Concours Du 19 au 28 Août 2016
(envois des poèmes sur ma Mp )
Résultats : le 30 Août 2016
(proposé par Luron1er)
Voyage en " i " grec
Racontez-nous une histoire ...
Consignes :
26 vers obligatoires
Respecter bien l'ordre des mots imposés ci-dessous !
Aboyer
Broyer
Convoyeur
Dévoyer
Enrayer
Festoyer
Gyrophare
Hyacinthe
Incroyable
Joyeusement
Kayak
Loyal
Mareyeur
Nettoyeur
Oyez
Paysan
Quadrisyllabe
Rayure
Sabayon
Typographe
Uruguayen
Voyage
Wallaby
Xylophone
Yodler
Zygomatique
Tous les mots peuvent être conjugués ou accordés à condition que le « y » demeure :
Exemples :
aboyer, il a aboyé ou aboyeur...
Broyer, broyage, broyeur...
Convoyer, convoyage, convoyeur...
Etc...
Rimes au choix : Son : « eur » ou « elle » alternées ou pas
Exemples ;
le chien aboyait avec ardeur
Lorsque se mit en route le broyeur
Ou :
Le vaurien aboya de plus belle
Après avoir broyé mon ombrelle
ou :
Sur la route des vacances les convoyeurs
Coquins dévoyés, avançaient en ribambelles
Les yeux fixés sur un trafic enrayé sur l'heure,
Par des lurons arrêtés à festoyer avec leurs belles...
Ou :
rimes suivies; toutes terminées par le son eur ou elle
Attention : aux fautes d'accord, de vocabulaire ou de conjugaison !
Vos écrits seront commentés et notés avec impartialité comme à l'accoutumée
Chef du jury ; Lys
A vos plumes imaginatives !
*
Désolée un problème sur le site...Patience pour les médailles...
Merci pour votre compréhension...Lys
*Résultats du concours*
Médaille OR.......................Jan..........8,87/10
Médaille ARGENT...........Iboujo.....8,31/10
Médaille BRONZE...........Iboujo.....8,0/10
Un grand bravo ! l'exercice, n'était pas facile,
mais vous avez relevé le défi avec brio.
Participant(e)s
Luron 1er......7,95 /10
ciel son iel employé 2 fois ainsi que belle
Consignes guère aisées mais beau résultat
Un poème bien ficelé, original, bonne conclusion.
(ciel et arc-en-ciel : son iel )
1) Voyage chimérique en « i » grec.
Rien ne sert d’aboyer, mademoiselle,
Si vous broyez du noir, n’ayez pas peur,
Je connais un convoyeur sans balancelle,
Qui est dévoyé pour ôter vos petites chaleurs,
Les enrayer afin de vous amener vers le ciel,
Et festoyer avec vos amis déguisés en fleur,
En allumant un gyrophare en forme d’étincelle,
En mettant la petite hyacinthe en si belle valeur,
Dans un incroyable ballet aux beaux tons arc en ciel,
Joyeusement, si vous vous trouverez en sueur,
Embarquerez en kayak sur une onde plus belle,
Rafraîchissez vous au loyal vent des pleurs,
Auprès du mareyeur au sourire sempiternel,
Nettoyeur de tristesse et des petits malheurs,
Oyez, oyez, le chant des sirènes à l’appel,
Du paysan, écoutez sa sagesse et son labeur,
Et en quadrisyllabes, retenez le traditionnelle,
Sans rayure dans sa raison, en toute pudeur,
Préparez un sabayon de bonnes idées irréelles,
Comme un typographe sans point précis, gaffeur,
L’uruguayen vous invitera en son pays sensationnel,
A un voyage unique dans l’imaginaire du rêveur,
Où le wallaby nous mène en sa chanson si belle,
Accompagné au xylophone avec des sons farceurs,
Yodlant comme un suisse sur les monts de Neuchâtel,
Soumettant nos zygomatiques aux rythmes des rires du bateleur.
*
Je connais un convoyeur sans balancelle,
Qui est dévoyé pour ôter vos petites chaleurs,
Les enrayer afin de vous amener vers le ciel,
Et festoyer avec vos amis déguisés en fleur,
En allumant un gyrophare en forme d’étincelle,
En mettant la petite hyacinthe en si belle valeur,
Dans un incroyable ballet aux beaux tons arc en ciel,
Joyeusement, si vous vous trouverez en sueur,
Embarquerez en kayak sur une onde plus belle,
Rafraîchissez vous au loyal vent des pleurs,
Auprès du mareyeur au sourire sempiternel,
Nettoyeur de tristesse et des petits malheurs,
Oyez, oyez, le chant des sirènes à l’appel,
Du paysan, écoutez sa sagesse et son labeur,
Et en quadrisyllabes, retenez le traditionnelle,
Sans rayure dans sa raison, en toute pudeur,
Préparez un sabayon de bonnes idées irréelles,
Comme un typographe sans point précis, gaffeur,
L’uruguayen vous invitera en son pays sensationnel,
A un voyage unique dans l’imaginaire du rêveur,
Où le wallaby nous mène en sa chanson si belle,
Accompagné au xylophone avec des sons farceurs,
Yodlant comme un suisse sur les monts de Neuchâtel,
Soumettant nos zygomatiques aux rythmes des rires du bateleur.
