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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Les hommes du pentagone derrière la maison à Cookie n'avaient toujours pas constaté de nouveaux phénomènes. Ils observaient le brigadier Tatouvu dans l'allée et se demandaient bien ce qu'il était en train de faire.
Le Pépère avait à peine eut le temps de rentrer dans sa voiture que l'homme qu'il venait de laisser était reparti dans l'allée du poète.
De passage à l'épicerie, en interrogeant sa cousine, il en avait profité pour boire et l'alcool faisant son effet, il était totalement désorienté. Il lui semblait de mémoire avoir vu un chat partir vers chez le poète.
L'un des Américains partit le long de la clôture et interpella le gendarme.
- Hello, I'm Lieutenant Gordon, what are you looking for?
Le brigadier se retourna et lui répondit.
- Hello do you speak martien ? Où êtes-vous des réfugiés Syriens. You speak le French mec?
- Go get fucked, Syrian yourself OK. You speak French all right?
- Ha turkey OK bin mon gaillard les camps sauvages de migrants sont interdit ici. Un deuxième homme s'approcha et dit au gendarme.
- Monsieur bonjour que cherchez vous ici. Excusez mon collègue, il ne parle pas le France.
- Ah bon, n'empêche que les camps sauvages soient interdits dans le secteur alors dégagé où j'appelle mes corps lègues hic de la brigade de Sancoins.
- You can sit on it OK ! Nous sommes des agents fédéraux du pentagone OK !!
- Ah bon bin vous voulez boire un verre avec moi de notre excellent breuvage, je viens d'en prendre une caisse chez ma cousine, hic.
- Écoutez vous, nous sommes agents fédéraux et l'alcool it's not like.
- Tu parles, tu vas liker mon gaillard quand mes potes de la Romaine vont bragader ici, hic.
Les hommes s'apercevant que l'homme était à moitié ivre, s'en allèrent dans leur tente.
Le brigadier, resta un moment à vaciller et c'est à cet instant qu'il crut voir le cochon.
En fait ce n'était pas une hallucination, c'était bien lui.
L'homme s'était caché dans la cabane à Bibou et en était sorti pour voir si la voie était libre.
C'est alors que le brigadier partit en titubant au fond du terrain où il pensait avoir aperçu l'homme.
Il se mit à prospecter et se retrouva dans le fond du pré où il y avait des chats en plâtres de décoration et des canards en plâtre.
Il pensa aussitôt au faux Pépère qui était passé chez sa cousine.
Il sortit son arme et s'écria ;
- Au rond du bois, hic vous êtes en droit de gestation hic. Vous pouvez également garder la faïence, je m'en cogne hic. Où est votre complice le terrorisque, le faux gras, hic, chat, huant, hic garagiste, puant hic, le prospère hic, Pépère le terroriste boulet hic des poulets.
Le brigadier voyant que les animaux ne réagissaient pas partit en courant vers la cabane de Bibou.
Arrivé dans l'entrée, il tomba nez à nez avec cochon qui s'apprêtait de s'enfuir. Le pauvre brigadier qui avait eut la peur de sa vie se demandait bien se qui se passait. L'alcool et l'effort qu'il venait de faire, aidant, lui tournait la tête et il tomba inanimé sur la paillasse de Bibou.
- Yes, Enrich, tu es le plus fort, on ne lâche rien. Le gugus a dû me reconnaître et il est tombé dans les pommes. Ça, c'est vraiment trop fort, quand je vais le raconter aux autres, ils ne me croiront pas. Tiens je vais le balancer sur Facebook lol.
L'homme fit une photo et la posta sur sa page. Il repartit en passant derrière la haie pour ne pas être aperçu par les Américains justes en face de lui.
Pendant ce temps-là, le général et le président attendaient toujours que sœur Mathilde revienne de Sancoins.
