Le cœur du Phénix
C’est le nid d’un oiseau au plumage enchanteur
Illuminant la nuit d’une aura persistante
Puis voilà que la lune éblouit son auteur
Dévoilant la fragrance en son âme charmante
On perçoit le Phénix brillant de mille feux
Sous une aile rêvant de la voûte céleste,
Oubliant que son cœur dévoile ces aveux
Il ne peut du destin s’envoler dans les cieux,
De ce fait, il revient chaque fois plus modeste.
Maria-Dolores