Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Résultat du concours une chanson pour votre maman

#1
Concours : une chanson pour votre maman

fete des mères.png


Du 21mai au 31 mai, résultats 3 juin

Pas très original mais la fête des mères approche…En cette occasion je vous propose d’écrire les paroles d’une chanson dédiée à votre maman…

Consignes :

4 couplets de 4 vers rimes ABAB
Alternés par des couplets de 2 vers AA
( refrain)
La métrique reste aléatoire car comme dans une chanson les mots peuvent se moduler (toujours/ toujououours)
Rimes féminines et masculines non indispensables

Choisissez des rimes riches

Attention à l'orthographe, aux accords de temps, à la ponctuation....


Envoi de vos poèmes sur mon MP

Je demande aux participants d’attendre les résultats pour poster sur leur page personnelle les poèmes présentés au concours

Ne pas mettre de poèmes dans la rubrique commentaires mais les joindre sur mon MP, ils figureront en hors concours dès la parution des résultats



Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP



Chef de jury : Llumierelive



« Une maman c’est la caresse d’une vie »
Jean Gastaldi


Médaille d'or JANU 9
Médaille d'argent POLYMNIE2 8.82
Médaille de bronze IBOUJO 8.57

LURON1er 7.33
De la recherche dans le texte, mais difficile à chanter
Rimes suffisantes en majeure partie
Consignes respectées dans l’ensemble, une joyeuse chanson
1 Bonne fête à toi, maman !

Ta fête à toi, maman,
C’est maintenant.

Ma verve dare-dare me vient au fond des vers,
C'est mon hayon en miel, la sueur pour tes égards,
Toutes mes grandes proses en sont mes travers,
Si demain s’unit ton texte au mien, je serais le fêtard.

Ta fête à toi, maman,
C’est maintenant.

Mon flegme panique par l'envie de son sort à elle,
Toutes mes armes recherchées pour que ne souffre sa couche,
Tes soupires, tes caresses tout ce qui te rend toujours plus belle,
Tous ces émaux gercés et l'apprêt s'effacent quand elle se douche.

Ta fête à toi, maman,
C’est maintenant.

Les ânes nés dépassent et là se vautrent quand ils sont tout gnangnan,
Toi, Maman, l'envie nous fait toujours des colis plus beaux,
Même si mes dénégations dérangent, mon travail se veut toujours poignant,
Mais pour bien, pour cette ronde, je mangerais mon chapeau.

Ta fête à toi, maman,
C’est maintenant.

Tous ces parents qui ne comprennent toutes mes mirifiques chaleurs,
Maman est très belle, elle lave pour découdre toutes mes cicatrices,
Dès demain elle fera valser les mers en files, la danse des canards du bonheur,
A tous, cette maman est pour ses enfants, sans vendre, mais créatrice.

Ta fête à toi, maman,
C’est maintenant.


*********

FREDERIC REBOUL 7.07
Le fond est émouvant, mais c'est difficile à chanter
Oubli de 2 refrains ( qui doivent être identiques chaque fois où, à un ou 2 mots près )
Manquent quelques rimes riches.
Belles rimes, dommage il manque un « refrain » entre le 3ème et 4ème quatrain et le « refrain » devrait rester à l’identique… « des secrets venus »

Très imagé…


2 Mon enfance et merci Maman

Maman, mon institutrice, tu étais,
Ma mère, me mettant le couvert,
Des histoires, ma tête sur les taies
Des secrets, venu, se sont ouverts.

Tu me poussais une chansonnette,
En notre belle petite maisonnette.

Papa travaillait dur pour nos belles vacances.
Tu t’occupais, ma douce, de ma sœur et moi.
On ne voulait être que rigolos avec Florence.
Je le retranscris aujourd’hui avec cœur, émoi.

Éducation qui était boulot, efforts de tous les jours.
Une bonne maîtresse à l’école comme à la maison.
Une directrice te disait une matrice pour toujours.
L’apprentissage des phrases et des mots a eu raison.

Joue, ne sois pas une marionnette,
Pantin, j’essaie de rester honnête.

Évolution, Maman, qui porte ses fruits.
Me blessant sur les jeux, ta tendresse.
Dans cette cour, il y avait tant de bruit,
D’autres enfants sont dans cette détresse.

Merci Maman


***********

LURON1er 8.11

Un texte que l'on chante aisément.
J'aime bien votre refrain ( joli jeu de mot )
( La voyant s'empêtrer )
Rimes suffisantes en majeure partie.
Consignes respectées, une page de vie dans de bons jeux de mots



3 L’effet mère.

Au couple de la vie, ensemble, ils créèrent,
Elle muta, de l’effet mère en fut la maman,
Et berça en bras sa fille toute fière,
L’être qui vient de paraître, déjà l’aimant.

L’effet mère est éphémère maintenant,
L’effet maman est toujours permanent.

