Depuis ton passage en dentelle de l’autre coté de la passerelle
Rien ne s’approche du bonheur de garder ton odeur dans ma poche
Croiser ton regard, et fixer l’envie de te toucher
Devant moi virevolte ton corps bien alléchant
Tes yeux penchés sur mes instants pesants
Et pendant ce temps la vie me bastonne
Toi qui veille futile sur mes nuits fragiles
Attire vers le vide, mon âme blâme brûle comme une flamme
Au fond de mon lit, tu emprisonnes mes rêves de demain
Traqué par la vie, j’attends que le vent me ramène
sans pouvoir suivre, trop fébrile, je coule au milieu des délires
C’est toi qui mène la danse des maudits
Je ne parle que de toi dans mes nuits blanches
Quand tu me frôle, je perds contrôle de mon drone
Sans armes, seul drame de la richesse de mes larmes
Les pieds sur terre je creuse mon cratère
Quand mon esprit s'incline sous cette lune en deuil
le regard dur, tu fractures mes blessures en peinture
Tu lies mes mains toutes les nuits
Sexy, nue, enlace poliment pour un départ sans destin
Tu m'inventes une vie sans battements, le silence est guide, dans un monde sans regards,
contre une vie si cruelle, un voyage sans noël
Toi la fille de la fin, regard noir qui emporte les âmes, les derniers cries d'une vie
A l'opposé des vivants, pour qu’il n’y est plus d’instants, de moments,
veut éteindre dans le sommeil mon soleil
Attends un peu !! laisse moi traverser mes nuits, plier les murs,
clouer à jamais mes regrets, écrire au crayon gris à mes âmes les poètes,
que même si la vie me fait la courte échelle, tu peux toujours faire la belle,
de tes poèmes, j'en ai à l'appel.
Solo
Rien ne s’approche du bonheur de garder ton odeur dans ma poche
Croiser ton regard, et fixer l’envie de te toucher
Devant moi virevolte ton corps bien alléchant
Tes yeux penchés sur mes instants pesants
Et pendant ce temps la vie me bastonne
Toi qui veille futile sur mes nuits fragiles
Attire vers le vide, mon âme blâme brûle comme une flamme
Au fond de mon lit, tu emprisonnes mes rêves de demain
Traqué par la vie, j’attends que le vent me ramène
sans pouvoir suivre, trop fébrile, je coule au milieu des délires
C’est toi qui mène la danse des maudits
Je ne parle que de toi dans mes nuits blanches
Quand tu me frôle, je perds contrôle de mon drone
Sans armes, seul drame de la richesse de mes larmes
Les pieds sur terre je creuse mon cratère
Quand mon esprit s'incline sous cette lune en deuil
le regard dur, tu fractures mes blessures en peinture
Tu lies mes mains toutes les nuits
Sexy, nue, enlace poliment pour un départ sans destin
Tu m'inventes une vie sans battements, le silence est guide, dans un monde sans regards,
contre une vie si cruelle, un voyage sans noël
Toi la fille de la fin, regard noir qui emporte les âmes, les derniers cries d'une vie
A l'opposé des vivants, pour qu’il n’y est plus d’instants, de moments,
veut éteindre dans le sommeil mon soleil
Attends un peu !! laisse moi traverser mes nuits, plier les murs,
clouer à jamais mes regrets, écrire au crayon gris à mes âmes les poètes,
que même si la vie me fait la courte échelle, tu peux toujours faire la belle,
de tes poèmes, j'en ai à l'appel.
Solo
Dernière édition: