Aqueuse,
L'Aérienne nuée qui va l'étourdir,
L'Ahurissement devant cette belliqueuse:
La grosse Avalanche qui va l'Abasourdir.
Pour Améliorer l'état de son Aorte,
Le bel Athlète Aaronide de langue Awa,
Afin d'Apaiser cette Angoisse qu'elle apporte,
Aseptise les Akènes pour le kawa.
Après ce poème Alambiqué, maladroit,
A défaut d'Accolade pour la mission,
N'oublier pas de féliciter l'Ayant droit,
Dans le top trois accepter son Admission.
et bien je vous félicite, c'est fluide et j’ai aimé cette histoire de fromage, je ne vais pas en faire un !J'ai aimé votre humour ainsi que vos jeux de mots (" mousse à-raser " un petit plus...sourire....)
Attention ! Employez les mots imposés avec leur orthographe initiale : aigre, alambiqué, aorte ...au singulier )
*********
5 Imposition. YVES DE FONJERAC 9.08
Toute sa pensée est Axée sur l'Affinage,
Et l'Aubaine d'une bonne cave Ajourée.
Agencer pour éviter un Aigre fromage,
Araser pour, sous l'Azur, bien le savourer.
C'est oublier cette vilaine masse Aqueuse,
L'Aérienne nuée qui va l'étourdir,
L'Ahurissement devant cette belliqueuse:
La grosse Avalanche qui va l'Abasourdir.
Pour Améliorer l'état de son Aorte,
Le bel Athlète Aaronide de langue Awa,
Afin d'Apaiser cette Angoisse qu'elle apporte,
Aseptise les Akènes pour le kawa.
Après ce poème Alambiqué, maladroit,
A défaut d'Accolade pour la mission,
N'oublier pas de féliciter l'Ayant droit,
Dans le top trois accepter son Admission.
Un beau talent que j'ai lu. Bravo, je vous gratifie
Consignes respectées et rien de maladroit en ce poème ! Vous avez su faire de ces mots imposés une fort belle histoire
Bravo ! vous avez respecté toutes les consignes....
J'ai aimé l'idée qui reste très cohérente jusqu'à la fin de votre écrit, votre aisance poétique et votre conclusion.
************
6 A de A à Z URBAIN FATEWA 7.5
6 A de A à Z URBAIN FATEWA 7.5
Aaron, a qui se ressemble Aaronide ?
Bravo, vous avez su avec brio utiliser tous ces mots …et dans l’ordre ! et chaque vers commençant par un A…un bel exploit !
Un seul bémol, accolades aurait du être au singulier … « le soleil se levait arasé »
Une véritable fable qui aurait pu être de La Fontaine !
Des techniques, dîtes-vous ? Pour apaiser l’angoisse ?
Ralentir, dans l’aorte, le galop de mon pouls,
Et espérer enfin que son rythme décroisse ?
Calmer durablement l’aigre goût de tripoux
Qui envahit ma bouche ? Bref, tout améliorer ?
Je suis abasourdie et vous fais accolade !
Me voilà grâce à vous tout à fait rassurée
Car il est fort gênant d’être à ce point malade
A l’idée de monter dans un de ces engins.
Araser tous ces pics de stress injustifié
Qui me minent au point que très souvent j’en geins ?
Ce serait une aubaine ! Je veux pouvoir m’y fier,
Ayant droit moi aussi à la félicité
De voler bien tranquille dans l’azur de ce ciel
Sur un tracé axé, contrôlé, sans douter.
Ah ! Surmonter ainsi mon spleen existentiel
Et ma terreur aiguë des balades aériennes…
J’ai toujours crains le crash en étendue aqueuse
Une peur ancienne et antédiluvienne
Ou aaronide, qui me rend nauséeuse.
Oui je veux tout savoir, agencer mes pensées,
Me reconstruire ainsi en un long affinage.
La raison aseptise nos humeurs poissés.
Pour mon admission je me ferais très sage
Mais ne reluquez pas ma chemise ajourée
Qui flatte corps d’athlète. Etre bien habillée
Est la moindre des choses. Vos cours accélérés
M’étonnent quelque peu. Vous vous égosillez
Dialectes awa Propos alambiqués?
Avalanche de mots… Mon ahurissement
Grandit. Cela est dit : Je m’en vais abdiquer
Et signifier ainsi mon désappointement.
Vous me tendez la note de vos appointements…
Mais vous rêvez Monsieur ! En nèfles à la rigueur
Ou en tout autre akène pour vos émoluments.
Phobique je resterai. Qu’importent mes langueurs.
Ébahie par votre plume
Quelle verve, l'on dirait une Comédie de Molière…juste l’ombre d’un " abasourdie 'au lieu de abasourdir requis
tellement bon et beau à lire que je fais l'impasse sur la sottise ! Bravo
Avec tous ces mots imposés vous avez su nous conter votre phobie, une lecture des plus harmonieuses, bravo
Cependant vous avez quelque peu modifié les mots imposés en accordant ( axée en non axé/ aérienne et non aériennes/ alambiqué et non alambiqués/akènes et non akène
Mais votre histoire reste remarquable, bravo
Un voyage aérien qui ne se fera pas...J'ai aimé. ( Belle conclusion )
Attention ! Employez l'orthographe initiale des mots imposés ( abasourdir, alambiqué )
Vos rimes de : ajourée jusqu'à égosillez sont des rimes suivies et non alternées
( j'ai toujours craint ) ( humeurs poissées )
************
8 Elucubrations. YVES DE FONJERAC 8.50
Un Athlète et son chien Awa,
En état d'Ahurissement,
Pour Apaiser un Aigre ouah,
Fait un Alambiqué serment.
Vie Axée sur la mission
Dans l' Affinage des Akènes.
Acceptons son Admission
Pour Améliorer les faines.
Sur de la dentelle Ajourée,
Préparer sans Abasourdir,
Les disposer, les Agencer,
Mais, bien sûr, sans les alourdir!
Dans l'Angoisse qui l'invalide,
Donne une Accolade très forte
A un Ayant droit Aaronide
Et lui Aseptise l'Aorte.
Reste à Araser l'Avalanche,
Aérienne dans l'Azur,
Mais quelle Aubaine, c'est Dimanche,
Aqueuse journée, ça c'est sûr.
l'affinage des akhènes ? une belle idée de réduire la châtaigne en crème de marron , vous employez le mot "élucubrations" dans votre titre
je pense aux claques, châtaignes , marrons…je suis peut être un peu gland !
Pas facile de vous deviner, de beaux demi alexandrins à lire
Respect des consignes, fort belle « élucubration » amusante et cohérente
Concis et net, j'ai aimé.
consignes respectées,mots bien placés ( font un alambiqué serment )
Bonne conclusion.
************
9 Une belle victoire LUCIE MATHIS 8.15
L’athlète Awa de la lignée Aaronide
Se présente au départ muni d’un dossard
Le pied arrière en appui, il reste lucide
Bien axé, il s’apprête à sprinter, le gaillard.
Au signal, vers l’azur, son regard se dresse
Sa cuisse le propulse vigoureusement
Le contact au sol est rapide, il progresse
L’adrénaline améliore ses mouvements.
Respiration aqueuse, impulsions agencées
Il atteint sa vitesse maximale rapidement
L’amplitude de la foulée est aérienne et cadencée
Son aorte accélère le flux sanguin instantanément.
Le commentateur arase l’angoisse, l’aseptise
Abasourdi, aigre et alambiqué est son discours
Dans les tribunes ajourées, l’atmosphère s’électrise
Ahurissements, les supporters l’encouragent toujours.
Il franchit la ligne d’arrivée, apaisé, une aubaine !
Admission par ses pairs, une avalanche d’acclamation
Une accolade avec ses adversaires, frêles comme l’akène
L’ayant droit brandit l’Or d’un bel affinage, une exaltation !
Vous pédalez dans un bel effort de vers et rimes de façon constante pour l'arrivée, l'histoire "roule' toute seule et agréable à lire
mais relisez les consignes, vous avez au moins 4 mots proposés ou conjugués ou accordés ce n'est pas ce qui était demandé
Dommage
Regrettable que les consignes ne soient pas entièrement respectées…pluriels ou verbes conjugués…
Mais de très fortes images, on s’y croirait, lecture très harmonieuse
Un superbe récit écrit avec aisance...Bravo !
Mais attention à employer les mots tels que présentés dans la liste imposée : abasourdir, ahurissement,
améliore, agencer, apaiser, araser,
***********
10 N'importe quoi. YVES DE FONJERAC 7.49
Ayant droit à l'Accolade pour l'Apaiser
L'Athlète de langue Awa cache son Aorte.
Avec son idée Axée sur tout Araser
C'est l'Ahurissement que partout il colporte.
Dans l'Affinage il veut Agencer des Akènes.
Vue Aérienne sur sa robe Ajourée,
Si quelqu'un venait l'Abasourdir, quelle Aubaine!
Angoisse devant son programme Alambiqué:
Améliorer le sacerdoce Aaronide,
En provoquant une Avalanche dans l'Azur
Par une Admission de vapeur d'ozonide,
Aigre, Aqueuse, qui Aseptise sa masure.
Beaucoup de mal à la lecture à faire un lien entre vos strophes, les mots sont fait pour véhiculer une idée , la votre ,du début à la fin
je ne la vois pas
Total respect des mots imposés et des rimes en ABAB…et le fond n’est pas n’importe quoi : la faim n’abuse pas les moyens !
Concis et net, mots bien placés, j'ai aimé... pas facile en si peu de vers...Bravo !
************
Abaissant le bruit qui nous fait abasourdir
Accentuant les bras pour donner des accolades
Additionner par une admission adorable à applaudir
Aérer la nature ! Voici une voie aérienne !
Affirmait mon frère faisant un petit affinage
Agneau, pour agencer une plantation pérenne
Ah ! Un ahurissement faisait son maigre carnage
Aider par la paix, un temps aigre passait ensoleiller
Ajuster comme un caméléon avec sa couleur ajourée
Akbar se nourrissait des Akènes avant de travailler
Allant vers le chemin alambiqué, la route était bourrée
Amortissant ma vie, ainsi j’allais l’améliorer pour le bon
Anerie peut être ! Cette poésie d’angoisse, incompréhensive,
Aortique et sensée dans une aorte cachée dans le pardon
Apprenant qu’il gagnera à apaiser les plus énormes tentatives
Aquitaniennes, les nuages déplacés par les tempêtes aqueuses,
Archiver dans une gourde, le soleil se levait tôt mais araser
Assainissant sa lumière aseptise comme une eau peureuse
Attention ! Loin un athlète jouait dans la lune de façon aisée
Au début, c’était pour lui une aubaine s’amuser avec la lune
Avançant vers une avalanche de neige, elle s’éteint fraiche
Awa ! Awa ! On accepte tout car il faut enterrer les rancunes
Axérophtol dans le vent, la nature axée sur les mouches
Ay poussant, l’ayant droit se nourrissait des champions
Azotés comme la couleur de l’azur du ciel emporté et volé
Ah ! Ah ! Quel rire sauvage quand vous poussez les pions
Avec une plume, l’oiseau spatial s’est lourdement envolé
Une idée originale que commencer toutes vos lignes par A, parfois un peu longue et là , vous y laissez des petites fautes, sinon l'ensemble me plaitAccentuant les bras pour donner des accolades
Additionner par une admission adorable à applaudir
Aérer la nature ! Voici une voie aérienne !
Affirmait mon frère faisant un petit affinage
Agneau, pour agencer une plantation pérenne
Ah ! Un ahurissement faisait son maigre carnage
Aider par la paix, un temps aigre passait ensoleiller
Ajuster comme un caméléon avec sa couleur ajourée
Akbar se nourrissait des Akènes avant de travailler
Allant vers le chemin alambiqué, la route était bourrée
Amortissant ma vie, ainsi j’allais l’améliorer pour le bon
Anerie peut être ! Cette poésie d’angoisse, incompréhensive,
Aortique et sensée dans une aorte cachée dans le pardon
Apprenant qu’il gagnera à apaiser les plus énormes tentatives
Aquitaniennes, les nuages déplacés par les tempêtes aqueuses,
Archiver dans une gourde, le soleil se levait tôt mais araser
Assainissant sa lumière aseptise comme une eau peureuse
Attention ! Loin un athlète jouait dans la lune de façon aisée
Au début, c’était pour lui une aubaine s’amuser avec la lune
Avançant vers une avalanche de neige, elle s’éteint fraiche
Awa ! Awa ! On accepte tout car il faut enterrer les rancunes
Axérophtol dans le vent, la nature axée sur les mouches
Ay poussant, l’ayant droit se nourrissait des champions
Azotés comme la couleur de l’azur du ciel emporté et volé
Ah ! Ah ! Quel rire sauvage quand vous poussez les pions
Avec une plume, l’oiseau spatial s’est lourdement envolé
Bravo, vous avez su avec brio utiliser tous ces mots …et dans l’ordre ! et chaque vers commençant par un A…un bel exploit !
Un seul bémol, accolades aurait du être au singulier … « le soleil se levait arasé »
Une véritable fable qui aurait pu être de La Fontaine !
Un poème écrit telle une rafale de mots en A ... qui commencent vos phrases
mais, qui à mon goût alourdissent votre écrit, dommage !
( attention à vos changements de temps un peu fréquents.)
************
7 Aérodromophobie MARGHO 8.88
mais, qui à mon goût alourdissent votre écrit, dommage !
( attention à vos changements de temps un peu fréquents.)
************
7 Aérodromophobie MARGHO 8.88
Des techniques, dîtes-vous ? Pour apaiser l’angoisse ?
Ralentir, dans l’aorte, le galop de mon pouls,
Et espérer enfin que son rythme décroisse ?
Calmer durablement l’aigre goût de tripoux
Qui envahit ma bouche ? Bref, tout améliorer ?
Je suis abasourdie et vous fais accolade !
Me voilà grâce à vous tout à fait rassurée
Car il est fort gênant d’être à ce point malade
A l’idée de monter dans un de ces engins.
Araser tous ces pics de stress injustifié
Qui me minent au point que très souvent j’en geins ?
Ce serait une aubaine ! Je veux pouvoir m’y fier,
Ayant droit moi aussi à la félicité
De voler bien tranquille dans l’azur de ce ciel
Sur un tracé axé, contrôlé, sans douter.
Ah ! Surmonter ainsi mon spleen existentiel
Et ma terreur aiguë des balades aériennes…
J’ai toujours crains le crash en étendue aqueuse
Une peur ancienne et antédiluvienne
Ou aaronide, qui me rend nauséeuse.
Oui je veux tout savoir, agencer mes pensées,
Me reconstruire ainsi en un long affinage.
La raison aseptise nos humeurs poissés.
Pour mon admission je me ferais très sage
Mais ne reluquez pas ma chemise ajourée
Qui flatte corps d’athlète. Etre bien habillée
Est la moindre des choses. Vos cours accélérés
M’étonnent quelque peu. Vous vous égosillez
Dialectes awa Propos alambiqués?
Avalanche de mots… Mon ahurissement
Grandit. Cela est dit : Je m’en vais abdiquer
Et signifier ainsi mon désappointement.
Vous me tendez la note de vos appointements…
Mais vous rêvez Monsieur ! En nèfles à la rigueur
Ou en tout autre akène pour vos émoluments.
Phobique je resterai. Qu’importent mes langueurs.
Ébahie par votre plume
Quelle verve, l'on dirait une Comédie de Molière…juste l’ombre d’un " abasourdie 'au lieu de abasourdir requis
tellement bon et beau à lire que je fais l'impasse sur la sottise ! Bravo
Avec tous ces mots imposés vous avez su nous conter votre phobie, une lecture des plus harmonieuses, bravo
Cependant vous avez quelque peu modifié les mots imposés en accordant ( axée en non axé/ aérienne et non aériennes/ alambiqué et non alambiqués/akènes et non akène
Mais votre histoire reste remarquable, bravo
Un voyage aérien qui ne se fera pas...J'ai aimé. ( Belle conclusion )
Attention ! Employez l'orthographe initiale des mots imposés ( abasourdir, alambiqué )
Vos rimes de : ajourée jusqu'à égosillez sont des rimes suivies et non alternées
( j'ai toujours craint ) ( humeurs poissées )
************
8 Elucubrations. YVES DE FONJERAC 8.50
Un Athlète et son chien Awa,
En état d'Ahurissement,
Pour Apaiser un Aigre ouah,
Fait un Alambiqué serment.