- Écoutez, mon maréchal, si cette soûlarde de bas étage ne se dépêche pas, je lui colle cent vingt ans de chaise électrique. Et puis votre brigadier que faut-il, pourquoi n'est-il toujours pas revenu. Il ne me semblait pas très propre tout à l'heure, j'ai comme l'impression qu'il est alcoolisé. Il disait voir les messages en double sur son téléphone.
- Écoutez général ne vous inquiétez pas comme ça, il est parti depuis à peine une demi-heure. Quant à son histoire de double vue, c'est bizarre, car il n'a pas de cheveux frontal alors il ne le devrait pas.
- C'est une marotte votre cheveu ce n'est pas possible, peut-être qu'il n'y a pas le feu, mais nous sommes là à attendre pendant que la chatte de l'agent Fripouille est en danger.
- Ça, c'est drôle, ce que vous dites, l'histoire du feu. Sachez que mon cheveu m'a traumatisé, c'est un fait certain. Car il est responsable d'un échec amoureux, celui de mon premier amour alors que j'avais tout juste treize ans.
- Ha bon, et que s'est-il passé de si grave ?
- Hé bien voilà, c'est à cause du barbecue.
Ce jour-là était celui de mon anniversaire. Ma maman, m'avait autorisé au repas que je désirais. C'est alors que j'ai eu l'idée de déguster des cordons-bleus au barbecue. Le soir même, je devais aller voir une tendre amie dont je vous l'avoue, j'en fus tombé amoureux grâce à mon cheveu. Oui, la douce faisait des jeux vidéos sur ce qui fut l'ancêtre de la Nintendo, l'atari. Elle faisait un jeu où un point, qui était supposé être un prince charmant se déplaçait dans les dédales d'un labyrinthe. La pauvre n'y arrivait pas, car ce jeu forçait les yeux à la bigloucherie. C'est alors que je me suis proposé avec galanterie de l'aider. Ayant la capacité de voir au milieu et sur les côtés en même temps, cet avantage d'une vue en 3D m'aidait et je réussit donc à passer tous les niveaux et elle se retrouva numéro un mondial de vitesse à ce jeu. Oui, je n'ai jamais dit l'avoir aidé et elle s'en prétendît être la joueuse de cette partie. Elle était tombée amoureuse de moi et l'on devait se rencontrer le soir de mon anniversaire. Après l'orgie de cordon-bleus au barbecue, mon père m'emmena chez elle et me laissa. C'est plus tard dans la soirée en voulant l'embrasser que j'ai penché la tête à cent quatre-vingts degrés pour y arriver et que j'ai mis le feu aux rideaux de la salle de séjour.
- Très étrange, je n'entends pas le rapport avec votre cheveu frontal mon maréchal.
- J'y viens, ne vous en inquiétez pas. Voilà, il faut savoir que ce cheveu était quasiment indestructible par le feu. Il aurait fallu au moins une semaine pour qu'il brûle entièrement. En prenant mes friandises sur le barbecue celui-ci a touché la braise et s'est mit à se consumer. Lorsque que j'ai voulu embrasser la douce, il s'en fut d'aventure à toucher les rideaux et ils se sont enflammés. Oui, nous étions contre la fenêtre. C'est alors que son père est arrivé avec des seaux d'eau en faisant la chaîne. C'est moi qui jetais l'eau et comme je louchais, je les jetais sur ma dulcinée. Du coup, nous avons dû fuir la maison et quand les pompiers sont arrivés elle était en cendre. Ma promise quant à elle, à ses cheveux qui ont cuit sous l'action des seaux d'eau que je lui aie jetés et deux jours plus tard elle était chauve. Déjà très agacée après moi, deux jours plus tard, j'ai fait une bévue en la visitant à l'hôpital. Je m'apprêtais à lui dire devant ses parents, regardez Laure va mieux, regardez, la chauve sourit, au lieu de dire, regardez là, Laure sourit, c'est alors qu'elle a rompu et je ne l'ai jamais revu. Au derrière nouvelle elle serait toujours chauve et ne sourit plus.
- Effectivement, c'est une drôle d'aventure.
Le Pépère qui était dans sa petite auto ne vit pas le brigadier repasser.
Par contre, il vit le cochon qui était repartit vers sa voiture.
- Toc toc toc, que fait il, mais où est le gendarme, toc toc toc, cet homme vole une voiture, toc toc toc.
- Fle fle fle, mais qu'a-t-il dans les mains, fle fle fle.
- Regarde, Pépère, il a un bidon dans les mains, où a-t-il trouvé ça ?
- Il a dû passer chez ton maître, et récupéré un bidon d'essence il doit être en panne.
Effectivement, l'homme avait trouvé un jerrican sous le hangar du poète et il profitait du malaise du brigadier pour remplir le réservoir du contenu et ainsi s'enfuir beaucoup plus vite qu'il ne l'aurait espéré.
Le Pépère dans sa tête ruminait l'histoire de l'épicerie et il écoutait à moitié ce que les autres disaient. Il mit en arrêt le temps avec sa magie et descendit de la voiture. Il s'en alla vers la cabane du poète et passa devant la maison à Bibou. Il vit le brigadier et eu peur. Il remit le temps en marche et constata qu'il ronflait.
Ses amis dans la voiture durant cette brève remise en route du temps ne s'aperçurent de rien.
Il partit ensuite vers la cabane du poète. Monté sur la chaise, il le vit derrière son bureau immobile comme une statue, croissant en main.
- Hé bien, pendant que nous mourrons de faim nous autres, il se fait des orgies de croissants. Mais je comprends, c'est ma soûlarde déguisée en poète.
Il ouvrit la porte en se penchant et en appuyant sur la poignée. Il l'ouvrit juste de quoi passer son derrière et fit un pet immonde avant de refermer la porte en donnant un violant coup de patte arrière.
- Tiens, l'aubergine des marchés de Lourdes, cadeau de bouboule dit la fifille. Brise de campagne façon fleur d'intelligence intestinale.
Il repartit ensuite vers l'épicerie en coupant à travers le bois. Il savait en empruntant ce chemin que seulement une centaine de mètres le séparait du terrain.
Arrivé devant le commerce, il vit au loin, immobile comme des statues eux aussi, le général Picolle et le président de la République.
- Tiens, c'est bizarre ça, que font-ils ici sans aucun moyen de transport. Alors, à nous deux marque-pages pour carte des vins. Où es-tu vilaine, Pépère vient te donner une bonne leçon.
Il entra et vit la femme immobile derrière son comptoir, ses longs cheveux roux dans le vide.
Il tira une chaise et monta dessus et commença par lui faire des nœuds dans les cheveux.
- Voilà, chevelure, Chatchat Distel, des pommes des poires et des scoubidous, tout roux, chat chat chat. Tu vas voir, un gros chat gris avec le bout des pattes blanches une espèce de sosie de Pépère qui sentait très mauvais qui miaulait comme une fifille que je soupçonne d'être cette fifille qui s'était déguisée en humain.
Bon allons voir la rôtissoire.
Hum, mes amours, je vous love, love, love, que vous êtes belles mes amours. Bon, déjà lequel va avoir l'honneur de rendre hommage aux dents les plus célèbres de France.
Le Pépère mangea un poulet entier avant de faire un caca sous la rôtissoire.
- Alors ça, c'est cadeau crème glacé d'intelligence, marque, le colon de Pépère, chat chat chat. Chat où t'es où as-tu mis ton caca chat chat où t'es, chat chat chat. À bientôt vilaine je vais t'apprendre la politesse squelettor bis. Le Pépère était content de lui et s'en retourna vers ses amis.
 
#2
Les hommes du pentagone derrière la maison à Cookie n'avaient toujours pas constaté de nouveaux phénomènes. Ils observaient le brigadier Tatouvu dans l'allée et se demandaient bien ce qu'il était en train de faire.