Pour l’école, au matin, elle fit des tresses,
Pour son éducation et pour son instruction,
Elle devait céder à la jolie maîtresse,
Attendant jusqu’au soir, le retour d’émotion.

L’effet mère est éphémère maintenant,
L’effet maman est toujours permanent.

L'ado, à son âge, s’habillait en guenilles,
Car c’est l’époque débraillée qui voulait ça,
Mais consentante, elle lui passait ses broutilles,
La voyant empêtrer, encore, elle acquiesça.

L’effet mère est éphémère maintenant,
L’effet maman est toujours permanent.

D'adulte, quand son enfant trouva l’âme sœur,
Au statut supérieur, elle devint belle maman,
Dans leur chambre, ils firent des projets de bonheur,
Arrivant au summum, était grande maman.

L’effet mère est éphémère maintenant,
L’effet maman est toujours permanent.


********
PROSE16 8.42

Une bien jolie chanson...Bravo !
Vous auriez dû garder le même refrain jusqu'au bout de votre écrit
pour plus d'harmonie.
Beaucoup de rimes suffisantes.

Respect des consignes, fort belle ritournelle emplie d’amour


4 Éternelle ritournelle...

Belles mamans du monde
De toutes les couleurs,
Faites une jolie ronde
Joignez vos mains vos cœurs...

Dansez sur l'arc-en-ciel
L'air a le goût du miel !

Prenez ma ritournelle
Et chantez la en chœur,
Votre âme ouvre ses ailes
Pour en chasser ses peurs...


Dansez sur l'arc-en-ciel
L'air a le goût du miel !

Moumoune, ma Fleur Chérie,
Je t'offre mon amour
Mon regard qui sourit
Mes mots de tous les jours...

Viens dans mes bras je t'aime
Et te lis ce poème...

Je deviens ta mémoire
J'allume l'étincelle,
Je cherche en mon grimoire
La clé "vie éternelle"...

Viens dans mes bras je t'aime
Et te lis ce poème...


***********
FREDERIC REBOUL 7.40

Fond très émouvant mais difficile à chanter par moment ( phrases un peu longues)
Il vous manque 2 refrains ( entre 1er et 2ème couplet ainsi qu'entre le 3ème et 4ème )
le dernier est différent mais convient très bien .
( belle-mère ?)
Parfait pour les rimes riches.

Belles rimes riches, ode à mère nature plutôt qu’à la maman…

5 Mère nature

Si tu savais, céleste, Maman.
L’astrale, tu crées une voûte,
Une étoile de ce firmament.
Douce, délicate, tu envoûtes.

Ma mère nature, qui, toi, si sensible, tu es toujours restée sereine.
Une grave dégradation de ton climat accentuée, une acclimatation.
Parce que certains hommes veulent, à petit feu, te tuer, belle reine.
Suite, dépressions, tu es habituée, on va devoir apprendre la natation.

Oh ! Que de patience !
Oh ! Et que de science !

Tu nous protèges et veux rester notre amie.
Combien de fois, as-tu dis attention à la faune !
Énervée, tremblante, t’effondrant, Tsunami.
Besoin de sévir, le Monde doit rester aphone.

Telle une merveilleuse fleur, tu nous pardonnes.
Sous la rosée, tes larmes d’eau soignent la flore.
Que de beauté, sans rien demander, tu donnes.
Les pétales déployés, l’espoir, tu laisses éclore.

Oh ! Réveille notre âme et conscience !
Oh ! Belle mer révèle nos déficiences !


*********

IBOUJO médaille de bronze 8.57


Comme cette chanson est poignante ! Vous m'avez émue.
Progression de votre refrain qui m'a plu, mais il eut été préférable de la maintenir
après le 3ème et 4ème couplet, quant au dernier c'est une conclusion parfaite.
( Attention, respecter les rimes AA avant-dernier refrain)
Belles rimes riches en majeure partie.
Dommage… « je ne dors plus » ne rime pas avec « j’avais pris »

Quelques rimes suffisantes mais très émouvant…bouleversant

6 Tu es partie sans faire de bruit

Tu es partie sans faire de bruit,
Comme une poupée délavée,
Le teint blême, déconstruit,
Le souffle court, le cœur larvé.


Il me semblait que tu dormais
Lasse, assoupie, c'est ce que je croyais.


Une blancheur confortée ,
Les mains raides sans assemblage,
Je mettais en vase, les fleurs apportées,
Veillant sur ton beau et doux visage.


Il me semblait que tu dormais,
Lasse, assoupie, le silence amplifiait.


Au secours! j'ai appelé la croix,
Le drap de son long, t'a recouverte ,
Te protégeant, que tu n' aies pas froid,
Un sale moment, que l'âme offerte.


Face à la réalité ,je me rendais,
Lasse, à tes côtés je dormais.


Je ne pouvais accepter l'agonie,
La tête posée sur un corps désaxé,
Je priais à genoux la tyrannie,
Sans bruit, hagarde ,les yeux fixés.


