UN HOMME DE PASSAGE.
En ton absence, mon cœur ne bat plus
Comme un chien à l’arrêt je t’attends
Surveillant les ombres dans le jardin
A l’écoute de pas crissant sur le gravier.
Qu’est-il arrivé à cet amour d’été
Je t’ai ouvert mes bras en guise de maison
Voulant ignorer que tu étais de passage
Pour brûler en fuyant ma dernière illusion
Une autre journée vient de s’achever
Mes regrets s’éloignent lentement
La lumière d’automne m’abreuve de couleurs
De ma petite chambre je tire les rideaux.
Bientôt de notre rencontre il ne restera rien
Ni pleurs ni regret, juste un doux souvenir
Que j’ai déjà rangé au fond d’un vieux tiroir
Où il s’endormira pour toujours dès ce soir.
FIN
En ton absence, mon cœur ne bat plus
Comme un chien à l’arrêt je t’attends
Surveillant les ombres dans le jardin
A l’écoute de pas crissant sur le gravier.
Qu’est-il arrivé à cet amour d’été
Je t’ai ouvert mes bras en guise de maison
Voulant ignorer que tu étais de passage
Pour brûler en fuyant ma dernière illusion
Une autre journée vient de s’achever
Mes regrets s’éloignent lentement
La lumière d’automne m’abreuve de couleurs
De ma petite chambre je tire les rideaux.
Bientôt de notre rencontre il ne restera rien
Ni pleurs ni regret, juste un doux souvenir
Que j’ai déjà rangé au fond d’un vieux tiroir
Où il s’endormira pour toujours dès ce soir.
FIN