Vie Axée sur la mission
Dans l' Affinage des Akènes.
Acceptons son Admission
Pour Améliorer les faines.
Sur de la dentelle Ajourée,
Préparer sans Abasourdir,
Les disposer, les Agencer,
Mais, bien sûr, sans les alourdir!
Dans l'Angoisse qui l'invalide,
Donne une Accolade très forte
A un Ayant droit Aaronide
Et lui Aseptise l'Aorte.
Reste à Araser l'Avalanche,
Aérienne dans l'Azur,
Mais quelle Aubaine, c'est Dimanche,
Aqueuse journée, ça c'est sûr.
l'affinage des akhènes ? une belle idée de réduire la châtaigne en crème de marron , vous employez le mot "élucubrations" dans votre titre
je pense aux claques, châtaignes , marrons…je suis peut être un peu gland !
Pas facile de vous deviner, de beaux demi alexandrins à lire
Respect des consignes, fort belle « élucubration » amusante et cohérente
Concis et net, j'ai aimé.
consignes respectées,mots bien placés ( font un alambiqué serment )
Bonne conclusion.
************
9 Une belle victoire LUCIE MATHIS 8.15
L’athlète Awa de la lignée Aaronide
Se présente au départ muni d’un dossard
Le pied arrière en appui, il reste lucide
Bien axé, il s’apprête à sprinter, le gaillard.
Au signal, vers l’azur, son regard se dresse
Sa cuisse le propulse vigoureusement
Le contact au sol est rapide, il progresse
L’adrénaline améliore ses mouvements.
Respiration aqueuse, impulsions agencées
Il atteint sa vitesse maximale rapidement
L’amplitude de la foulée est aérienne et cadencée
Son aorte accélère le flux sanguin instantanément.
Le commentateur arase l’angoisse, l’aseptise
Abasourdi, aigre et alambiqué est son discours
Dans les tribunes ajourées, l’atmosphère s’électrise
Ahurissements, les supporters l’encouragent toujours.
Il franchit la ligne d’arrivée, apaisé, une aubaine !
Admission par ses pairs, une avalanche d’acclamation
Une accolade avec ses adversaires, frêles comme l’akène
L’ayant droit brandit l’Or d’un bel affinage, une exaltation !
Vous pédalez dans un bel effort de vers et rimes de façon constante pour l'arrivée, l'histoire "roule' toute seule et agréable à lire
mais relisez les consignes, vous avez au moins 4 mots proposés ou conjugués ou accordés ce n'est pas ce qui était demandé
Dommage
Regrettable que les consignes ne soient pas entièrement respectées…pluriels ou verbes conjugués…
Mais de très fortes images, on s’y croirait, lecture très harmonieuse
Un superbe récit écrit avec aisance...Bravo !
Mais attention à employer les mots tels que présentés dans la liste imposée : abasourdir, ahurissement,
améliore, agencer, apaiser, araser,
***********
10 N'importe quoi. YVES DE FONJERAC 7.49
Ayant droit à l'Accolade pour l'Apaiser
L'Athlète de langue Awa cache son Aorte.
Avec son idée Axée sur tout Araser
C'est l'Ahurissement que partout il colporte.
Dans l'Affinage il veut Agencer des Akènes.
Vue Aérienne sur sa robe Ajourée,
Si quelqu'un venait l'Abasourdir, quelle Aubaine!
Angoisse devant son programme Alambiqué:
Améliorer le sacerdoce Aaronide,
En provoquant une Avalanche dans l'Azur
Par une Admission de vapeur d'ozonide,
Aigre, Aqueuse, qui Aseptise sa masure.
Beaucoup de mal à la lecture à faire un lien entre vos strophes, les mots sont fait pour véhiculer une idée , la votre ,du début à la fin
je ne la vois pas
Total respect des mots imposés et des rimes en ABAB…et le fond n’est pas n’importe quoi : la faim n’abuse pas les moyens !
Concis et net, mots bien placés, j'ai aimé... pas facile en si peu de vers...Bravo !
************
11 Voyages MARGHO 9.19 médaille de bronze
Ruine aaronide voudriez-vous croisez ?
Montez dans ma felouque, je vais vous emmener…
Nulle angoisse, ma belle, il faut vous apaiser :
Nous voguerons entre deux rives bétonnés.
Puis nous irons en Grèce en son temple admirer
Zeus et son corps d’athlèle. Suivez le batelier !
Le Parthénon avec sa silhouette ajourée,
Aérienne, vous plaît ? Montez dans mon voilier.
Traversons l’océan au bord de mon trois mâts.
Le bruit de la tempête va vous abasourdir
Mais peut-être aurez-vous quelques maux d’estomac
Avalanche d’écume… Vous allez me maudire.
Quand la crête de vagues va soudain s’arraser,
Lorsque la nappe aqueuse, au soir, sera calmée,
Le pouls dans votre aorte enfin normalisé
Le soleil et l’azur, vous les saurez aimer.
Notre route est tracée, vérifiée, bien axée
Par de savants calculs un brin alambiqués.
J’ai pu m’améliorer. Vous serez relaxée
Par ce lent affinage technique et compliqué.
Arrivés au Brésil nous irons rencontrer
Les peuplades awa. Leur ahurissement
Sera grand sûrement. Traversons leur contrée
Dans notre canoé, et ramons doucement
Dedans mon équipage, je veux votre admission.
Ayant droit, mon amie, à tous ces beaux voyages,
Je vous donne accolade pour votre initiation
Mais il nous faut attendre car nous n’avons pas l’âge…
Cette caisse à savon que j’ai du agencer
Pour traverser la mare, me semble insubmersible !
Une aubaine d’akènes fraichement émincés
Devrait nous apporter un plaisir indicible.
Vous froncez les sourcils. Votre propos est aigre.
Il faut que j’aseptise entre nous le climat …
Il s’agissait d’un jeu, n’en faites pas vinaigre !
Et aidez moi plutôt à accrocher le mât.
Sublime texte, plume parfaite. Un beau voyage que je viens de faire du premier au dernier vers
Une très jolie harmonie. Bravo, excellent
Respect des mots imposés à part « alambiqué »…Araser / deux rives bétonnées
Attention à la concordance des temps : nous irons, traverserons, ramerons…
La chute est remarquable ! Un bel humour pour ce voyage
Belle lecture et belle philosophie
Respect des mots imposés et rimes ABAB (de plus F/M et riches…mais elles n’étaient pas inscrites dans les consignes)
Une belle ascension cette réflexion !
C'est très beau, mots bien placés, sur un fond très cohérent ...Bravo !
***************
13 Astrologie du prénom AWA
La peau des mots POLYMIE2 8.75
Tu entres dans la vie Aérienne raflant tous les cadeaux !
Comme le frère aîné de Moïse avec l’Aaronide !
Laisse-moi abasourdir de mots ta véritable peau
Car déjà ton initiale A offre un puissant saronide !
Suivi du double V la pyramide renversée agit,
Lui donne une accolade et voici l’aubaine
D’une série de dons pour l’admission offrant fin écrin qui réagit !
Une arrivée près des cieux en souffle d’air, son oxygène !
Sensation universelle axée sur l’Amour faisant son plein,
Tes qualités procurent l’ahurissement de ta chair bien modulée
Par ta force d' apaiser tes mots, déracine ton chant archiplein !
Un même refrain pour toi l’athlète qui aseptise la belle-ouvrage adulée !
Tu ne peux araser ce champ magnétique si bien manié,
Sinon améliorer un affinage essentiel pour l’être
Afin que de l’avalanche, l’aigre-doux sec ne soit pas épargné
Alambiqué d’amour, il faut purger les akènes tels ceux d’un hêtre !
Tu sais tout agencer judicieusement, toi né, Grand Penseur
Le peu sociable, te préservant d’angoisse pour mieux panser les pensées,
Cet ayant droit cristallin t’offre une humeur aqueuse, sa Grandeur,
Bienfaitrice pour l’aorte d’azur éternellement cadencée.
Bravo Awa si tu aboies c’est pour la peau des mots
Jusque dans le sang elle se chante claironnée
Tu nous joues la symphonie des émaux
Sur partition parfaite ajourée de lumières fleuronnées !