Être séparées à un prix, je ne dors plus
Sans la photo que j"avais pris


Quinze jours avant, à tes cent ans,
Pensées Maman, c'est Fête aujourd’hui
Tu me manques, comme le sein d'antan,
Gonflé de lait ,qui tant d'années a nourri.


Dors Maman , dors sans le bruit,
Maman est lasse, elle s'est assoupie.


*******
FREDERIC REBOUL 8.10


Une jolie chanson dont les 2 derniers couplets sont un peu longs
Manquent 2 refrains.( ils doivent être repris entre chaque couplet )
3ème couplet : 2 fois le mot grand...
avis perso : j'aurais dit « Avec toi Maman, je rejoignais la cour des grands »
( rang et rangées mots un peu trop proches.)
Mélange de rimes suffisantes et riches , dommage !

Quelques rimes suffisantes, des souvenirs touchants

7 Merci à ma Maman, tout simplement

Le soir, avec le son de cette douce berceuse,
Tu me calmais, disais « trouve le sommeil ».
Oh oui, toi, ma mère, des fois, malheureuse,
Réconfortante, je voyais étoiles et merveilles.

Ta belle voix m’envoyait vers de beaux rêves,
Nounours dans mes petits bras, je voyageais.
Réussissant, désormais, des nuits, sans trêve,
Volant, planant, je jouais à reproduire le geai.

Je t’aime ma Maman,
Des grands M, Maman.

Maman, peu plus grand, je rejoignais la cour des grands,
Me sentant petit, tu me prenais sous tes jupons, j’aimais.
De longues rangées, il fallait bien se tenir dans les rangs,
Non je n’étais pas calculateur, pas de problèmes je voulais.


Maman, tu m’as toujours appris que, moquerie, était mal,
La pédagogie, les lettres, mots et jeux sont plus importants.
Savoir et découverte, la connaissance n’est pas anormale,
Le pouvoir d’apprendre des autres, tout en restant différent.

O, ma Maman.
Je t’aime Maman.


********

JANU médaille d'or 9

C' est beau, aisé à chanter.
Un écrit qui touche profondément...Où l'espoir prime, au refrain...
( gâté et étais : sons é et ê ) Quelques rimes suffisantes.

Quel doux refrain ! le fond reste si émouvant
8 A Toi, Maman...


Maman tu es partie un jour
Mais jamais je n'oublie
Ton sourire de toujours
Et mes larmes j’essuie...


Mais si le ciel existe, Maman
Tu nous y attends sagement


Je voudrais tant te redire
Mes mots d'enfant gâté
Qui te faisaient bien rire
Pourtant, égoïste j'étais !


Mais si le ciel existe Maman
tu nous y attends sagement


D'aussi loin qu'il me souvienne
C'est de ton sourire éclatant
Et l'indulgence qui était tienne
Pour mes bêtises de sacripant ...


Mais si le ciel existe Maman
Tu nous y attends sagement


Car tu as souffert sur terre
Avec vaillance combattu le mal
La bête immonde qui nous atterre
Puis ta fin dans l'affreux hôpital !


Mais si le ciel existe, Maman
Tu nous y attends sagement...


**********

URBAIN FATEWA 8.01

De beaux sentiments, mais attention : 3ème et 4ème couplets un peu longs
( 3ème couplet en rimes AAAA et non ABAB demandées )
( mère et lumière ne riment pas )
Rimes riches sauf en votre refrain. :Rimes suffisantes )

Rimes riches à part « mère/lumière »…Un bel élan d’amour


9 O Maman ne pleure pas

O Maman ne pleure pas !
J’ai soulevé mes pas

Tu m’as porté neuf mois,
Tu as été une bonne bergère
En t’occupant de moi
Les douleurs ne te sont jamais étrangères

O maman ne pleure pas !
J’ai soulevé mes pas

Je te construirai un château sur l’océan
Où tu te sentiras aisée et soulagée
Par la douceur des vagues néants
Ce sera un paradis éclairé par les étoiles âgées

O maman ne pleure pas !
J’ai soulevé mes pas

Pour te nourrir, dans mon combat, de l’espoir
Car tu me mérites éternellement cette gloire
Oh Maman ! Tu prononces les sourires obligatoires
Devant la souffrance pour gagner la victoire

O maman ne pleure pas !
J’ai soulevé mes pas

Tu es la meilleure des Mamans du monde
Écoute cette mélodie venant de moi, mère
Car au fur et à mesure que je grandis, je réponde
Et je deviens aussi ton roi de la lumière

O maman ne pleure pas !
J’ai soulevé mes pas



******

URBAIN FATEWA 6.95
Un refrain dynamique
« Maman tu es mon porte-malheur » j'espère que c'est pour la rime ?
Peut-être vouliez-vous dire : tu es celle qui porte mes malheurs...
Beaucoup de rimes suffisantes et de répétitions...Dommage !
( 3ème couplet : rimes AAAA et non ABAB.demandées )

