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Résultat du concours l'été

#1
Concours : l’été
Du 21 juin au 18 juillet
Résultats 20 juillet


été.jpg


Thème : l’été


Consignes :

Un titre percutant comportant le mot « été » à mettre sous forme d’acrostiche
Rimes obligatoires
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !


Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.

Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes.
Vous pouvez également participer en hors concours.


Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.


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résultats en cours de parution
Médaille d'Or ZUC 8.44
Médaille d'Argent LURON1er 8.43
Médaille de Bronze MIDNIGHT 8.10



1 L’interprète de l’été Luron 1er 8.43 médaille d'argent

La chanson du soleil est notre anxiété

Interrompant nos dures journées de contrariété
Nous laissant sous cette chaleur un peu hébété
Tachant d’éviter les virus sans être inquiété
Eté, commence nous ce concours : Interprété
Résolvant sans accroc cet acrostiche en toute sobriété
Pour écrire avec d’autres une saison en copropriété
Repoussant les affres de réflexion sans aucune piété
En n’octroyant jamais aucune fausse notoriété
Trichant un peu dans mon état d’ébriété
En tentant avec les poètes à chercher la variété


De formuler des vers changeants l’accent à satiété
En ajoutant un petit chapeau sans en être affété


L’enfer n’est point ici, ne soyez pas embêté

Et pour vos besoins, voici un terme prêté
Tout en essayant d’un mot non répété
Etêté, mon été est ici reflété et arrêté


1
Superbe acrostiche avec les terminaisons « éstivalesques »s ! et jeux de mots en finale !
Lecture fort plaisante, bravo !
Titre et texte original ainsi que l’acrostiche en monorime avec « Eté «
Un peu d’anxiété de l’été


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2 Ô ciel d’été sans nuage. Luron 1er 7.61

« Orage ! Oh désespoir ! »

C’est un début pour refonder l’espoir
Il nous faut croire que les grêles soient fondues
Et que les saisons ne soient pas confondues
Là haut dans ce ciel si changeant


Demain renaîtra, les jours seront moins affligeants

Et l’été deviendra cette période de plaisir
Tant attendue pour combler nos désirs
Enfin retrouvés


Sans travail, maintenant achevé
Ainsi viennent de nouvelles distractions
Nous sortant finalement des nouvelles sanctions
Survivants malgré les périodes néfastes du Corona


Nous permettant d’aimer les joies sans bérézina
Une espérance pour le bien de notre cerveau
Avec un regain pour une vie de renouveau
Gagnant contre la pandémie bravée
Esprit plus sain, d’un possible enjolivé



Consignes respectées dans cette « positivité » d’un ciel sans nuage
Le titre manque un peu d’originalité
L’avenir me parait moins optimiste, je m’attendais a un texte sur le réchauffement climatique


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3 L’été a une p’tite robe blanche PAT38 7.25

Légère et fluide au parfait d'un printemps

Épousailles de plumetis et taffetas
Trouvent son envolée par le tulle organza .
Eté ou la mousseline trémousse son argument


Ainsi la doublure gaufrée d'arabesque

Union en est le mot dans la féminité de cette robe
Nuptiale ou l’homme témoin en sera dès l'aube
Éloge d'une parodie ou presque .


Prête à un dimanche de noce communion
Tournée de cotillons, froufrous en portefeuilles
Insouciante et désirable au volute d'un œil.
Tiens ! là voilà mademoiselle en pt'it jupon !
Essayage de mode surfile l'air du temps.


Robe aérienne en strass défile lors d'un gala
Ou éclate la pureté d'une épaule ou d'un bras.
Bustier coquin aux rondeurs du clivage béant
Engaine le corsage qui endiable la moralité


Belle dame au fendu du galbe de vos gambettes
Les fronces de votre tenue folâtrent des conquêtes
Accrocs fripons à vos dessous ainsi dévoilés ...
Nymphéa sublimée par la douceur d'une toilette
Chic parfois friponne qui scandalise les yeux,
Heureuse jarretière découvrant le fabuleux
Esprit troublé ! Par une aussi belle coquette.


Rimes respectées, lecture plaisante
L’été, c’est la saison des mariages, avec son lot d’avenir plus ou moins heureux. Et incertain…un peu de légèreté d’été dans les esprits et les tenues. Jolie coquette !



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4 Les étoiles de l'été ANGEPAPILLONNANOU 7.69

Lumineux peut bien être le ciel,
Étendue est la voûte sur la voie lactée
Somptueuses sont les voiles d'une nuit d'été


Étoiles gisant dans un monde empli d'arc en ciel.
Timidement la rosée vient s'étendre,
Orange, rose et mauve fut le paysage
Irrésistible beauté d'un ciel sans nuage
Lumineuse sont les étoiles qui parfois se font attendre.
Effervescentes peuvent être certaines âmes,
Sensibles aux doux zéphyrs


Douces sont les odes frôlant les peaux adoucies grâce aux kéfirs
Écouter les échos qui transissent les âmes.