Madame ou Monsieur Soleil votre page ! Heureuse idée d'avoir su décortiqué le sens du Prénom Awa et de fort belle manière
Bravo pour cette revue de mots à son sujet
Respect des mots imposés sauf « apaisée » au lieu de l’infinitif demandé
Quelques vers un peu longs mais belles recherches
Texte oh combien ! vivant d’efforts, le lecteur escalade au piolet de vos mot, ce corps et âme entre Awa et la montagne
Fluidité de la verve, belle tournures de vers , je vous ai accompagné
beau choix de rimes ,vocabulaire riche
Respect des consignes, belle évocation … se surmonter devant les épreuves et savoir rester humble
J’aime particulièrement ce ver « la neige fond, puis tombe pour m’applaudir »
Certains vers un peu longs par rapport aux autres
Un poème qui montre à quel point il faut vivre l'instant présent comme une dernière
opportunité de réussite " Je veux vivre ce moment en chandeleur "
Beau combat avec soi-même
Mots forts bien placés.
***********
15 Vendanges RAYMOND3 9.26 médaille d'argent
Dans l’Azur du matin, la grappe Aérienne
Est l’objet de toutes les conversations,
Après l’Accolade, le départ des anciennes,
Vendange débute des treilles en suspension.
Un orage de sécateurs c’est l’Avalanche Axée
Que même ne peut égaler un Awa de jadis
Quand les raisins rejoignent le fût Alambiqué
Belle Aubaine de s’Agencer , par groupe de dix.
Devant l’Ahurissement et la performance
Aaronide n’aurait rien trouvé de plus naturel,
À cette vigne travaillée dans la transparence,
Ajourée pour un Affinage temporel.
À la pause un vent léger soulève les Akènes
Des noisetiers sous lesquels l’Athlète du jour,
Ayant Droit à un repas, va s’ Améliorer, fin mécène,
Rêveurs sans murs ni barrières se régalent tour à tour.
Septembre va s’ Apaiser fermant l’Aorte d’un soleil Aigre,
Sur les cimes le vent vient Araser les pins parasol,
L’humeur Aqueuse et les lents soupirs des ouvriers allègres
Sur une morale s’Aseptise les prières , agenouillés sur le sol.
La pénombre dévore les dernières travailleuses
Abasourdir par l’Admission de ce dur labeur,
Dans l’Angoisse d’un lendemain, très sérieuses,
Affrontent la noble tâche pour leur plus grand bonheur.
Les vendanges en 26 mots, du soleil en bouteille votre écrit
Vous avez réussi à nous faire vivre le quotidien des vendangeurs, le tout dans l'ambiance comme ils le vivent,
en Septembre , mois qui lui ai consacré, je vous sacre aussi
Consigne bien respectées, lecture fort harmonieuse…Une description digne d’un artiste peintre, de très belles
Images s’en dégage
L'Automne s'est installé avec vos mots bien placés, un plaisir à vendanger...Bravo !
***********
Ruine aaronide voudriez-vous croisez ?
Montez dans ma felouque, je vais vous emmener…
Nulle angoisse, ma belle, il faut vous apaiser :
Nous voguerons entre deux rives bétonnés.
Puis nous irons en Grèce en son temple admirer
Zeus et son corps d’athlèle. Suivez le batelier !
Le Parthénon avec sa silhouette ajourée,
Aérienne, vous plaît ? Montez dans mon voilier.
Traversons l’océan au bord de mon trois mâts.
Le bruit de la tempête va vous abasourdir
Mais peut-être aurez-vous quelques maux d’estomac
Avalanche d’écume… Vous allez me maudire.
Quand la crête de vagues va soudain s’arraser,
Lorsque la nappe aqueuse, au soir, sera calmée,
Le pouls dans votre aorte enfin normalisé
Le soleil et l’azur, vous les saurez aimer.
Notre route est tracée, vérifiée, bien axée
Par de savants calculs un brin alambiqués.
J’ai pu m’améliorer. Vous serez relaxée
Par ce lent affinage technique et compliqué.
Arrivés au Brésil nous irons rencontrer
Les peuplades awa. Leur ahurissement
Sera grand sûrement. Traversons leur contrée
Dans notre canoé, et ramons doucement
Dedans mon équipage, je veux votre admission.
Ayant droit, mon amie, à tous ces beaux voyages,
Je vous donne accolade pour votre initiation
Mais il nous faut attendre car nous n’avons pas l’âge…
Cette caisse à savon que j’ai du agencer
Pour traverser la mare, me semble insubmersible !
Une aubaine d’akènes fraichement émincés
Devrait nous apporter un plaisir indicible.
Vous froncez les sourcils. Votre propos est aigre.
Il faut que j’aseptise entre nous le climat …
Il s’agissait d’un jeu, n’en faites pas vinaigre !
Et aidez moi plutôt à accrocher le mât.
Une très jolie harmonie. Bravo, excellent
Respect des mots imposés à part « alambiqué »…Araser / deux rives bétonnées
Attention à la concordance des temps : nous irons, traverserons, ramerons…
La chute est remarquable ! Un bel humour pour ce voyage
Comme votre écrit est agréable, d'un style aisé...belle conclusion.
( Vos 1er et 4ème quatrains sont en rimes suivies et non alternées )
Attention à conserver l'orthographe initiale demandée dans la liste des mots imposés ( alambiqué )
( s'araser ) ( rives bétonnées )
( Pensez à ne pas couper une phrase : 3 et 4ème vers...2ème quatrain, c'est plus joli... )
**********
12 Sur la Réflexion POLYMNIE2 8.85
Sacerdoce aaronide me laisse bien songeuse !
Leçon ne peut qu’abasourdir devant la beauté
En son accolade tendue, aussi large, qu’avantageuse
Pour recevoir mon admission sans la dénoyauter !
Sensations intérieures se figent, me manque l’aile aérienne
Pour faire en l’esprit un affinage simple du Verbe aimer clair
Et agencer mon ahurissement au gré de mon Âme gardienne
Car s’il paraît pour certains aigre, je vois moi, un arc-en-ciel sous l’éclair!
Devant la nature épurée, fort ajourée n’étant plus ouatée,
Riche sont les fruits akènes pour la saison morte au sol linceul,
L’automne avec ses boulets, ses glands, sa châtaigne convoitée
Grillée sur fournaise, le goût alambiqué s’émousse dans un lin seul !
Tel le mot des mots en poésie, pour améliorer sa finesse
Il faut araser sans repos les pensées juteuses qu’elles exportent à deux mains,
Apaiser l’âme, parfois amère, aqueuse sans ignorer l’ivresse,
Oublier l’angoisse qui tenaille au cœur et durcit l’aorte pour vivre demain !
Tel un athlète cet homme paraît Dieu, je l’imagine ayant droit à l’aubaine
De déplacer en montagne l’avalanche ! Awa n’est pas son prénom
Il l’aseptise, le mérite bien, sur cime axée loin de la foule suburbaine,
Là où il prend belle ascension, soucieux d’azur, il ne dit jamais non !
Très belle réflexion sur "votre âme gardienne" un texte qui fait réfléchir, savoir "prendre l'essentiel et ôter l'insignifiant( Vos 1er et 4ème quatrains sont en rimes suivies et non alternées )
Attention à conserver l'orthographe initiale demandée dans la liste des mots imposés ( alambiqué )
( s'araser ) ( rives bétonnées )
( Pensez à ne pas couper une phrase : 3 et 4ème vers...2ème quatrain, c'est plus joli... )
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12 Sur la Réflexion POLYMNIE2 8.85
Sacerdoce aaronide me laisse bien songeuse !
Leçon ne peut qu’abasourdir devant la beauté
En son accolade tendue, aussi large, qu’avantageuse
Pour recevoir mon admission sans la dénoyauter !
Sensations intérieures se figent, me manque l’aile aérienne
Pour faire en l’esprit un affinage simple du Verbe aimer clair
Et agencer mon ahurissement au gré de mon Âme gardienne
Car s’il paraît pour certains aigre, je vois moi, un arc-en-ciel sous l’éclair!
Devant la nature épurée, fort ajourée n’étant plus ouatée,
Riche sont les fruits akènes pour la saison morte au sol linceul,
L’automne avec ses boulets, ses glands, sa châtaigne convoitée
Grillée sur fournaise, le goût alambiqué s’émousse dans un lin seul !
Tel le mot des mots en poésie, pour améliorer sa finesse
Il faut araser sans repos les pensées juteuses qu’elles exportent à deux mains,
Apaiser l’âme, parfois amère, aqueuse sans ignorer l’ivresse,
Oublier l’angoisse qui tenaille au cœur et durcit l’aorte pour vivre demain !
