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Les amants du lac....

iboujo

Maître Poète
#1
Quand le jour sur les flots , vient s' effilocher
Le calme est savoureux au cœur de l'eau profonde
Un miroir au tain jade où se mire la montagne bleutée
Et sous un rayon d'or , les cygnes fendent l 'onde.

Ancrée sur sa rive comme une citadelle
Se penche sur le bassin, l'Abbaye de Hautecombe
De pierre et de marbre, c'est le royaume éternel
Des Princes de Savoie, endormis dans leur tombe.

Le soir descend, c'est l'heure crépusculaire,
Où le corps et l'âme vivent en harmonie,
Des pensées obscures, l'esprit se libère,
Le rêve vient ouvrir les portes de la nuit.

Et l'âme du poète à jamais immortelle
Vient planer prés du lac ,où ils se sont aimés,
Et le vent dans les arbres, et l'oiseau dans le ciel
Gardent le souvenir de leurs cœurs enflammés.

Certains soirs d'Automne, sur l'eau tranquille
Glisse l'aura d'une barque vers la rive feuillue
Sous la lune hyaline ,deux ombres se profilent
Pour les Amants du lac, le temps ne compte plus......
 
Dernière édition:

janu

Maître Poète
#15
Merveille de "son" lac, tu as rendu hommage
à ces moines cistériens qui ont vidé les lieux
mais les vers du poète flotteront toujours sur ce lac
Bise amicale
 

janu

Maître Poète
#16
Ah ! :"les amants du lac"....
Je ne puis résister à reporter mes rêveries en m'élevant au dessus de ce lac :

Le lac ...

Pas la mer, mais plus qu’un étang
Où se reflète le gris du temps
Sur ses bords, j’erre mélancolique
Humant le parfum de l’angélique

Plus loin au milieu des roseaux
S’élève le chant des oiseaux
Appels d’une cane qui cancane
Passage d’un héron qui plane

‘Lui’ ? comment ne pas l’évoquer
En des lieux qu’il a tant aimés
« Éternité… sombres abîmes… »
Rendez-lui ses « extases sublimes… »

Le sentier s’élève et de là haut
Il n’y a plus qu’un miroir d’eau
Maintenant c’est moi qui plane
Avec un souvenir qui me tanne

Couleur du temps qui s’est terni
Mon cœur lui aussi s’est flétri
Et mes yeux tels que l’ancolie
Se brouillent dans la mélancolie…


etc...
 

yasimsim

Poète libéré
#18
Quand le jour sur les flots , vient s' effilocher
Le calme est savoureux au cœur de l'eau profonde
Un miroir au tain jade où se mire la montagne bleutée
Et sous un rayon d'or , les cygnes fendent l 'onde.

Ancrée sur sa rive comme une citadelle
Se penche sur le bassin, l'Abbaye de Hautecombe
De pierre et de marbre, c'est le royaume éternel
Des Princes de Savoie, endormis dans leur tombe.

Le soir descend, c'est l'heure crépusculaire,
Où le corps et l'âme vivent en harmonie,
Des pensées obscures, l'esprit se libère,
Le rêve vient ouvrir les portes de la nuit.

Et l'âme du poète à jamais immortelle
Vient planer prés du lac ,où ils se sont aimés,
Et le vent dans les arbres, et l'oiseau dans le ciel
Gardent le souvenir de leurs cœurs enflammés.

Certains soirs d'Automne, sur l'eau tranquille
Glisse l'aura d'une barque vers la rive feuillue
Sous la lune hyaline ,deux ombres se profilent
Pour les Amants du lac, le temps ne compte plus......
Quand le jour sur les flots , vient s' effilocher
Le calme est savoureux au cœur de l'eau profonde
Un miroir au tain jade où se mire la montagne bleutée
Et sous un rayon d'or , les cygnes fendent l 'onde.

Ancrée sur sa rive comme une citadelle
Se penche sur le bassin, l'Abbaye de Hautecombe
De pierre et de marbre, c'est le royaume éternel
Des Princes de Savoie, endormis dans leur tombe.

Le soir descend, c'est l'heure crépusculaire,
Où le corps et l'âme vivent en harmonie,
Des pensées obscures, l'esprit se libère,
Le rêve vient ouvrir les portes de la nuit.

Et l'âme du poète à jamais immortelle
Vient planer prés du lac ,où ils se sont aimés,
Et le vent dans les arbres, et l'oiseau dans le ciel
Gardent le souvenir de leurs cœurs enflammés.

Certains soirs d'Automne, sur l'eau tranquille
Glisse l'aura d'une barque vers la rive feuillue
Sous la lune hyaline ,deux ombres se profilent
Pour les Amants du lac, le temps ne compte plus......
Quand le jour sur les flots , vient s' effilocher
Le calme est savoureux au cœur de l'eau profonde
Un miroir au tain jade où se mire la montagne bleutée
Et sous un rayon d'or , les cygnes fendent l 'onde.

Ancrée sur sa rive comme une citadelle
Se penche sur le bassin, l'Abbaye de Hautecombe
De pierre et de marbre, c'est le royaume éternel
Des Princes de Savoie, endormis dans leur tombe.

Le soir descend, c'est l'heure crépusculaire,
Où le corps et l'âme vivent en harmonie,
Des pensées obscures, l'esprit se libère,
Le rêve vient ouvrir les portes de la nuit.

Et l'âme du poète à jamais immortelle
Vient planer prés du lac ,où ils se sont aimés,
Et le vent dans les arbres, et l'oiseau dans le ciel
Gardent le souvenir de leurs cœurs enflammés.

Certains soirs d'Automne, sur l'eau tranquille
Glisse l'aura d'une barque vers la rive feuillue
Sous la lune hyaline ,deux ombres se profilent
Pour les Amants du lac, le temps ne compte plus......
Très beau poème. " Pour les amants du lac le temps ne compte plus" oui c'est l'extase, le point sublime de la vie.