*
Luron 1er.....7,95 /10
Il serait difficile de l'apprendre par cœur! fort bel exercice poétique
Belle imagination, teinté d'un bel humour
Respect des rimes suivies tout au long de votre écrit
( veniel, ciel,démentiel : son iel )
( Mis en marche ce gyrophare...il me semble )
Attention à la ponctuation parfois, pour plus de compréhension
( s à : huitres et à : wallabys )
2) Voyage en fresque de « i » grec.
Mais n’aboyez pas si fort, gente demoiselle
J’ai broyé vos couleurs en de beaux tons pastel
Et convoyées par le doyen, quel doux bonheur !
Si je l’ai dévoyé pour vos toiles toutes en fleurs
C’est bien pour enrayer les jugements véniels
Et festoyer avec vous de belles ritournelles.
Met en marche ce gyrophare, enlève les malheurs
Hyacinthe est là contemplant les effets moqueurs
Du son incroyable, dithyrambique, démentiel
Qui joyeusement entraîne de sonores appels.
Dans mon kayak, j’entendis du vieux le labeur
Cet homme loyal transmettait ainsi les couleurs
Au mareyeur, les marines et les aquarelles
Nettoyeur d’huître, amateur de pattes nouvelles.
Oyez ainsi ceux qui cohabitent toutes les heures
Du paysan où à la manière du prêcheur.
En quadrisyllabe, du haut de la citadelle,
Sans rayure, lisse comme une simple béchamel,
Je fais un sabayon d’un lavis de tes pleurs.
Marque comme un typographe la carte des honneurs
L’uruguayen donnera un passeport de miel
Pour un long voyage au pays du septième ciel
Accompagné des petits wallaby baigneurs
En musique d’un gros xylophone tapageur
Qui yodlera des vocalises en hautes échelles
Actionnant ses zygomatiques pour les pucelles.
*
Mais n’aboyez pas si fort, gente demoiselle
J’ai broyé vos couleurs en de beaux tons pastel
Et convoyées par le doyen, quel doux bonheur !
Si je l’ai dévoyé pour vos toiles toutes en fleurs
C’est bien pour enrayer les jugements véniels
Et festoyer avec vous de belles ritournelles.
Met en marche ce gyrophare, enlève les malheurs
Hyacinthe est là contemplant les effets moqueurs
Du son incroyable, dithyrambique, démentiel
Qui joyeusement entraîne de sonores appels.
Dans mon kayak, j’entendis du vieux le labeur
Cet homme loyal transmettait ainsi les couleurs
Au mareyeur, les marines et les aquarelles
Nettoyeur d’huître, amateur de pattes nouvelles.
Oyez ainsi ceux qui cohabitent toutes les heures
Du paysan où à la manière du prêcheur.
En quadrisyllabe, du haut de la citadelle,
Sans rayure, lisse comme une simple béchamel,
Je fais un sabayon d’un lavis de tes pleurs.
Marque comme un typographe la carte des honneurs
L’uruguayen donnera un passeport de miel
Pour un long voyage au pays du septième ciel
Accompagné des petits wallaby baigneurs
En musique d’un gros xylophone tapageur
Qui yodlera des vocalises en hautes échelles
Actionnant ses zygomatiques pour les pucelles.
*
Iboujo.....8,31 /10
Médaille d' ARGENT
ciel son iel et non el
Quel périple! empli d'humour
Finalement, des vacances mouvementée, mais une fin heureuse.
Bravo ! Pour ce récit plein d'entrain, parfaitement narré.
Attention à la ponctuation pour une lecture plus aisée.