Tel un athlète cet homme paraît Dieu, je l’imagine ayant droit à l’aubaine
De déplacer en montagne l’avalanche ! Awa n’est pas son prénom
Il l’aseptise, le mérite bien, sur cime axée loin de la foule suburbaine,
Là où il prend belle ascension, soucieux d’azur, il ne dit jamais non !
Belle lecture et belle philosophie
Respect des mots imposés et rimes ABAB (de plus F/M et riches…mais elles n’étaient pas inscrites dans les consignes)
Une belle ascension cette réflexion !
C'est très beau, mots bien placés, sur un fond très cohérent ...Bravo !
***************
13 Astrologie du prénom AWA
La peau des mots POLYMIE2 8.75
Tu entres dans la vie Aérienne raflant tous les cadeaux !
Comme le frère aîné de Moïse avec l’Aaronide !
Laisse-moi abasourdir de mots ta véritable peau
Car déjà ton initiale A offre un puissant saronide !
Suivi du double V la pyramide renversée agit,
Lui donne une accolade et voici l’aubaine
D’une série de dons pour l’admission offrant fin écrin qui réagit !
Une arrivée près des cieux en souffle d’air, son oxygène !
Sensation universelle axée sur l’Amour faisant son plein,
Tes qualités procurent l’ahurissement de ta chair bien modulée
Par ta force d' apaiser tes mots, déracine ton chant archiplein !
Un même refrain pour toi l’athlète qui aseptise la belle-ouvrage adulée !
Tu ne peux araser ce champ magnétique si bien manié,
Sinon améliorer un affinage essentiel pour l’être
Afin que de l’avalanche, l’aigre-doux sec ne soit pas épargné
Alambiqué d’amour, il faut purger les akènes tels ceux d’un hêtre !
Tu sais tout agencer judicieusement, toi né, Grand Penseur
Le peu sociable, te préservant d’angoisse pour mieux panser les pensées,
Cet ayant droit cristallin t’offre une humeur aqueuse, sa Grandeur,
Bienfaitrice pour l’aorte d’azur éternellement cadencée.
Bravo Awa si tu aboies c’est pour la peau des mots
Jusque dans le sang elle se chante claironnée
Tu nous joues la symphonie des émaux
Sur partition parfaite ajourée de lumières fleuronnées !
Bravo pour cette revue de mots à son sujet
Respect des mots imposés sauf « apaisée » au lieu de l’infinitif demandé
Quelques vers un peu longs mais belles recherches
Une belle imagination, un très beau 2ème quatrain... Bravo !
Belle aisance dans l'écriture qui coule comme de l'eau de source au fil des mots imposés.
****************
14 Bon gré mal gré pour la poussière, les Anges ! POLYMINIE2 8.91
Sous un bleu parapluie aux baleines dorées,
Je suis Awa, en bel athlète, j’aime l’ascension
Ajourée d’Alpines lumières colorées
Et l’angoisse à vaincre lors de ses vertigineuses sensations.
Je n’ai pas l’assurance, mais la foi de l’Aaronide,
Ma respiration se fait rapide, l’escalade ronge son frein
Pour grimper le plaisir en l’aigre abrupt de la pyramide.
L’émoi se cramponne à mon dos l’aorte bat son refrain.
Inlassables efforts au gré de mon pas en genoux flexion sacrifiée
Sur le plissé de la paroi avec piolet pour agencer l’appui sûr sous crampons,
Me permet d’améliorer l’affinage des akènes de la pierre certifiée.
Je ne fais qu’un, agrippé au roc, et m’en moque comme un colin-tampon !
L’admission je la veux, c’est ma sécurité, mon ayant droit qui me délivre,
Apaiser mes craintes sous la brume aqueuse, je me l’offrirai !
Araser la pointe de ce monument serait bel ahurissement ! je dégivre
Et deviens vert devant le peu qu’il reste à faire, que j’atteindrai !
Je m’imagine lézard serpentant vers la cime
Je gobe le désir alambiqué de frousse et d’espérance pour mon honneur,
Ma voie est axée vers ma fierté la plus chère, intime,
Je veux vivre ce moment, en « chandeleur » !
Hourra ! En une accolade aérienne, suivie d’émotions livides,
Je suis au sommet de la rude montagne froissée, loin de l’Everest
En démesurés gestes je deviens son barreau Maître Rigide!
Le meilleur de moi-même, quelle aubaine ce plateau de la vie, son lest !
Une avalanche de mots, mon cœur vers l’immensité généreuse,
Se libère pour la sacrer, veut l’abasourdir
De pensées retenues faisant candide la diversité vertueuse !
La neige fond, puis tombe, pour m’applaudir !
Devant la Grandeur en révérence qui m’aseptise,
Je me sens fragile, infime, devant son chant serein,
Entouré de lumières qui me rebaptisent,
Et sous la voute céleste sourit l’azur en symbole d'airain !
Awa aux ailes d'ange dans une ascension à hauts risquesBelle aisance dans l'écriture qui coule comme de l'eau de source au fil des mots imposés.
****************
14 Bon gré mal gré pour la poussière, les Anges ! POLYMINIE2 8.91
Sous un bleu parapluie aux baleines dorées,
Je suis Awa, en bel athlète, j’aime l’ascension
Ajourée d’Alpines lumières colorées
Et l’angoisse à vaincre lors de ses vertigineuses sensations.
Je n’ai pas l’assurance, mais la foi de l’Aaronide,
Ma respiration se fait rapide, l’escalade ronge son frein
Pour grimper le plaisir en l’aigre abrupt de la pyramide.
L’émoi se cramponne à mon dos l’aorte bat son refrain.
Inlassables efforts au gré de mon pas en genoux flexion sacrifiée
Sur le plissé de la paroi avec piolet pour agencer l’appui sûr sous crampons,
Me permet d’améliorer l’affinage des akènes de la pierre certifiée.
Je ne fais qu’un, agrippé au roc, et m’en moque comme un colin-tampon !
L’admission je la veux, c’est ma sécurité, mon ayant droit qui me délivre,
Apaiser mes craintes sous la brume aqueuse, je me l’offrirai !
Araser la pointe de ce monument serait bel ahurissement ! je dégivre
Et deviens vert devant le peu qu’il reste à faire, que j’atteindrai !
Je m’imagine lézard serpentant vers la cime
Je gobe le désir alambiqué de frousse et d’espérance pour mon honneur,
Ma voie est axée vers ma fierté la plus chère, intime,
Je veux vivre ce moment, en « chandeleur » !
Hourra ! En une accolade aérienne, suivie d’émotions livides,
Je suis au sommet de la rude montagne froissée, loin de l’Everest
En démesurés gestes je deviens son barreau Maître Rigide!
Le meilleur de moi-même, quelle aubaine ce plateau de la vie, son lest !
Une avalanche de mots, mon cœur vers l’immensité généreuse,
Se libère pour la sacrer, veut l’abasourdir
De pensées retenues faisant candide la diversité vertueuse !
La neige fond, puis tombe, pour m’applaudir !
Devant la Grandeur en révérence qui m’aseptise,
Je me sens fragile, infime, devant son chant serein,
Entouré de lumières qui me rebaptisent,
Et sous la voute céleste sourit l’azur en symbole d'airain !
Texte oh combien ! vivant d’efforts, le lecteur escalade au piolet de vos mot, ce corps et âme entre Awa et la montagne
Fluidité de la verve, belle tournures de vers , je vous ai accompagné
beau choix de rimes ,vocabulaire riche
Respect des consignes, belle évocation … se surmonter devant les épreuves et savoir rester humble
J’aime particulièrement ce ver « la neige fond, puis tombe pour m’applaudir »
Certains vers un peu longs par rapport aux autres
Un poème qui montre à quel point il faut vivre l'instant présent comme une dernière
opportunité de réussite " Je veux vivre ce moment en chandeleur "
Beau combat avec soi-même
Mots forts bien placés.
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15 Vendanges RAYMOND3 9.26 médaille d'argent
Dans l’Azur du matin, la grappe Aérienne
Est l’objet de toutes les conversations,
Après l’Accolade, le départ des anciennes,
Vendange débute des treilles en suspension.