Librement pouvoir rêver,

Éternellement s'y épanouir
Tendresse si immense jusqu'à s'y évanouir
Étreinte du vent qui s'est levé.


Respect des consignes mais « ciel » et « arc en ciel » rime un peu trop simpliste
Titre pas très original
Sensible au doux zéphir


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5 Les tétés de la belle étaient au bel été à téter ZUC 8.44 médaille d'or

Loin des beaux rivages méditerranéens,
Enivrant de soleil les cieux azuréens,
Seule une nymphe belle aux seins nus et volage,


Toilettait sa plastie innocente de l’âge,
Éblouissante dans les eaux fraîches d’un ru,
Terrifiant les yeux secs des femmes du cru,
Émoustillant d’un rien les hommes du village,
Simplement sur sa peau dorée un fin voilage,


Découvrant légèrement le téton d’un sein,
Elle laissait entrevoir plus bas le dessin,


La ligne souple, ronde et fine de ses hanches,
Accordant même à découvrir ses zones blanches,


Bien qu’un buisson touffu, du grand jour eut caché,
Encor’ le sexe sous le tissu entaché,
Le désir montait par vagues des berges chaudes,
L’écrin de ses yeux brillait de mille émeraudes,
Envoûtant les ribauds qui voudraient l’approcher


Épargnant seul du sortilège le rocher,
Ténébreux qui sous son corps se fit le plus tendre,
Ajoutant du désespoir dans les cœurs à prendre,
Inlassablement tout l’été prenant ses bains,
Elle parlait aux fleurs, et souriait aux bambins,
N’écoutait que le chant de l’onde sur la rive,
Tenant parfois au creux de sa main une grive,


Allongée nue offrant au monde sa candeur,
Un bon dieu même n’aurait vu là nulle laideur,


Bandant son arc un drôle de Cupidon timide,
Épris de rougeurs tout tremblant et l’œil humide,
Lâchât mal sa flèche blessant un petit chat,


Éminence câline il vint prêchi-prêcha,
Tenter réconfort et soins au près de la douce,
Élégante jeunette dormant sur la mousse.


À la première plainte elle l’eut fort guéri,

Tout contre elle pris ce pauvre petit chéri,
Épanoui le chaton léchait la peau sucrée,
Trouvant bon le sein à l’auréole nacrée,
Encor’ Cupidon ce maladroit, entêté,
Ratant de nouveau et le sein fut étêté.


( comme dans toute histoire il faut à la fin une morale, ici il n y en a pas,
il en va de même pour ceux qui crient haro aux seins nus qu’à ceux qui crient haro au burkini,
chacun est libre à la plage de porter ou non un bout de tissu, ni voyez là qu’une suite de jeu de mots,
et pensez que dans « à téter » il y a « athée t’es » et moi je le suis )



Consignes respectées, quelle belle envolée de jeux de mots ! une histoire sans morale sans doute mais fort divertissante, bravo
La gougoutte à son chat de Margot, comme chantait le grand Brassens.


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6 Encore un soleil ANGEPAPILLONNANOU 8

Emerveillé par une chaleur agréable,
Nul ne pourrait rendre cette journée désagréable
Chimères viennent bercer ces instants appréciables
Où, d'autres parfois sont ennuyeuses, pauvres diables !
Rose est son teint qu'elle repoudre finement,
Emportée dans son élan, elle souligne ses yeux divinement


Un ou deux soupçons de parfum dont elle s'asperge furtivement.
Noue d'un ruban de soie bleu clair sa longue chevelure,


Soigne toujours fièrement son allure
Onéreusement, elle recouvre sa peau nature
Lorgne d'un peu plus prés son encolure.
Emballé par son image renvoyait par son miroir,
Inspecte ses tenues suspendues dans son armoire
Longues robes et chemisiers de dentelles noires.



Respect des consignes, belles images d’un été de femme, poétique à souhait. Toutefois le mot "été" n'apparait pas dans le titre...
Il n’y a pas *été » dans le titre
Rafraichissant


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7 Voici venu l'été WILLIAM LECORNIER 7.95


Voici venu le temps ou le soleil flamboie,
Où l'on voit l'horizon pendant le mois d'été,
Indicible beauté de couleur qui ondoie
Comme un vent caressant devenant parfumé.
Issu d'une douceur encor plus estivale


Virevoltant dans l'air la chaleur tropicale,
Et lorsque le blé mûr murmure et puis s'endort,
Ne cherchant qu'à veiller sur leurs beaux épis d'or,
Unissant dans les champs dès que le jour se lève,


Laissant mûrir leurs grains jusqu'à maturité

En espérant toujours que la saison s'achève,
Tablant sur l'espérance et d'un plus bel été
Et vivant ces instants comme un très joli rêve.



