Les histoires de Paul et Mic.
Un jour, j’ai surpris la conversation de deux cons,
Qui jouaient à qui gagnerai au jeu du quand dira-t-on,
Et de cette écriture, ils ne trouvaient pas d’accord,
De leurs paroles, il faut qu’ils en parlent encore.
Un jour, j’ai surpris la conversation de deux cons,
Qui jouaient à qui gagnerai au jeu du quand dira-t-on,
Et de cette écriture, ils ne trouvaient pas d’accord,
De leurs paroles, il faut qu’ils en parlent encore.
Ils radotent, ils radotent en jactant dans le vide,
Cherchant à se faire remarquer d’une façon avide,
Encore et encore, ils reviennent bien plus tard,
Se croyant nouveaux avec d’autres avatars.
Ils s’infiltrent dans leurs termes de vrais bonimenteurs,
Et cherchant toujours à détourner les vraies valeurs,
Leur péché, inoculer lentement leur poison,
A nous simplement d’en pêcher ces poissons.
Ainsi, doucement, s’amplifie une grande rumeur,
Apportant, ici et là, son petit lot de malheur,
Tiraillant de ci, de là, pour qui ? Pourquoi ?
Pour semer la panique, la discorde, à qui ? A quoi ?
Pourquoi, ne pas simplement, essayer d’estimer,
Ce qui est seulement bon en toute priorité,
Dans l’amour de l’humour, il vous faut confesser,
Sinon, il faudra une fois pour toute, ici, les cons fesser.
Un nouveau climat reviendra ainsi au grand soleil,
Apporter ainsi à tous, les bonnes saveurs du miel,
Pour que comme moi, pauvre et piètre écrivaillon,
Dans la paix et le rire, enfin nous nous retrouvions.
Cherchant à se faire remarquer d’une façon avide,
Encore et encore, ils reviennent bien plus tard,
Se croyant nouveaux avec d’autres avatars.
Ils s’infiltrent dans leurs termes de vrais bonimenteurs,
Et cherchant toujours à détourner les vraies valeurs,
Leur péché, inoculer lentement leur poison,
A nous simplement d’en pêcher ces poissons.
Ainsi, doucement, s’amplifie une grande rumeur,
Apportant, ici et là, son petit lot de malheur,
Tiraillant de ci, de là, pour qui ? Pourquoi ?
Pour semer la panique, la discorde, à qui ? A quoi ?
Pourquoi, ne pas simplement, essayer d’estimer,
Ce qui est seulement bon en toute priorité,
Dans l’amour de l’humour, il vous faut confesser,
Sinon, il faudra une fois pour toute, ici, les cons fesser.
Un nouveau climat reviendra ainsi au grand soleil,
Apporter ainsi à tous, les bonnes saveurs du miel,
Pour que comme moi, pauvre et piètre écrivaillon,
Dans la paix et le rire, enfin nous nous retrouvions.
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