Consignes respectées dans l’ensemble, sous un air entrainant et très yéyé !
10 Maman Jeannette

Yo ! Yo ! Yo ! Maman
Yé ! Yé ! Yé ! Maman

Maman, tu es la reine de ma vie
Maman, tu es le chemin de mon bonheur
Maman, tu m’as donné une eau de survie
Maman, tu es mon porte-malheur

Yo ! Yo ! Yo ! Maman
Yé ! Yé ! Yé ! Maman

Partout où je vais, j’ai ta bénédiction
Et c’est à moi de te récompenser
Avec cette chanson des révélations
Oh ! Je suis ton fils dans le monde censé

Yo ! Yo ! Yo ! Maman
Yé ! Yé ! Yé ! Maman

Maman, tu es l’avenir de mon père
Maman, tu es une très bonne mère
Maman, grâce à toi je me récupère
Maman, tu as vaincu les misères

Yo ! Yo ! Yo ! Maman
Yé ! Yé ! Yé ! Maman

Mama, je t’aime ! Maman je t’adore
Je t’aimerai pour le bon, Maman Jeannette
Maman que puis-je te dire encore ?
Car je me promène sous ta protection. Et tu l’es nette !


Yo ! Yo ! Yo ! Maman
Yé ! Yé ! Yé ! Maman


************

IBOUJO 7.65
Une description un peu dure, peut-être de l'humour ?
Mais votre écrit reste néanmoins très attendrissant...
Facile à mettre en chanson, mais attention au refrain qui doit rester
à quelques mots près, le même
Dernier couplet rimes AABB et non ABAB demandées )
Quelques rimes suffisantes et pauvres.
( belle et confidentielle : rimes différentes )
Rimes que l’on ne peut particulièrement qualifiées de « riches »

Fort amusant…l’important reste en la beauté intérieure


11 Elle n'est pas laide, Elle est belle

Maman a un œil fermé, il ne lit pas , il ne voit,
Les cheveux en bâtons de Riquet à la houppe,
Des dents absentes au sourire fait que pour moi,
M'embrassant de sa bouche bavante et en poupe.

Elle n'est pas laide, Elle est belle,
C'est une maman Tendresse,confidentielle.

Sur mes joues ses doigts plissent, du gaufrage,
Son gros nez orné de narines ,rejoint son menton,
Ces deux là , lui dévorent le bas du visage,
Nous pourrions en faire une cage à pigeons.

Je suis très sage et je roucoule
Elle est jolie ,couvant comme la poule.

Les gens bêtes disent qu'elle boitille,
La talonnette haute, la chausse ,elle dodine
Elle clopine ,amassant les myrtilles,
Les confitures sont pour mes tartines.

Pour moi ,elle pétrit les clafoutis,
C'est la plus Belle du Monde, c'est acquis.

Ma Maman a un cœur gros comme cela,
Même si tout le reste fait son poids ,
Sur ses ècourts ° , j'aime me reposer,
Je rêve à ses papouilles, à ses baisers.

Elle n'est pas belle, Elle est extra,
Et j 'aime dormir dans ses bras.

Joyeuse Fête des Mères, Maman,
Ton petit homme, j'ai cinquante ans,
Peut-être que ce jour, en dessinant Papa
Il reviendra, me lira-t -il? me lira-t-il pas?


écourt courte cuisse


*********

DABLOUNA 6.51

Cela aurait pu être une très jolie chanson mais les rimes ABAB
ne sont pas respectées et votre refrain ne comporte qu'un seul vers hélas !
« quatrains » en 5 vers…quelques rimes manquantes

Détresse en la perte de celle qui vous a mis au monde, très touchant et émouvant

12 Où t'es maman !!!

Dimanche c’est la fête des mères
Mais moi mon cœur est en pleurs
Ce soir j’ai besoin de toi maman
J’ai besoin que tu veilles sur ma vie
J’ai besoin de te parler à la tombée de la nuit


Où t'es maman ou t'es ?

Ton silence parfois me donne froid
Car je m’ennuie sans toi
Tu n’es plus auprès de moi
C’est mon message de détresse
Mais où est ton adresse
À quel ange je l’adresse


Où t'es maman où t'es ?

J’ai gardé un bleu au cœur
Et dans le fond de mon regard
J’ai toujours pour toi, des pleurs
Je sais que tu n’aimes pas ça
Mais tu me manques c’est comme ça


Où t'es maman ou t'es ?

Maman, j’ai eu des enfants à mon tour
Qui ne connaîtront pas ton amour
Sauf celui que l’on partage dans une prière
Pour guider leurs chemins dans la lumière
Mais je sais qu’un jour nous, nous retrouverons


Dors en paix maman !

****

IBOUJO 7

Comme cette recette mélangée d'amour est agréable à lire et bien vivante !
( Un couplet de trop ) mais assez difficile à chanter... bien écrit.
Les paroles de vos refrains sont très différentes ( ils doivent être identiques à un ou deux mots près )
Mélange de rimes riches et suffisantes.

