Mon coeur larmoie le matin d'hiver,
Chaque jour s'éloigne le bonheur,
L'esprit endeuillé par les hier,
Ma pensée encerclée de pleurs.
De plus en plus ,elle s'enrhume,
Mon âme éteinte, la vie effilochée,
Une saison aux coups de taloches,
Et des vents qui ne font balloter.
L'avenir s'échoue pour se déliter,
Un petit rien me fait frissonner,
Chaque instant conduit le sort
Du chemin gelé comme la mort.
Trouverai-je un aimable ressort,
Je prends la plume et je respire,
Les mots coulent à n'en plus finir,
Souvenirs acres sur papier d'or.
Joies fiévreuses, humour corrodant ,
Se sont de salutaires prélèvements,
Des éclats bleu, blanc ou améthyste,
Déversant l'amertume qui m'attriste.
Vider son sac, insuffle de l'air,
J'accouche de vésicules abjectes,
Tels de répugnants ,insectes ,
Le vide se fait par trouées d'air,
La Poésie revient me faire fête,
Ma plume s'envole au lit des pages,
Un ciel bleu se dessine après l'orage,
Une montagne rieuse, une mer secrète.
Des jardins aux fleurs magnifiques,
Que je sois en paix ou en ire,
Je ne peux cesser la rime à écrire,
Ma vie dépend des émotions, je n 'abdique,
Muette ,je ne serai qu'une miette,
Si ce soir, je délivre ces tourments,
Ce n'est pas pour quelques apitoiements
Le juron qui soulage,je n'es fais diète ,
Ne me dites pas : quel radotage!
Lire mes mots est beau partage,
Sachez, si parfois ,je m'invite
Trouvant une rime que j'explique,
Ma plume écrit avec passion,
Quand j 'écris , je m'attache
Je vous remercie pour vos tâches
A lire ou commenter ce péché mignon..
Inclination...
à vous toutes et tous qui venez sur ma npage
Chaque jour s'éloigne le bonheur,
L'esprit endeuillé par les hier,
Ma pensée encerclée de pleurs.
De plus en plus ,elle s'enrhume,
Mon âme éteinte, la vie effilochée,
Une saison aux coups de taloches,
Et des vents qui ne font balloter.
L'avenir s'échoue pour se déliter,
Un petit rien me fait frissonner,
Chaque instant conduit le sort
Du chemin gelé comme la mort.
Trouverai-je un aimable ressort,
Je prends la plume et je respire,
Les mots coulent à n'en plus finir,
Souvenirs acres sur papier d'or.
Joies fiévreuses, humour corrodant ,
Se sont de salutaires prélèvements,
Des éclats bleu, blanc ou améthyste,
Déversant l'amertume qui m'attriste.
Vider son sac, insuffle de l'air,
J'accouche de vésicules abjectes,
Tels de répugnants ,insectes ,
Le vide se fait par trouées d'air,
La Poésie revient me faire fête,
Ma plume s'envole au lit des pages,
Un ciel bleu se dessine après l'orage,
Une montagne rieuse, une mer secrète.
Des jardins aux fleurs magnifiques,
Que je sois en paix ou en ire,
Je ne peux cesser la rime à écrire,
Ma vie dépend des émotions, je n 'abdique,
Muette ,je ne serai qu'une miette,
Si ce soir, je délivre ces tourments,
Ce n'est pas pour quelques apitoiements
Le juron qui soulage,je n'es fais diète ,
Ne me dites pas : quel radotage!
Lire mes mots est beau partage,
Sachez, si parfois ,je m'invite
Trouvant une rime que j'explique,
Ma plume écrit avec passion,
Quand j 'écris , je m'attache
Je vous remercie pour vos tâches
A lire ou commenter ce péché mignon..
Inclination...
à vous toutes et tous qui venez sur ma npage
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