Un orage de sécateurs c’est l’Avalanche Axée
Que même ne peut égaler un Awa de jadis
Quand les raisins rejoignent le fût Alambiqué
Belle Aubaine de s’Agencer , par groupe de dix.
Devant l’Ahurissement et la performance
Aaronide n’aurait rien trouvé de plus naturel,
À cette vigne travaillée dans la transparence,
Ajourée pour un Affinage temporel.
À la pause un vent léger soulève les Akènes
Des noisetiers sous lesquels l’Athlète du jour,
Ayant Droit à un repas, va s’ Améliorer, fin mécène,
Rêveurs sans murs ni barrières se régalent tour à tour.
Septembre va s’ Apaiser fermant l’Aorte d’un soleil Aigre,
Sur les cimes le vent vient Araser les pins parasol,
L’humeur Aqueuse et les lents soupirs des ouvriers allègres
Sur une morale s’Aseptise les prières , agenouillés sur le sol.
La pénombre dévore les dernières travailleuses
Abasourdir par l’Admission de ce dur labeur,
Dans l’Angoisse d’un lendemain, très sérieuses,
Affrontent la noble tâche pour leur plus grand bonheur.
Vous avez réussi à nous faire vivre le quotidien des vendangeurs, le tout dans l'ambiance comme ils le vivent,
en Septembre , mois qui lui ai consacré, je vous sacre aussi
Consigne bien respectées, lecture fort harmonieuse…Une description digne d’un artiste peintre, de très belles
Images s’en dégage
L'Automne s'est installé avec vos mots bien placés, un plaisir à vendanger...Bravo !
***********
16 Complainte ordinaire de A à Z ZUC 9.55 médaille d'or
Cette aqueuse vie que Zola nous décrit,
Dans ses romans aigres sur le zinc populaire,
Héros alambiqué que dieu ni Zeus écrit,
La tragédie axée d'un zani séculaire,
Au ciel azur n'a droit qu'au zoo prescrit,
Awa de nos citées zèbre prolétaire,
Pour améliorer notre zeste d'ocris*,
Aseptise le fer au zyklon délétère,
Afflue en l'aorte, zygomatique cris,
Tombent les akènes sous le zéphyr brumaire,
Ajourée fleur des rues au Zénith proscrit,
Roule l'avalanche en zone lunaire,
L'Aaronide fils d'un zouave transcrit,
L'aubaine future d'un Zorro ordinaire,
Par l'ahurissement d'un total zen inscrit,
Pour agencer l'ordre d'un zodiac scolaire,
L’accolade soit au zouk des cricris,
Pour l'athlète robot, simple zinzin primaire,
Avec l'admission d'un zéro circonscrit,
L'affinage des prix en zèle tarifaire,
Pour apaiser l'impôt et zapper en sanskrit,
Ainsi abasourdir Zoé chat contestataire,
l’angoisse du félin et zozote Bacri,
Araser de murs gris, zigzag interstellaire
d'un ayant droit à quoi, zut aux colons conscrits,
L'aérienne fin au zippo nucléaire.
Un exercice risqué que vous réussissez haut la main, bel ouvrageCette aqueuse vie que Zola nous décrit,
Dans ses romans aigres sur le zinc populaire,
Héros alambiqué que dieu ni Zeus écrit,
La tragédie axée d'un zani séculaire,
Au ciel azur n'a droit qu'au zoo prescrit,
Awa de nos citées zèbre prolétaire,
Pour améliorer notre zeste d'ocris*,
Aseptise le fer au zyklon délétère,
Afflue en l'aorte, zygomatique cris,
Tombent les akènes sous le zéphyr brumaire,
Ajourée fleur des rues au Zénith proscrit,
Roule l'avalanche en zone lunaire,
L'Aaronide fils d'un zouave transcrit,
L'aubaine future d'un Zorro ordinaire,
Par l'ahurissement d'un total zen inscrit,
Pour agencer l'ordre d'un zodiac scolaire,
L’accolade soit au zouk des cricris,
Pour l'athlète robot, simple zinzin primaire,
Avec l'admission d'un zéro circonscrit,
L'affinage des prix en zèle tarifaire,
Pour apaiser l'impôt et zapper en sanskrit,
Ainsi abasourdir Zoé chat contestataire,
l’angoisse du félin et zozote Bacri,
Araser de murs gris, zigzag interstellaire
d'un ayant droit à quoi, zut aux colons conscrits,
L'aérienne fin au zippo nucléaire.
vous avez tenter l'impossible et chaque vers tient debout, t un lien d'entre vos lignes pas mal du tout
j’aime beaucoup
Un poème " alambiqué " mais qui fait passer un message très clair
Consignes respectées.
Consignes respectées avec en plus des rimes tout en 1 et en aire
Bravo pour tous ces Z en chaque vers : vous avez multipliés les difficultés !
« zigomatiques cris »
Des pensées de Zola au gout du jour !
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17 Vingt six maux LURON1er 7.45
Aux ayants droits de vouloir jouer à cette forme alambiquée,
Peut-être avec un k’awa aseptisé aux yeux des athlètes belges.
Comme agencer l’accolade des zéros pour une admission sophistiquée.
L’affinage du mot permet d’apaiser les esprits, d’abasourdir pour donner le change,
D’araser les angoisses aériennes d’une zone d’ahurissement brusquée.
La bonne aubaine pour l’aaronide pliant sous les avalanches ajourées d’asperges,
La saveur aigre douce axée sur la source aqueuse de l’azur permet de débusquer
Le symptôme en son aorte polluée par l’akène qui se refuse à améliorer l’arpège.
Condensé de mots imposés fort bien placés..
Le message est passé....Bravo !
Attention à conserver l'orthographe initiale de la liste des mots imposés
Attention aux mots imposés …J’aime bien le K’Awa…
Change ne rime ni avec belge ni avec asperge
Un fond un peu difficile à saisir à la première lecture
Doléances d'un rêve avorté IBOUJO
AGENCER sa vie AXEE autour du sport
J'étais ATHLETE d'un niveau élevé
Une AUBAINE, le podium après l'effort
Et les ACCOLADES d' agrions°, des poupées
Avec cordon et médaille, en robe de Dior
L'ADMISSION en Ecole de sauts , spécialisée
Ne fut pas mince affaire, toujours dehors
Je ressentais l'ANGOISSE pour m'AMELIORER
AHURISSANT destin, après la mine d'Or
Le trou noir, je fus atteinte d'une totale cécité .
L'humeur AQUEUSE des yeux ,touchée à mort
Je devins AIGRE au caractère acide de la vitriolée
AJOURNEE, sans entrainement , Bigre de sort!
J'étais si AERIENNE : "La hauteur" , ma spécialité
Gravissant l'air, tel l' oiseau AYANT DROIT au Vercors
L'AFFINAGE technique ? Surpasser tout compétiteur
Devenue l'excellence ,je touchais l'AZUR annexant le corps .
Ainsi est la Vie , avec ses joies simples , ses maux en profondeur
M'isolant comme au fond de l'une des Provinces d'AWA, grise
La forme , je percevais la coulée de sang de l'AORTE du cœur ,
Une position ALEMBIQUEE ,en champ stérile où tout s'ASEPTISE
Je recevais certes, une AVALANCHE de courriers d'admirateurs
Du soutien, à ABASOURDIR mes proches ,si aidants, si aimants comme Lise
Ma sœur , mais je restais cet AKHENE sec de châtaignier, sec de pleurs,
Le noir m'a englué , comme l'araignée dans sa guipure de Venise .
Le rêve avorté, j'ai pensé à ma clarté intérieure pour APAISER ma rancœur
Ayant le sursaut de dire :"Ma fille, courage", le braille dira que tu idéalises
D'être la meilleure sur un stade . T 'ARASER sera ta mise à niveau du bonheur.
*****************
Toute fable a une moralité Llumierelive
Par des temps reculés en Aaronide contrée,
Se laissant émouvoir par un bel Awa
Dont le corps d’athlète se portait à folâtrer,
Une jeune métisse se croyait l’ayant droit,
Sous un ciel d’azur il voulait l’enflammer
Par la douce offrande d’akènes croquants
Lui promettant en accolade affamée
L’avalanche de plaisirs sans encan,
En l’assurance de cette aubaine
Il songea à agencer couche nouvelle
Pour l’admission de son Anadyomène
Avant que geste alambiqué ne révèle,
Mais dans un ahurissement le plus total
Cette Vénus axée sur la pruderie
D’une voix aqueuse âpre et brutale
Lui lança sans affinage un hourvari,
Avec angoisse l’Adonis resta atterré,
Son aérienne chimère s’écroulait,
S’abasourdir en confusion ulcérée,
L’aorte de son cœur cherchait la paix,
Comment améliorer cette conjoncture,
Araser la colère de cette pucelle
Dont l’aigre rancœur semblait fracture,
Apaiser et calmer la demoiselle ?