Empli de bonnes saveurs…on en oublie le stricte des consignes (4 quatrains et manque de rimes riches)…Très divertissant

13 Maman gâteau

Menottes affairées , petit visage rond,
Maman a sorti son plus beau saladier,
Un plat dont les gâteaux sortent bons,
Dans une faïence bleue ,toute fendillée.


Qui est la Reine de la pâtisserie ?,
C'est Mère ,tenant le secret de mamie.


Un verre gradué pour la farine,
Trois œufs sur la table, attendant,
La main les fend sur la terrine,
Mes doigts aussi trempent dedans.


Et qui se pourlèche les babines?
C'est moi, Jean, le fiston de Line.


Ma frimousse aux yeux brillants,
Surveille le fouet de bois abimé,
Il marie les œufs roux , le sucre blanc,
Une crème s'allège pour être consommée.


Maman gâteau, maman la merveille,
J'aime voir comment tu fais, je veille.


A présent la farine ,le beurre fondu,
Viennent achever la préparation,
La pâte coule en un ruban continu ,
Le moule est beurré avec précaution.


Maman est une crème, une friandise,
Je déguste l'Amour au sucre à ma guise.


Le gâteau bombé sort du four la tête,
Un belle croute dorée et craquelée,
Maman puisque c'est fête, à toi la dinette,
Je te regarde déguster de ta bouche carminée.


'Tiens un pot de gelée, ,Ne laisse rien dans l'assiette"
"Demain , me feras-tu une bûche ? c'est Saint- Sylvestre'.


*****

ZUC 6.87
Pas facile à chanter à cause de couplets un peu trop longs,
mais un bel hommage à votre maman ; De belles images
Couplets en rimes AAAA et non en rimes ABAB comme demandées
Rimes suffisantes en majeure partie.
( mes sisters )

Belles images évocatrices d’une jeunesse entre ses parents qui laissent en oubli le ABAB des rimes



14 Parfois le soir je te revois,

Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,

Tu as vécu ta vie de cendrillon,
Et ton prince charmant un ouvrier, un communiste, sans autre ambition,
Que de porter l'amour en religion,
Et de faire de sa famille, sa nation

Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,

Tu me disais que sur une île lointaine, ta mère était une princesse,
Ho ! Tu aurais bien pu être une marquise, une comtesse,
Et mon père lui roulait en 2cv, non pas en Mercedes,
Oui, mais pour moi tous ça valait bien de l'Olympe toutes les déesses,

Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,

Tu étais là en tablier derrière tes fourneaux,
Et mon vieux dans un fauteuil lisait les journaux,
Moi je dessinait des bateaux qui partaient aux quatre points cardinaux,
Quand mes sister écoutaient encore à la radio leurs idoles ou sur un phono,

Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois

Dans ton petit jardin tu arrosais les fleurs,
Papa après une dure journée de labeur piochait ses salades en pleine chaleur,
Quand pour moi m'écorcher le genou était mon seul malheur,
Vous nous avez appris à moi et mes sœurs qu'à tout l'or du monde la vie à bien d'autres valeurs,

Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois


****

POLYMNIE2 médaille d'argent 8.82

Peut se chanter mais attention aux longueurs qui cassent le rythme.
( Vous êtes force grande et belle ou tout au pluriel)
« L'amour dans votre âme n'est jamais rebelle »
Bien que vos refrains ne soient pas tout à fait identiques, je remarque
la répétitions de mêmes mots, donnant une certaine harmonie.
( « l'abnégation de soi perce sur chair ...attention au son SSS...)

Forme splendide…rimes riches, respect des consignes, merveilleuse ode dédiée aux mamans

15 Ce grand jour pour toutes les mamans

(Vous êtes force grandes et belles
L’Amour dans votre âme n’est jamais rebel !)


Un parfum délicieux se répand sur la terre
C’est normal en ce printemps, le mois des sentiments,
Celui de Marie tout en grâce, plein de Mystères
Pour honorer le cœur, bien à vous, les mamans !

Perles en rosée pleuvent sur les mères
Arrosant d’amour tout l’éther

Rappelle la source Ô combien chère
Où s’abreuvent un par un chaque enfant !
En éclats de lune vous êtes sur chaire,
Aimer se fend et se refend.

Perles de rosée pleuvent surenchères
L’abnégation de soi perce sur chair !


Ô gestes souverains ! Ô sourire à la tendresse réjouie!
Il éclaire vos lèvres et se fond* délicat,
Puis, simultanément, déborde cause inouïe
Dans l’impassible écho, suit son mourant éclat.

Perles de rosée, fleur pensée épanouie
Distribue pétales en parfums inouïs !

Sous votre regard de Madone
L'Amour intarissable, force du foyer,
N’éteint jamais sa flamme, sous le feu pardonne,
Veilleuses silencieuses, même si erre un larme chagrin noyé !

