J’ai ma douce petite chatte
qui aime venir dans mon lit,
Je lui fait une place, aussi
elle veut dormir sous la couette.
Cherchant caresses le matin
tout contre moi elle ronronne,
Son petit ronron me résonne
aux oreilles comme un moulin.
Tout à ses côtés je sommeille,
Plus question de me rendormir
car elle ne veut plus dormir,
Aussi, faut-il que je m’éveille.
Alors la chambre nous quittons,
Déjà elle veut ses croquettes
sinon c’est sur, elle rouspète,
Ainsi tous deux nous déjeunons.
Je ne sais pas qui est le maître,
Qui de nous deux doit obéir,
Car ce n’est pas prêt de finir,
Pas facile pour le reconnaître.
Vous pensez : il se le veux bien !
Qu’après tout je me laisse faire,
Alors : Oui, et moi je préfère
voir son bonheur et puis le mien.
Je suis comblé par sa tendresse
que j’apprécie avec douceur,
Nager tous deux dans le bonheur,
Toute la vie dans la richesse.
Douce Gipsy, d’amour je t’aime,
Tant de caresses et tant d’amour
donnés, réclamés tous les jours,
Ne change pas reste la même.
qui aime venir dans mon lit,
Je lui fait une place, aussi
elle veut dormir sous la couette.
Cherchant caresses le matin
tout contre moi elle ronronne,
Son petit ronron me résonne
aux oreilles comme un moulin.
Tout à ses côtés je sommeille,
Plus question de me rendormir
car elle ne veut plus dormir,
Aussi, faut-il que je m’éveille.
Alors la chambre nous quittons,
Déjà elle veut ses croquettes
sinon c’est sur, elle rouspète,
Ainsi tous deux nous déjeunons.
Je ne sais pas qui est le maître,
Qui de nous deux doit obéir,
Car ce n’est pas prêt de finir,
Pas facile pour le reconnaître.
Vous pensez : il se le veux bien !
Qu’après tout je me laisse faire,
Alors : Oui, et moi je préfère
voir son bonheur et puis le mien.
Je suis comblé par sa tendresse
que j’apprécie avec douceur,
Nager tous deux dans le bonheur,
Toute la vie dans la richesse.
Douce Gipsy, d’amour je t’aime,
Tant de caresses et tant d’amour
donnés, réclamés tous les jours,
Ne change pas reste la même.