Consignes respectées, fort harmonieux, belle évocation
Titre pas très original
Le doré été, caniculaire est plutôt catastrophique pour les arbres. En feu
Ah l’espérance revient souvent dans vos textes poètes.
Mais Où se cache-t’elle donc?




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8 Vacances d'été. WILLIAM LECORNIER 7.8

Vadrouillant au hasard entre mer et montagne,
Allant à l'aventure en quête du soleil,
Cherchant un peu de calme en milieu de campagne
Après un bon repos la nuit porte conseil.
Naviguer aux pays de ces contrés sauvages,
C'est ce dont je désire et ce depuis toujours ;
En se faisant plaisir, en flânant sur les plages,
Se donnant aux loisirs dans de très beaux séjours.


Dans l'Île sous le vent, beautés prestigieuses,

En plein juillet aout moments passionnants,
Tant le climat est doux, les nuits sont merveilleuses
Et les gens séduisants, ainsi très accueillants.



Respect des consignes, belles images de période estivale
Titre pas très original
Mais une île accueillante



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9 L’été en hiver MIDNIGHT 7.2

Luminothérapie dans un gros glaçon,

Eté des couleurs dans les prismes
Tempèrent mon âme, ma maison,
Energie « solar impulse » de mon cœur en séismes


Eau, air, vent, la nature reprend ses droits,
Noah reconstruit le radeau de la méduse.


Hotel des flots bleus, nous sommes comme des rois.
Iceberg, martini on the rocks, je suis ta Muse.
Vent dans les voiles par la fenêtre. Le rideau,
Elèves palmés sous les pins parasols aux cimes
Rêveurs au fil de temps, on mangeait des glaces à l’eau



Dommage, cimes rime avec quoi ? Un ciel d’optimisme où l’été reste dans les cœurs
Un titre original par ces opposés
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10 Eté caniculaire. WILLIAM LECORNIER 7.75

Encor vers un été dur et incandescent,
Torride et suffocant pouvant être pénible ;
En plein cœur du soleil l'air est parfois pesant.


Chaud aux lueurs du jour et ainsi difficile
A respirer la nuit, trop lourde est l'atmosphère
Nécessitant fraîcheur dans toutes les maisons.
Ici aux Canaries souvent caniculaire,
Constamment estival et à toutes saisons.
Un coin de paradis perdu dans l'Atlantique
Le ciel est toujours bleu, la mer d'une beauté
A éblouir plus d'un, sa vue panoramique
Idéale est toujours très bien ensoleillé
Rêve à réaliser d'un voyage idyllique
En vacances d'été bien souvent conseillé.


Consignes respectées, d’actualité ! belles images des Canaries et bon conseil
Titre pas très original
Une île tout de même accueillante ou se reposer sous le soleil ardent avec une brise de vent


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11 Ombres d'un été ANGEPAPILLONNANOU 7.45

Oublier de compter le temps,
Méditer et s'accorder de temps
Bronzer sous le soleil ardent.
Rosé est le teint d'Adan,
Éphémère peuvent être ses rêves
Sereinement ceux-là s'achèvent.


Doux et léger telle une pétale de rose,

Unique comme une tendre prose.
Nuancé de sentiments profonds,


Embués depuis les tréfonds.
Tendre fut l'amour heureux,
Eve et Adan l'eù compris alors qu'ils tombaient amoureux.


Respect des consignes, mais temps rime avec …temps… Eve et Adan l’eurent compris
Le paradis perdu et retrouvé

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12 Un été à l’hôtel du soleil vert MIDNIGHT 8.10 médaille de bronze

Un moment de Samba Bugatti sur la route
Nos noces d’un été encore tout de beurre fondu


Et nous passons en trombe quand les vaches broutent
Trou du ciel au temple du soleil au zénith et du gazon tondu
Et chaque maison dans la prairie a son petit nain de jardin


Arrivés tard le soir, nous fonçons sous la douche tropicale

L’accueil était chaleureux aux terrasses des vertugadins.

Hôtes du snack-bar nous nous restaurons de repas cannibale,
Oignons et petits légumes, du persil dans les narines de la tête de veau.
Tout se profile au cercle de minuit pour passer une nuit chaude musicale.
Espérons le déluge, la fin du monde pour sauver tout ce qui reste des animaux,
L’arche perdue d’Indiana Jones de mon charmant professeur d’archéologie


Départ au petit matin pour une séance spa et piscine d’un réveil en douceur,
UV rayons X et a faire la lézarde et le crotale endormis au soleil de l’écologie.


Scorpion dans le désert vert qui résiste aux radiations nucléaires des amateurs
Où la source du Rhin et du Rhône est née dans la caverne de spéléologie.
Lucy in the sky with diamonds » avait déjà le cerveau de la femme « ordinaceur »,
Et aurait pu conduire la jeep du ranger dans les déserts les plus chauds de Mongolie.
Iles de mes havres de paix, ù je me ressource au soleil vert bienfaiteur.
Larmes de sirènes pailletées, je te dame le pion de ma grotte aquatique...


Ventres des femmes nues comme des sardines grillées qui bouchent le port
Et je métamorphose en perche-volante accoudée au bar du perroquet lunatique
Reste le rêve bleu comme une orange d’immortelle, intact, Au-delà de la mort
Thèse d’Eva qui a croquée dans l’orange et la pomme d’un Cézanne mythique.


Consignes respectées, lecture agréable en ce déferlement ensoleillé.
Un titre rappelant ce fameux film de science fiction"soleil vert"



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13 L’été à l’amante, ZUC 7.95

Le petit salon ouvrait dans un jardin,

Émerveillement en ce lieu citadin,
Toute la belle société de la province,
Étalait en sa verdure leurs airs de petit de prince.


À un jeune sot mal habillé qu’on eut dit sans sou,

L’autorité bourgeoise d’un œil avisé l’eut jugé fou,

Alors pour rire fut invité au thé à la menthe du dimanche,
Mais le garçon un peu rude avait plus d’un tour dans sa manche,
Avec un parlé familier, et des yeux noirs fripons,
Ne faisant fi des bonnes manières, détroussa bijoux et jupons,
Travaillant tout l’été au corps à corps la jeune hôtesse,
Enjouée était l’amante entre les fesses et la messe.


Consignes respectées, titre alléchant, telle une fable magnifiquement contée !
Titre pas très original
Plein de poncifs, limite vulgaire et blasphématoire
Pas très moral de détrousser l’or, les bijoux, les jupons et les sacs à main des vieilles dames !
Titre bien trouvé! un brin polisson digne d'un Brassens....




HORS CONCOURS

L'art était l'arrêté modéral d'été
Luron1er/Zuc/Matthale/Llumierelive

Ecrit à quatre mains pour saluer le concours de l’été.

L’envie d’écrire est en forme d’exemple

Avec vous ce verset que je contemple
Reviens l'ardent tel l'art dentelle de l'écrit
Témoignant sur les pages de ce manuscrit


Et avec vous, nous agirons pour former une équipe
Tout l'été à la proue nous serons, nom d'une pipe !
Autant que le temps le permettra sous le vent
Inspirés par nos muses du soir au levant
Tout l’esprit des vacances pour des idées au clair

Lorsque l'orage au ciel frappera d'un éclair,

Autour d'un feu de camp, raconter nos histoires
Rapportant les meilleures pour notre auditoire
Réflexion sur les bons mots à défricher ou à déchiffrer
Et repus de vers et de jeux de mots nous empiffrer
Toujours pour le plaisir de rimer sans frimer
Essaimant nos assonances sans les opprimer

Moins de maux en partageant ensemble
Oeuvrant timide d'une main qui tremble
Devant son parchemin et la plume à l'encrier
Espoir d’un poème qu’on ne pourra décrier
Recherchant dans l’humour un p’tit coin d’amour
Accrochant un toujours à la rime d'un jour,
L'aube, le soir et journée a ses beautés,

Derrière la transparence des primautés
Eté, entends-tu tout l’esprit de Créapoème ?
Tout art qu'un génie au repos aime

En esprit de saison, poétique et prolifique.

*****************
Les affres de l’été Llumierelive

Les délivrances du carcan hivernal
Ensemencées de perspectives apaisantes
Se diffusent en enthousiasme machinal,


Affres soporifiques de lourdeurs écrasantes,
Fournaises de souvenances d’antan,
Fabuler sur les estivales révolues,
Regards éplorés sur les promesses de charlatan,
Ephémérides de cette saison me sont conclues
Sous la rigueur de rancunes échevelées,


De part les métamorphoses des êtres humains
Envier la nature aux équinoxes renouvelées,


L’incertitude sans ferveur des lendemains :

Eté de mon futur se ploie dans les ténèbres,
Texture oubliée glissant d’entre mes mains,
Ecumes flamboyantes mais bientôt funèbres…
 
Dernière édition:

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#2


une jolie chanson, une belle voix Mort Shuman même si ce n'est pas vraiment dans le style du chatN ;)
 
Dernière édition:

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#17
n'en déplaise à Momo mais le sport numéro 1 de l'été ce n'est pas le cyclisme et le tour de France,
mais ça "regarder les filles qui marchent sur la plage"