Il me semble que : Buvons ce vin blanc aux œufs, avec ce Sabayon bien frais que je vous ai préparé avec zèle... serait plus approprié ? (ciel : son iel )
3) Vacances contrariées
Un aboyeur de première, le chauffeur de bus de Pévèle-Cappelle
Faire mille bornes avec un type pareil, c'est à broyer la bonne humeur
Il s'annonce joyeux, le Pays des Merveilles avec ce genre de convoyeur
Un pervers aux mots salaces, il injurie, un dévoyé qui cherche querelle
Dans le car, le silence ! personne pour enrayer l'ineptie caractériel du manoeuvreur
Je me souviens, certains festoyaient le sandwich à la main, d'autres jouaient au freecell
Quand une ambulance, à toute allure, gyrophares allumés, crissait l'horreur
Nous apprenions que le bon Hyacinthe s'était fait renverser dans une ruelle
Par un conducteur en scooter, en contre sens, une incroyable méprise du jeune écraseur
Nous étions si joyeusement prêts pour des vacances dans le Doubs, à Osselle
Avec le désir de vaincre, nos kayaks dans le coffre, pour un tournoi sur le plan d'eau Majorelle
En accompagnante, la formatrice, un genre de Monsieur Loyal féminin, sévère mais pas cruelle
Ancienne mareyeuse retraitée, au caractère trempé, de Boulogne un port de marins-pêcheurs
Allait-elle jouer au nettoyeur comme Reno dans Nikita, elle harangua Marcel, le prénom du chauffeur
Demi-tour lui dit-elle, et en hélant l'assistance,"oyez les amis", calmons cet abruti, avant que le ciel
Nous enlève notre brave paysan Hyacinthe, apportons lui notre soutien contre le culbuteur
Pas de quadrisyllabe mais deux pour dire " nous t'aimons ", les vacances ne seront pas sa pierre de stèle,
Nos tenues à rayures resteront au vestiaire, en attendant une décision. Chers compétiteurs
Buvons ce vin blanc aux œufs, ce Sabayon bien frais, que je vais vous préparer avec zèle
Toi, Jean, l'imprimeur-typographe, tu rédigeras un article dans notre journal " l'amidecoeur".
Le responsable aux sports uruguayens de son état, verra combien l'amitié nous lie, elle est belle,
Il programmera un autre voyage, à une autre saison, nous attendrons les prochaines chaleurs.
Tout le bus acquiesça, des rires fusèrent, moi ,je sautais comme un wallaby, à la nouvelle
Le car, prit la route du retour, la décision suscita, chansons, chaperonnées par le xylophone de Sauveur.
Flanquées d'une tyrolienne endiablée, nous yodlions de plaisir et de plus belle
A nos lèvres, pas de vacances pour leurs zygomatiques, à l 'idée de retrouver notre ami, quel bonheur !
Hyacinthe sera remis sur pied... depuis il nous accompagne dans nos challenges......
*
Raymond3.....7,93 /10
Beaucoup de terminaisons en iel et non el
Il me semble avoir reconnu quelqu'un par pure coïncidence...fort beau pamphlet
Mots imposés parfaitement employés. De superbes jeux de mots.
Alternance des rimes harmonieuse bien que vous ayez employé le son : iel au lieu de elle
( à avaler )
4) Toute coïncidence ou ressemblance avec des personnes
existantes ou ayant existé ne serait que fortuite
Guerre en paix avec tous ces aboyeurs artificiels
On connaît la chanson, nappe léon le broyeur
Sans état d’âme feuilleton du convoyeur démentiel
A la mode de chez nous, dévoyer pour le plus grand malheur.
Vrai tyran, corse le cas enraye la culotte juste septième ciel,
Pendant que d’autres ont festoyé sans doux leurres.
De l’étincelle au gyrophare, black août de la gauche pluriel,
L’Hyacinthe du haut de son balcon en déambulateur
Guette d’une incroyable lucidité, les bwanas concurrentiels
La crème défile joyeusement vers l’arnaqueur
Du kayak au marabout planté près de la tour Eiffel
Pigeonné et loyal du Rif fifi chez le bailleur,
Dur a avaler la perle du mareyeur à la présidentielle.
L’échappée avec la belle, par le nettoyeur au karcher sème la rumeur,
Oyez gens de Cartier ! Saluez le serial bling bling stratège officiel.
Ouvriers et paysans sonnez la gloire ! Ho dette contrôleur
Procès jugement expédié en un quadrisyllabe, peine pénitentielle
Beaucoup de sport en basse quête et tenue à rayure ça fait fureur,
En attendant on oublie en dessert le Sabayon providentiel,
Pour un virage d’anges heureux, menu à la carte du typographe tableur
Uruguayen, spécialiste aussi de l’Asado et du maté à vous faire grimper au ciel
Un voyage sans ticket reste au rang cas cher et aux gnons batailleurs
Sur la feuille de match le wallaby prosélyte du ballon ovale au bon potentiel
S’invite à la danse du tamtam et du xylophone marche ou grève buteur
Et feuille-thon la marguerite yodler effets colchique dans le pré-férentiel
Encore des allumés pinaise les zygomatiques joueurs de racket farceurs
*
Jan …..8,87 /10
Médaille d' OR
La vie paysanne actuelle...dans le labyrinthe des consignes imposées
Parfait, consignes respectées
Une situation actuelle fort bien décrite, Une écriture fluide et 26 mots bien à leur place. Bravo !