Perles de rosée surenchères en Madone
Abnégation de soi perce sur chair, pardonne


****

ZUC 8.33

Une chanson engagée écrite avec humour
la répétition des bégaiements alourdit vos refrains.
Les couplets sont un peu longs, ce qui casse le rythme de la chanson
qui au demeurant reste très bien construite, belle écriture...
Je vois ça en rap…ça percute !

16 Maman t'étais bien plus belle... (version punk)

Ho ! Maman, t'étais bien plus belle que Ka Ka que Karine,
Que cette tronche de cake toujours le nez plein de farine,

Tu ne faisais pas de politique à coup de chirurgie esthétique,
T'aurais jamais voté Macron même si tu le trouvais trop trop beau,
Toi ta copine c'était l'Arlette, celle la tu l'as trouvée fort sympathique,
Faut dire que ton homme c'était un vieux coco pas un jeune bobo

Ho ! Maman, t'étais bien plus belle que Ca Ca que Catherine ,

Que cette tête de pine toujours le nez fourré dans les latrines,

C'est le mot de tous t'étais gentille mais putain quel caractère,
Et si tu croyais au bon dieu, tu n'as jamais pu saqué les curés,
Pas besoin d'agiter un drapeau vert une croix pour faire de l'humanitaire et sauver la terre,
Le gratin dauphinois à l'eau bénite c'est très très fade et bien trop épuré,

Ho ! Maman, t'étais bien plus belle que Ma Ma que Martine,

Que cette tronche d'ado toute pleine de scarlatine,

A la cuisine t'assurais grave même si tous les soirs c' n'était pas repas de fête,
Tu ne buvais pas d'la bière, tu ne fumais pas des pétards,
Tu ne jouais pas les starlettes, les blondes maquillées vulgaires, les nymphettes,
Tu n'étais pas non plus une mégère, une pochtronne aux yeux de têtard,

Ho ! Maman, t'étais bien plus belle que Ma Ma que Marine,

Que cette tête de veau avec du persil dans les narines,

Vous nous avez appris la vie et je me suis toujours senti libre,
A la maison plein de chats noirs "c'est vrai" mais pas de voleurs,
Le porte monnaies à la portée de tous, vous pouvez ranger vos calibres,
En course pour notre bonheur on pouvait s'acheter des bonbecs de toutes les couleurs


Ho! maman, ho! maman, ho! maman.


******
ELUARD 7.55
Une chanson pour maman mais aux phrases un peu longues
qui nuisent au rythme musical
Quelques rimes suffisantes.

Attention « champignon/champion » Bon choix des rimes dans l’ensemble, concordance des temps à revoir, une belle chanson en vérité !



17 Une chanson pour Maman DADA

Dis-moi maman : Tu m’as laissé dans un immense océan ramant
Maman DADA j’étais un minus un petit champignon
Sans toi je ne suis plus ce jeune homme séduisant et charmant
De moi tu en as fait un grand champion


Maman Dada j’aimerai tant te chanter une chanson de Dalida
J’aimerai tant te chanter une chanson de Serge Lama, Fatima DADA.


Maman DADA Pour toi cette chanson
Débordante d’amour et d’affection
En cette saison des moussons et des moissons
Jamais elle ne baissa les bras ni fait défection


Maman Dada j’aimerai tant te chanter une chanson de Dalida
J’aimerai tant te chanter une chanson de Serge Lama, Fatima DADA.


Maman DADA tout le temps elle trima
Elle avait son monde à part
Elle et moi ensemble et parfaitement on rima
C’était une personne exceptionnelle, une personne à part


Maman DADA j’aimerai tant te chanter une chanson de Dalida
J’aimerai tant te chanter une chanson de Serge Lama, Fatima DADA


Elle m’emporta vers des horizons lointains et beaux rivages
Reine des mamans, c’était notre seul rempart
Maman DADA une grande école, un très beau passage
Tsarine des mamans DADA, cela lui ouvre droit à tous les champarts.


Maman Dada j’aimerai tant te chanter une chanson de Dalida
J’aimerai tant te chanter une chanson de Serge Lama, Fatima DADA.


******

POLYMNIE2 8.02


Un très joli poème mais difficile à chanter, de belles images,
( Attention aux phrases trop longues )
Dernier couplet en rimes AAAA et non en ABABcomme demandées
Refrain en rimes suffisantes, mais de belles rimes riches en vos couplets 1,2,3
( quelle veine : dernier couplet )

Consignes respectées dans l’ensemble, paroles très touchantes


18 Maman, je vais enfin te dire !


Il y avait en toi une source intarissable !
Un je ne sais quoi faisant ton relief, s’ouvraient les fruits
Comme une mer assoiffée, se fend inlassable,
Tu portais à bout de bras tes talents offerts en usufruits !


Maman ! il faut que je saigne pour te le dire !
Il faut mes veines pour t’en recouvrir !