Moralité claire et ajourée de cette histoire :
Qu’il aseptise ses sentiments pour l’auditoire !
******************
Divagations. Yves de Fonjerac
Admission de gaz argonide :
Par une Aérienne nuée
L'Aigre grand prêtre Aaronide
Aseptise nef Ajourée.
Cette Avalanche Aqueuse gêne,
Voyez son Ahurissement,
L' Affinage de ses Akènes,
Angoisse de durcissement.
Mon Aorte est très mal Axée
Comme celle d'un chien Awa,
Dit-il en style Alambiqué.
M' Abasourdir de ses ouah!
J'ai une idée pour l'Apaiser:
Une Accolade d'un Athlète
Et pourquoi pas un gros baiser?
Quelle Aubaine pour un ascète!
Pour bien Araser la masure,
Pour Améliorer l'endroit,
Surtout l'Agencer dans l'Azur,
Il faudrait être l' Ayant droit.
**************
Un berceau Nippon Iboujo
C'est un coin de nature d'une Province japonaise qui a pour nom :AWA
La vie est AXEE sur la communauté, sur des AVALANCHES de rites ancestraux
Les hommes ne sont pas des ATHLETES mais sont souples comme des chats
Les femmes , menues, ont les pieds faits prisonniers par des 'lotus' en étaux
Pas d'ACCOLADE, seule ADMISSION aux AYANT-DROITS , les époux
La nuit de noces, inaugurant la natte en bambou où se passeront les ébats
Ebats bénis par Boudha et ce ,jusqu'au ventre rond de Dame Tchi Tchan Sou
Après la délivrance , l' AFFINAGE, elle ira en salle de nuit conjointe , en bas
De la maison familiale , la primipare isolée de tout contact aimant
Pendant l'allaitement. Les Messieurs fument l'opium dans un local nébuleux
S'endormant dans un autre monde. A l 'étage se raconte grand-maman
Les bêtes sauvages à la porte de sa maison, ses peurs et ses abris ténébreux.
Chacun a ses obligations, les hommes aux rizières, à la culture en général,
Les dames en cuisine, préparant le porc AIGRE -doux et des AKENES de chemins
Le soja donneera une texture à la fois liquoreuse et AQUEUSE à la sauce Cardinal
AGENCER ou AMELIORER leur vie? le bonheur à même la nature: Le rêve américain!
la tribu est solidaire , enjouée, les ABASOURDIR avec le frigidaire, le lave linge ,la télé
Ils n'ont pas l'électricité , le soleil est leur lumière ou un feu crépitant et centré du salon
Le dimanche , jour de repos , dans des tenues AERIENNES et colorées, babillages et quolibets
Les femmes à la bambouseraie, s'oxygènent d'AZUR avec des amis , des papillons .
L'eau de l'étang sert à la baignade ,aux incantations pour le nouveau riz de l'an
Que le ciel soit clément. Des sourires de soie rose naissent sur leurs joues satinées
Un tableau de Maitre , elles chatoient d'aisance dans la simplicité de l'instant.
Les hommes séduisent avec des babioles: leur patrimoine, mais s'il a le torse bombé
AUBAINE ! c'est un bon parti, l'AHURISSEMNT d'être l'AORTE au coeur de la collectivité,
Il brûle de l'encens ou des essences florales entêtantes et envoutantes .
Ils ignorent tout rite AANORIDE, Orthodoxe ,Islamique et rien de la Chrètieneté
Pas de situations à l 'ALAMBIQUE , pas d 'ANGOISSE, ni d'agressivité redondante
ARASER par la déforestation ou le surpeuplement urbain cet endroit serein et beau
Serai sacrilège , la nature est thérapie, elle contamine, elle ASEPTISE en même temps
Il est rare de vivre APAISER, et de contempler par la voilette AJOURE d'un berceau
Où tout est paisible, le souffle d'un chérubin endormi pour la nuit d'un temps.
Peut-être avec un k’awa aseptisé aux yeux des athlètes belges.
Comme agencer l’accolade des zéros pour une admission sophistiquée.
L’affinage du mot permet d’apaiser les esprits, d’abasourdir pour donner le change,
D’araser les angoisses aériennes d’une zone d’ahurissement brusquée.
La bonne aubaine pour l’aaronide pliant sous les avalanches ajourées d’asperges,
La saveur aigre douce axée sur la source aqueuse de l’azur permet de débusquer
Le symptôme en son aorte polluée par l’akène qui se refuse à améliorer l’arpège.
Condensé de mots imposés fort bien placés..
Le message est passé....Bravo !
Attention à conserver l'orthographe initiale de la liste des mots imposés
Attention aux mots imposés …J’aime bien le K’Awa…
Change ne rime ni avec belge ni avec asperge
Un fond un peu difficile à saisir à la première lecture
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Hors concours
Dilemme vital...LYSHors concours
" Ai-je en moi la fibre aaronide et suis-je digne de sa mémoire coulant à flot en mon aorte ?
Parfois, elle vient en rêve m'abasourdir, m’insuffler une nouvelle façon de penser,
Je sens l'accolade d'un Dieu immémorable effleurer mon épaule, j'entends la cohorte
Des peuples qui approuvèrent l'admission de ses préceptes de moralité, et dont ils semblent à présent se détourner..."
Aérienne racine des hommes venue d'un ciel encore vierge, par un grand amour fécondée ,
Il suffisait d'un affinage des cœurs pour vivre ensemble, mais le veau d'or avait à jamais leurs âmes, entaché...
Ils auraient dû s'agenouiller plutôt que de défier l'offrande sacrée des tables de lois pour leur entente, l’agencer.
Moïse avec ahurissement découvrit un peuple qui venait de perdre sa dignité, vénérant l'infâme et la cupidité...
Un vent aigre soufflait sur les tribus, sa peine était incommensurable devant la trahison de son frère...
La toile de la terre promise était ajourée, flottait sur l'azur telle bannière lacérée, son cœur s'était voilé de deuil,
Sa foi était inébranlable, mais celle de son peuple aussi fragile que des akènes plumeux...constatation amère...
Le chemin ouvert avait un tracé beaucoup plus alambiqué, l'enseignement subtil avait généré l'écueil...
Les prêches fraternelles devaient améliorer le comportement des hommes en quête de vérité, effacer l'angoisse...
" En moi subsiste cette grande espérance venue d'ailleurs, celle qui, prophétisée était sensée rassurer, voire apaiser..."
Car la manne aqueuse appelée Jourdain, se fit enfin plus belle que l'or fondu sans que Dieu ne se froisse...
La terre promise apparut aux croyants impénitents, épuisés tels athlètes, ayant droit, de bonheur, exploser...
Comme on aseptise un champ, ils commencèrent à araser les épis du mal d'un lourd passé d'esclaves...
Le soleil caressa ma main qui brisa le verre de la chance et je prononçai ces mots : plus jamais çà ! awa !
Une avalanche de prières s’éleva sous la voûte céleste, une aubaine, pas de neige en cette verdoyante enclave.
" Un réveil sonne, me ramène vers une réalité axée sur le matérialisme... Adieu à mon rêve, patatras ! "
****************
Parfois, elle vient en rêve m'abasourdir, m’insuffler une nouvelle façon de penser,
Je sens l'accolade d'un Dieu immémorable effleurer mon épaule, j'entends la cohorte
Des peuples qui approuvèrent l'admission de ses préceptes de moralité, et dont ils semblent à présent se détourner..."
Aérienne racine des hommes venue d'un ciel encore vierge, par un grand amour fécondée ,
Il suffisait d'un affinage des cœurs pour vivre ensemble, mais le veau d'or avait à jamais leurs âmes, entaché...
Ils auraient dû s'agenouiller plutôt que de défier l'offrande sacrée des tables de lois pour leur entente, l’agencer.
Moïse avec ahurissement découvrit un peuple qui venait de perdre sa dignité, vénérant l'infâme et la cupidité...