5) Paysans ...
Depuis sa niche le chien aboyait avec ardeur
Le broyeur à grains ne faisait pas dans la dentelle
Le convoyeur salua et dit qu’il venait pour elle
Ces dévoyés chargèrent la jument pour son acheteur
Moyen trouvé pour enrayer la rage de ces sans cœur
Plus de quoi festoyer la vie à la ferme n’était plus belle
Gyrophare allumé, sortie du camion pour icelle
Le père Hyacinthe, lui, remâchait toutes ses rancœurs
C'était vraiment incroyable d’ainsi récolter son labeur
Sur la rivière s’ébattaient joyeusement des baigneurs
Un kayak en suivait le cours : joies de l’été traditionnelles
Il était loyal, pas son banquier qui en faisait un rebelle
Pour subsister il a du s’embaucher chez le mareyeur
S’habituer à vendre du poisson dont il était le nettoyeur
Oyez ! oyez ! cet employé dans sa fonction usuelle
Il fut un paysan mais la terre n’est plus substantielle
Le dire en quadrisyllabes : Des travailleurs...
De leur emploi rayés, et en vie résiduelle
Ils sont un Sabayon, préparation traditionnelle
Mais comme un typographe se font triturateurs
Un uruguayen en commerce équitable est plus gagneur
Fruits et légumes en longs voyages, habitude universelle
Ainsi du pays des wallabys pommes sensationnelles
Au xylophone, exprimer tous ses malheurs ?
Où les yodler de façon plus conjoncturelle
Leurs zygomatiques serrés ne sont que fureur !
*
Iboujo ..... 8 /10
Médaille de BRONZE
2 fois "belle", certaines rimes en iel et non el...un fabuleux voyage
Je me suis laissée bercer par ce voyage magique à l'atmosphère envoûtante
( attention au rimes en iel )
6) Caravaniers
Les chiens errent, aboyant, la caravane lentement avance pour se faire la belle.
Sous les sabots affûtés des chameaux le sable est broyé par ces rémouleurs
Sous la houlette des Hommes-Bleus , le convoi s'étire, ils sont grands convoyeurs
Ne pas dévoyer de leur route, un but, ils sont guidés par l'étoile pour boire bien et, belle
La longue caravane a l'esprit non enrayé, le chamelier est un géographe connaisseur.
Le désert ? aucun secret, le ciel ? un repaire, où le charognard va festoyer de la raideur d'une chamelle.
La mappemonde de l'éther scintillant leur sert de gyrophare en la nuit noire de profondeur...
Le soir autour d'un feu, un thé noir et sucré à la fleur de hyacinthe sert à sustenter les heures,
Un incroyable instant de pureté, de réconfort pour ces hommes soudés, et en chœur
Sur cette terre sainte, s'élève dans l'air intense outremer, les prières joyeusement cérémonielles
Et puis , ils rêvent à l'eau, à la mer, aux bateaux, aux kayaks, un mirage du caravanier à l'honneur,
A l'honneur de ces Hommes, navigateurs de dunes, absorbeurs de sable, un cénacle loyal factionnel.
D'avec le troupeau, grossistes mareyeurs de Vie, de leur lignée d'As-Sahraa l'assécheur
Au désert, tout est possible, mais rien n'est certain, c'est le nettoyeur de poussières du ciel,
Oyer l'écho qui vous appelle, c'est un endroit attirant aux dangers malins et enchanteurs
Les paysans des sables connaissent comment repousser les caprices des frontières du réel
Ils prêchent le Marabath, de quelques quadrisyllabes, sur son tombeau populaire de prédicateur,
Des litanies comme un disque usé plein de rayures, la croyance dévie les maux du ciel...
La caravane avance, coûte que coûte, je me leurre d'un Sabayon, Ô feinte existentielle !
Voilà que moi aussi, en typographiant cet écrit, je me retrouve au désert Maures, où mon cœur
S'est posé avec ces Hommes d'exception, ceinte d'un ami uruguayen, nous traversions l'Univers Universel,
Un voyage inoubliable, nous en reparlons souvent en Tanzanie où nous sommes d'actuels Chercheurs
Pour une mission de repérage de wallabys, un autre lieu de la terre, une autre vision animale de sauteurs.
Ce soir, sur le xylophone, nous émettons des airs de tous ces pays, en chantant leurs merveilles,
Nous irons jusqu' à yodler, histoire de rappeler au monde, que nous Européens, assimilés au bonheur
Nous ne comptons plus les rires de nos zygomatiques, ils se racontent comme chez eux, Fraternels.
*
Bravo ! à tous,
Merci pour ces magnifiques prestations, merci à Luron1er, pour cette proposition de concours
Merci à mes juges...Lys
*
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