Inscrite sur un autre site, je trouve mal aisé de naviguer de l'un à l'autre donc comme le disait Jean Sol Partre – en mieux – il a fallu faire un choix
Je tenais à vous saluer par quelques mots et vers décomposés en pieds (vers sans pieds, ce serait pas le pied !).
Je me suis vraiment enrichie à votre contact et en lisant tous ces poèmes, j'ai amélioré ma connaissance de la langue.....aussi avec mon séjour de vacances en France.
Pour cela, je vous remercie très sincèrement car, même avec de bonnes connaissances, je m'aperçois que le sens de certains mots, adjectifs et verbes à évolué.......J'ai appris de nouveaux verbes, des formes fixes et des tournures de phrase surprenantes.
Grâce à votre gentillesse et votre urbanité à bien vouloir commenter des textes quand même un peu orientaux.
Avant de vous quitter un petit poème que je dédie à Raymond car mon grand-père aussi était gardien de chèvres et curieusement adorait un chanteur andalou de « cante » - El cabrero - ….le chevrier en espagnol.....
Au revoir aussi à la belle Normandie. Je retourne au bled pousser mes youyous en dansant (avec le ventre bien sûr) sur un rythme binaire....et hop un loukoum...et hop une pastilla....Je me dois de sacrifier à mes traditions.
Bonne continuation à tous les poètes
Avant de vous quitter un petit poème que je dédie à Raymond car mon grand-père aussi était gardien de chèvres et curieusement adorait un chanteur andalou de « cante » - El cabrero - ….le chevrier en espagnol.....
Au revoir aussi à la belle Normandie. Je retourne au bled pousser mes youyous en dansant (avec le ventre bien sûr) sur un rythme binaire....et hop un loukoum...et hop une pastilla....Je me dois de sacrifier à mes traditions.
Bonne continuation à tous les poètes
Blessure
Elle est blessée la douce oiselle,
Et s'enfuient les folles ritournelles,
Pourchassées de vents d'automne,
Qui, leurs lugubres chants entonnent.
Voletant sous l'astre doré,
Vers le sous-bois mordoré,
Elle est tombée, et le chasseur,
D'imposer ses rires et clameurs.
Telle l'oiselle, gisant sur la mousse,
Parfois, le doux poète souffre,
Quand de la hargne, il voit le gouffre
Ainsi les mots acérés, plein de fiel,
Le touche à l'âme, lui, ménestrel,
Perdu dans des rêves d'arcs-en-ciel.
Elle est blessée la douce oiselle,
Et s'enfuient les folles ritournelles,
Pourchassées de vents d'automne,
Qui, leurs lugubres chants entonnent.
Voletant sous l'astre doré,
Vers le sous-bois mordoré,
Elle est tombée, et le chasseur,
D'imposer ses rires et clameurs.
Telle l'oiselle, gisant sur la mousse,
Parfois, le doux poète souffre,
Quand de la hargne, il voit le gouffre
Ainsi les mots acérés, plein de fiel,
Le touche à l'âme, lui, ménestrel,
Perdu dans des rêves d'arcs-en-ciel.