Un vent aigre soufflait sur les tribus, sa peine était incommensurable devant la trahison de son frère...
La toile de la terre promise était ajourée, flottait sur l'azur telle bannière lacérée, son cœur s'était voilé de deuil,
Sa foi était inébranlable, mais celle de son peuple aussi fragile que des akènes plumeux...constatation amère...
Le chemin ouvert avait un tracé beaucoup plus alambiqué, l'enseignement subtil avait généré l'écueil...
Les prêches fraternelles devaient améliorer le comportement des hommes en quête de vérité, effacer l'angoisse...
" En moi subsiste cette grande espérance venue d'ailleurs, celle qui, prophétisée était sensée rassurer, voire apaiser..."
Car la manne aqueuse appelée Jourdain, se fit enfin plus belle que l'or fondu sans que Dieu ne se froisse...
La terre promise apparut aux croyants impénitents, épuisés tels athlètes, ayant droit, de bonheur, exploser...
Comme on aseptise un champ, ils commencèrent à araser les épis du mal d'un lourd passé d'esclaves...
Le soleil caressa ma main qui brisa le verre de la chance et je prononçai ces mots : plus jamais çà ! awa !
Une avalanche de prières s’éleva sous la voûte céleste, une aubaine, pas de neige en cette verdoyante enclave.
" Un réveil sonne, me ramène vers une réalité axée sur le matérialisme... Adieu à mon rêve, patatras ! "
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Doléances d'un rêve avorté IBOUJO
AGENCER sa vie AXEE autour du sport
J'étais ATHLETE d'un niveau élevé
Une AUBAINE, le podium après l'effort
Et les ACCOLADES d' agrions°, des poupées
Avec cordon et médaille, en robe de Dior
L'ADMISSION en Ecole de sauts , spécialisée
Ne fut pas mince affaire, toujours dehors
Je ressentais l'ANGOISSE pour m'AMELIORER
AHURISSANT destin, après la mine d'Or
Le trou noir, je fus atteinte d'une totale cécité .
L'humeur AQUEUSE des yeux ,touchée à mort
Je devins AIGRE au caractère acide de la vitriolée
AJOURNEE, sans entrainement , Bigre de sort!
J'étais si AERIENNE : "La hauteur" , ma spécialité
Gravissant l'air, tel l' oiseau AYANT DROIT au Vercors
L'AFFINAGE technique ? Surpasser tout compétiteur
Devenue l'excellence ,je touchais l'AZUR annexant le corps .
Ainsi est la Vie , avec ses joies simples , ses maux en profondeur
M'isolant comme au fond de l'une des Provinces d'AWA, grise
La forme , je percevais la coulée de sang de l'AORTE du cœur ,
Une position ALEMBIQUEE ,en champ stérile où tout s'ASEPTISE
Je recevais certes, une AVALANCHE de courriers d'admirateurs
Du soutien, à ABASOURDIR mes proches ,si aidants, si aimants comme Lise
Ma sœur , mais je restais cet AKHENE sec de châtaignier, sec de pleurs,
Le noir m'a englué , comme l'araignée dans sa guipure de Venise .
Le rêve avorté, j'ai pensé à ma clarté intérieure pour APAISER ma rancœur
Ayant le sursaut de dire :"Ma fille, courage", le braille dira que tu idéalises
D'être la meilleure sur un stade . T 'ARASER sera ta mise à niveau du bonheur.
*****************
Toute fable a une moralité Llumierelive
Par des temps reculés en Aaronide contrée,
Se laissant émouvoir par un bel Awa
Dont le corps d’athlète se portait à folâtrer,
Une jeune métisse se croyait l’ayant droit,
Sous un ciel d’azur il voulait l’enflammer
Par la douce offrande d’akènes croquants
Lui promettant en accolade affamée
L’avalanche de plaisirs sans encan,
En l’assurance de cette aubaine
Il songea à agencer couche nouvelle
Pour l’admission de son Anadyomène
Avant que geste alambiqué ne révèle,
Mais dans un ahurissement le plus total
Cette Vénus axée sur la pruderie
D’une voix aqueuse âpre et brutale
Lui lança sans affinage un hourvari,
Avec angoisse l’Adonis resta atterré,
Son aérienne chimère s’écroulait,
S’abasourdir en confusion ulcérée,
L’aorte de son cœur cherchait la paix,
Comment améliorer cette conjoncture,
Araser la colère de cette pucelle
Dont l’aigre rancœur semblait fracture,
Apaiser et calmer la demoiselle ?
Moralité claire et ajourée de cette histoire :
Qu’il aseptise ses sentiments pour l’auditoire !
******************
Divagations. Yves de Fonjerac
Admission de gaz argonide :
Par une Aérienne nuée
L'Aigre grand prêtre Aaronide
Aseptise nef Ajourée.
Cette Avalanche Aqueuse gêne,
Voyez son Ahurissement,
L' Affinage de ses Akènes,
Angoisse de durcissement.
Mon Aorte est très mal Axée
Comme celle d'un chien Awa,
Dit-il en style Alambiqué.
M' Abasourdir de ses ouah!
J'ai une idée pour l'Apaiser:
Une Accolade d'un Athlète
Et pourquoi pas un gros baiser?
Quelle Aubaine pour un ascète!
Pour bien Araser la masure,
Pour Améliorer l'endroit,
Surtout l'Agencer dans l'Azur,
Il faudrait être l' Ayant droit.
**************
Un berceau Nippon Iboujo
C'est un coin de nature d'une Province japonaise qui a pour nom :AWA
La vie est AXEE sur la communauté, sur des AVALANCHES de rites ancestraux
Les hommes ne sont pas des ATHLETES mais sont souples comme des chats
Les femmes , menues, ont les pieds faits prisonniers par des 'lotus' en étaux
Pas d'ACCOLADE, seule ADMISSION aux AYANT-DROITS , les époux
La nuit de noces, inaugurant la natte en bambou où se passeront les ébats
Ebats bénis par Boudha et ce ,jusqu'au ventre rond de Dame Tchi Tchan Sou
Après la délivrance , l' AFFINAGE, elle ira en salle de nuit conjointe , en bas
De la maison familiale , la primipare isolée de tout contact aimant
Pendant l'allaitement. Les Messieurs fument l'opium dans un local nébuleux
S'endormant dans un autre monde. A l 'étage se raconte grand-maman
Les bêtes sauvages à la porte de sa maison, ses peurs et ses abris ténébreux.
Chacun a ses obligations, les hommes aux rizières, à la culture en général,
Les dames en cuisine, préparant le porc AIGRE -doux et des AKENES de chemins
Le soja donneera une texture à la fois liquoreuse et AQUEUSE à la sauce Cardinal
AGENCER ou AMELIORER leur vie? le bonheur à même la nature: Le rêve américain!
la tribu est solidaire , enjouée, les ABASOURDIR avec le frigidaire, le lave linge ,la télé
Ils n'ont pas l'électricité , le soleil est leur lumière ou un feu crépitant et centré du salon
Le dimanche , jour de repos , dans des tenues AERIENNES et colorées, babillages et quolibets
Les femmes à la bambouseraie, s'oxygènent d'AZUR avec des amis , des papillons .
L'eau de l'étang sert à la baignade ,aux incantations pour le nouveau riz de l'an
Que le ciel soit clément. Des sourires de soie rose naissent sur leurs joues satinées
Un tableau de Maitre , elles chatoient d'aisance dans la simplicité de l'instant.
Les hommes séduisent avec des babioles: leur patrimoine, mais s'il a le torse bombé
AUBAINE ! c'est un bon parti, l'AHURISSEMNT d'être l'AORTE au coeur de la collectivité,
Il brûle de l'encens ou des essences florales entêtantes et envoutantes .
Ils ignorent tout rite AANORIDE, Orthodoxe ,Islamique et rien de la Chrètieneté
Pas de situations à l 'ALAMBIQUE , pas d 'ANGOISSE, ni d'agressivité redondante
ARASER par la déforestation ou le surpeuplement urbain cet endroit serein et beau
Serai sacrilège , la nature est thérapie, elle contamine, elle ASEPTISE en même temps
Il est rare de vivre APAISER, et de contempler par la voilette AJOURE d'un berceau
Où tout est paisible, le souffle d'un chérubin endormi pour la nuit d'un temps.
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