Tu étais le cor des océans, ce beau coquillage
Qui me renvoie l’écho de tous les instants
Où se mêlaient en vagues sans maquillage
Les reflets de soleil pleins ou pâles effets constants.

Maman ! il faut que je saigne pour te le dire !
Il faut mes veines pour t’en recouvrir !


Ô temps de pain « noir » délicieux de cette vie
Qui nous a nourris jusqu’à cet aujourd’hui
Où ton courage était largement servi
Avant que tu nous offres son enduit !

Maman ! il faut que je saigne pour te le dire !
Il faut mes veines pour t’en recouvrir!


Ce mot qui fleurit mon haleine
Mais qui n’est jamais sorti du parapluie, sa baleine !
Ton religieux baiser offert par toi papa, midi et soir quelle vaine
Posé sur notre front, touchant la « fée morale*» belle veine

Je me suis saignée pour ce poème
Pour vous laisser l’écho d’un éternel « je vous aime » !

Dans le texte, jeu de mots, pris dans le sens : m’a fait grandir

Artère fémorale qui fait marcher !

***************

POLYMNIE2 7.5


De jolies images, agréables à chanter
Rimes riches, ( 2 suffisantes )
( inutile d'aller voir...rien ne frémit...petits oublis ? )
Attention un refrain doit rester le même du début à la fin à quelques mots près

Les 3 premiers quatrains ne sont pas en ABAB…Fort poétique


19 Dans les yeux bleus de ma mère


Il n'y a pas plus parlantes que les couleurs des yeux!
Qui offrent le profond dans l'image du regard!
___
En ce jour magique fête pour Toi

Quand je pense à ma mère son regard bleu ou vert,
Le feu de ses cheveux déteignait ses yeux.
Inutile aller voir dehors le temps joyeux,
Lorsque criaient ses nerfs l’azur mourrait sévère.

Et je pense à ma Mère en regardant ce ciel,
Mon âme chante un air qui t’aime en pur doux miel


Murmurent ses couleurs au profond qu’elle adonne
En l’image regard le muet se décoffre.
Vaste miroir reçoit ce que la vie en offre
Ne peut changer de ton lorsque tout l’abandonne!

Et je pense à ma Mère en regardant ce ciel,
Mon âme chante un air qui t’aime en pur doux miel


Les cieux me renvoient mot rose sur lapis-lazuli
Effaçant son nuage en laissant son Archange
Violine manquant au nouveau ciel de lit,
Rien frémit, tout remue en sentiments étranges!

Et je pense à ma Mère, voltige son bleu-ciel
Danse heureux à découvert sur bien bel arc-en-ciel.

Le brouillard descend comme un voile d’organdi
Nouveau jour de saison tout en crachin d’automne
La feuille maquillée l'ithos » s’enorgueillit*
Sa couleur chrysanthème est douceur qui entonne.

Et je pense à ma Mère, au tendre velours glamour,
Sur yeux fermés, bleus ou verts s’aime l’amour!

Ithos (grec) ou êthos (romain)
Dans le texte = bien dire ce que cela veut dire en fond de vérité puisque la feuille se maquille à devenir pastel aux teintes du chrysanthème.


*****

RAYMOND3 7.92
Se chante aisément, écrit où défilent de belles images.
( Attention le refrain est une répétition de mêmes mots
avec une petite variation permise )
Votre refrain est différent sauf au début et à la fin de votre chanson
( Nom et ambition : rimes différentes )
( 2 rimes suffisantes )
« nom » ne rime pas avec « ambition » très émouvant et empli de senteurs d’amour




20 Sous son long voile dormant


Tu me vois d'en haut, je t'aime Maman,
Instinctivement le ciel je regarde
Les papillons voltigent au firmament
Des petits mots avec toi je bavarde


On entend le ruisseau
Le chant des oiseaux


Dans la cité la vie était douceur
Simple, décontractée loin de la ville,
Nos regards devenant paroles candeur,
D'une infinie tendresse juvénile.


Dans mes cahiers d'écolier
Images objets familiers


Sur toutes les pages j'écrivais ton nom
Dessinant le sterne, puis l'hirondelle
Les bateaux, déjà naissait l'ambition,
Miroirs de mes passions éternelles.


Au rythme de la marée
Les chaînes ce sont brisées


La lune en berne, l'horizon dans l'eau
Pâle comme le ciel du flot obscur et sombre
Mes rivages désertés j'ai viré au guindeau
Pleuré toute mon âme en la pénombre.


On entend le ruisseau
Le chant des oiseaux


Je t'aime maman..

***************************************

HORS CONCOURS

Mon morceau de sucre IBOUJO

Elle est mon morceau de sucre, mon pralin des beaux jours,
Elle est tout quand elle use, abuse pour moi de mots d'Amour,
C 'est du miel toute l'année, un sourire d'enfant moqueur,
C'est Maman , depuis que je suis née, elle incombe à mon coeur.

