Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Ses odeurs inoubliables

kinkin

Maître Poète
#1
Ses odeurs inoubliables

En sortant de chez moi ce matin de bonne heure
Je sentais la fumée du feu de bois d’ Automne
Je me suis dit pourquoi pas faire un écrit sur les odeurs
Il m’en est revenu a ma mémoire des tonnes

Comme la fraîcheur du matin d’Eté du mois de Septembre
Badigeonné de Vicks vaporub ou de l’essence algérienne
Quand je tremblais de fièvre de tous mes membres

La senteur d’un grog par ma bonne mamy Félicienne

Ou comme le pain cuit du boulanger le matin
Quand nous montions la rue pour aller a l’école
A cette classe qui sentait bon le bois de sapin
La craie, l’estrade, l’encre, le buvard et la colle

L’hiver nous jouions sur la place du village
Le Mercredi avec dans le nez la fumée de charbon
Nous rentrions à la maison crevés et en age

Le maroilles fondu sur du pain nous le dégustions

C’est a cette époque que j’ai découvert le goût du Liégeois
Du Ketchup, des berlingots Nestlé, des pâtes au beurre
Le lait chaud avec la peau tiré du pis pris avec du Banania
Nous passions devant le silo de pulpe fait par le cultivateur

IL revient a mes narines la pelouse fraîchement coupée au stade
Pour le match de foot du samedi contre des équipes adverses
Le camphre, les oranges a la mi temps et la sueur de mes camarades
Direction notre domicile par le bitume mouillé après l’averse

Le Dimanche matin, il y avait la flagrance d’après rasage du père
L’ odeur de cuisine de ma mère envahissait les murs de la maison
Pot au feu ou poule au pot cuit sur la bonne vieille cuisinière
Souvenirs qui remontent avec l’âge ou tout cela sentait bon
 
#18
Ses odeurs inoubliables

En sortant de chez moi ce matin de bonne heure
Je sentais la fumée du feu de bois d’ Automne
Je me suis dit pourquoi pas faire un écrit sur les odeurs
Il m’en est revenu a ma mémoire des tonnes


Comme la fraîcheur du matin d’Eté du mois de Septembre
Badigeonné de Vicks vaporub ou de l’essence algérienne
Quand je tremblais de fièvre de tous mes membres
La senteur d’un grog par ma bonne mamy Félicienne


Ou comme le pain cuit du boulanger le matin
Quand nous montions la rue pour aller a l’école
A cette classe qui sentait bon le bois de sapin
La craie, l’estrade, l’encre, le buvard et la colle


L’hiver nous jouions sur la place du village
Le Mercredi avec dans le nez la fumée de charbon
Nous rentrions à la maison crevés et en age
Le maroilles fondu sur du pain nous le dégustions


C’est a cette époque que j’ai découvert le goût du Liégeois
Du Ketchup, des berlingots Nestlé, des pâtes au beurre
Le lait chaud avec la peau tiré du pis pris avec du Banania
Nous passions devant le silo de pulpe fait par le cultivateur


IL revient a mes narines la pelouse fraîchement coupée au stade
Pour le match de foot du samedi contre des équipes adverses
Le camphre, les oranges a la mi temps et la sueur de mes camarades
Direction notre domicile par le bitume mouillé après l’averse


Le Dimanche matin, il y avait la flagrance d’après rasage du père
L’ odeur de cuisine de ma mère envahissait les murs de la maison
Pot au feu ou poule au pot cuit sur la bonne vieille cuisinière
Souvenirs qui remontent avec l’âge ou tout cela sentait bon
Beau partage merci Kinkin
Merci belle journee
 

Margho

Maître Poète
#19
Ses odeurs inoubliables

En sortant de chez moi ce matin de bonne heure
Je sentais la fumée du feu de bois d’ Automne
Je me suis dit pourquoi pas faire un écrit sur les odeurs
Il m’en est revenu a ma mémoire des tonnes


Comme la fraîcheur du matin d’Eté du mois de Septembre
Badigeonné de Vicks vaporub ou de l’essence algérienne
Quand je tremblais de fièvre de tous mes membres
La senteur d’un grog par ma bonne mamy Félicienne


Ou comme le pain cuit du boulanger le matin
Quand nous montions la rue pour aller a l’école
A cette classe qui sentait bon le bois de sapin
La craie, l’estrade, l’encre, le buvard et la colle


L’hiver nous jouions sur la place du village
Le Mercredi avec dans le nez la fumée de charbon
Nous rentrions à la maison crevés et en age
Le maroilles fondu sur du pain nous le dégustions


C’est a cette époque que j’ai découvert le goût du Liégeois
Du Ketchup, des berlingots Nestlé, des pâtes au beurre
Le lait chaud avec la peau tiré du pis pris avec du Banania
Nous passions devant le silo de pulpe fait par le cultivateur


IL revient a mes narines la pelouse fraîchement coupée au stade
Pour le match de foot du samedi contre des équipes adverses
Le camphre, les oranges a la mi temps et la sueur de mes camarades
Direction notre domicile par le bitume mouillé après l’averse


Le Dimanche matin, il y avait la flagrance d’après rasage du père
L’ odeur de cuisine de ma mère envahissait les murs de la maison
Pot au feu ou poule au pot cuit sur la bonne vieille cuisinière
Souvenirs qui remontent avec l’âge ou tout cela sentait bon
Entre nous (car je risque de m'attirer les foudres des littéraires), ton poème me touche plus que les madeleines !
 

Vega46

Maître Poète
#20
Les odeurs qui sont les plus imprégnées en moi.....le café en grains qu’il fallait moudre le matin et celles des petites épiceries de campagnes à l’ouverture de la porte!.