Je refuse les sottises , pour ne pas la faire craquer ,
C'est un ange, un refuge, me soignant quand je suis alitée,
Elle est mes rêves , surtout n ' y touchez pas ,je peux attaquer
Me battre à coups de souliers , donner rouste et pâtée.

Ne la rendez pas malheureuse ,vous saurez à faire à moi,
Avec vos histoires à l'eau de rose,je les jette au trou noir,
Pas un mot plus haut que l'autre, elles est douce comme la soie,
Ne lui volez pas son rire, il est frais , joyeux , une étole moire.

Qu'elle vous met autour du cou,c'est mon velours, mon satin,
Ma soie en brocard broché, elle ne sait qu'aimer, sa prime qualité
Elle est l'eau de vie dont les gouttes éduquent et font le demain,
Bonne Fête maman, "je t'aime' , merci pour ta présence à mes côtés.

*************

Au jardin ce matin IBOUJO
Au jardin ce matin, j'ai cueilli une rose , et devinez quoi?
Tra la li , tra la la ! que va-t-elle- raconter de ce bel ébat .

Son coeur était rouge sang , comme l ' Amour d"une Maman,
Son oeil doux semblait dire de tendres choses,
Aussi beaux que les mots sortis des lèvres d'une Maman,
Les pétales , des rires qui claironnent quand elle ose.

Dans ma main , j'ai embrassé la rose , et devinez quoi ?
Tra la li , tra la la , j'ai senti au toucher , de la soie.


Comme la peau de satin , la caresse d'une Maman,
Si la plus belle fleur est la rose, la plus jolie au Monde est une Maman,
Personne n'a plus de bonté , pour ses ainés, ses amis , ses enfants,
Qui aime de toute son âme ,qui aime tous les gens c'est une Maman.

Tra la li , tra la la, au jardin ce soir , souhaitant : 'bonne nuit Rose,"
j'y ai découvert la jeunesse et le temps qui se pose .

Les étoiles éclairent le lopin, ,et moi je dors ô ,Petit chose
Sur un parterre de roses, un parterre de Mamans,
Savez-vous que dans la Vie , ,les plus belles choses
Sont d 'avoir vécu ce que vivent les roses : Le temps

Tra la li , tra la la , comme fleur éclose , chaque instant
Au jardin des coeurs aimants comme ceux des Mamans.....


*********

Maman tu m'as donné l'envie... LYS

Quand en la rosée du matin, le jour se lève,
Dans le jardin endormi je sens ta présence,
Même si tu n'es pas là, avec toi je m'élève...
Nos âmes légères se caressent en silence...

Maman c'est à toi que je dois d'être en vie,
D'aimer sans fard, tu m'as donné l'envie...

Regardant le ciel, je viens te dire bonjour,
Espère pour toi un monde au goût de miel
Où l'oiseau te chante les bonheurs du jour,
Sous la pluie bienfaisante et l'arc-en-ciel...

Maman c'est à toi que je dois d'être en vie
D'aimer sans fard, tu m'as donné l'envie...

Le parfum de nos fleurs s'exhale sur terre,
Aux cieux les nuages...dessinent ton nom,
Me parlent de toi qui flotte sur la sphère...
En l'espace bleuté, plus besoin de renom...

Maman c'est à toi que je dois d'être en vie,
D'aimer sans fard, tu m'as donné l'envie...

Pour mes heures d'ombres et de lumières,
Mon amour t'accompagne en fine dentelle,
Merci à l'infini, que l'allégresse en rivières
Couronne ton front, Ô toi mon immortelle...

Maman c'est à toi que je dois d'être en vie,
D'aimer sans fard, tu m'as donné l'envie...


************
et en extra hors concours pour lequel Llumirelive ne s'est pas foulée elle vous propose sur l'air de Mamy Blue sa participation....
"Oh Maman Oh maman
Oh ma ma ma maman
Oh ma maman
Oh ma ma ma maman
Oh ma ma ma maman
Oh ma maman"....etc etc...


Tout cela pour vous dire que parfois les paroliers ne se cassent pas la tête!!!



 
Dernière édition:

iboujo

Maître Poète
#2
Joli
et d'actualité

des Roses blanches?
ou
Maman ,tu es la plus belle du monde?

il y a de quoi
 

iboujo

Maître Poète
#11
Alors là ,jurés vous pouvez y aller pour départager

que de beaux textes

et cela na fait que commencer

Toutes et tous avons UNE maman

Murielle? tu vas je pense devoir mettre un ajout de pages
sourire!!

Bises tout le monde
 
Dernière édition:

iboujo

Maître Poète
#15
Maman ! Maman !

où es -tu ?

les Creapéotes sont en long wend

à la mer se dorant la pilule..
A moins qu'ils dorment ..
.ou
qu 'ils ...?
ou
ou



ouh ouh!

Les "entrants et entrantes " sur CREA
sont demandés pour participer

Murielle en va pas vous manger

jojo oui
si vous ne venez pas
mdr
c'est un Concours facile......