Le Pépère avait à peine eut le temps de rentrer dans sa voiture que l'homme qu'il venait de laisser était reparti dans l'allée du poète.
De passage à l'épicerie, en interrogeant sa cousine, il en avait profité pour boire et l'alcool faisant son effet, il était totalement désorienté. Il lui semblait de mémoire avoir vu un chat partir vers chez le poète.
L'un des Américains partit le long de la clôture et interpella le gendarme.
- Hello, I'm Lieutenant Gordon, what are you looking for?
Le brigadier se retourna et lui répondit.
- Hello do you speak martien ? Où êtes-vous des réfugiés Syriens. You speak le French mec?
- Go get fucked, Syrian yourself OK. You speak French all right?
- Ha turkey OK bin mon gaillard les camps sauvages de migrants sont interdit ici. Un deuxième homme s'approcha et dit au gendarme.
- Monsieur bonjour que cherchez vous ici. Excusez mon collègue, il ne parle pas le France.
- Ah bon, n'empêche que les camps sauvages soient interdits dans le secteur alors dégagé où j'appelle mes corps lègues hic de la brigade de Sancoins.
- You can sit on it OK ! Nous sommes des agents fédéraux du pentagone OK !!
- Ah bon bin vous voulez boire un verre avec moi de notre excellent breuvage, je viens d'en prendre une caisse chez ma cousine, hic.
- Écoutez vous, nous sommes agents fédéraux et l'alcool it's not like.
- Tu parles, tu vas liker mon gaillard quand mes potes de la Romaine vont bragader ici, hic.
Les hommes s'apercevant que l'homme était à moitié ivre, s'en allèrent dans leur tente.
Le brigadier, resta un moment à vaciller et c'est à cet instant qu'il crut voir le cochon.
En fait ce n'était pas une hallucination, c'était bien lui.
L'homme s'était caché dans la cabane à Bibou et en était sorti pour voir si la voie était libre.
C'est alors que le brigadier partit en titubant au fond du terrain où il pensait avoir aperçu l'homme.
Il se mit à prospecter et se retrouva dans le fond du pré où il y avait des chats en plâtres de décoration et des canards en plâtre.
Il pensa aussitôt au faux Pépère qui était passé chez sa cousine.
Il sortit son arme et s'écria ;
- Au rond du bois, hic vous êtes en droit de gestation hic. Vous pouvez également garder la faïence, je m'en cogne hic. Où est votre complice le terrorisque, le faux gras, hic, chat, huant, hic garagiste, puant hic, le prospère hic, Pépère le terroriste boulet hic des poulets.
Le brigadier voyant que les animaux ne réagissaient pas partit en courant vers la cabane de Bibou.
Arrivé dans l'entrée, il tomba nez à nez avec cochon qui s'apprêtait de s'enfuir. Le pauvre brigadier qui avait eut la peur de sa vie se demandait bien se qui se passait. L'alcool et l'effort qu'il venait de faire, aidant, lui tournait la tête et il tomba inanimé sur la paillasse de Bibou.
- Yes, Enrich, tu es le plus fort, on ne lâche rien. Le gugus a dû me reconnaître et il est tombé dans les pommes. Ça, c'est vraiment trop fort, quand je vais le raconter aux autres, ils ne me croiront pas. Tiens je vais le balancer sur Facebook lol.
L'homme fit une photo et la posta sur sa page. Il repartit en passant derrière la haie pour ne pas être aperçu par les Américains justes en face de lui.
Pendant ce temps-là, le général et le président attendaient toujours que sœur Mathilde revienne de Sancoins.
- Écoutez, mon maréchal, si cette soûlarde de bas étage ne se dépêche pas, je lui colle cent vingt ans de chaise électrique. Et puis votre brigadier que faut-il, pourquoi n'est-il toujours pas revenu. Il ne me semblait pas très propre tout à l'heure, j'ai comme l'impression qu'il est alcoolisé. Il disait voir les messages en double sur son téléphone.
- Écoutez général ne vous inquiétez pas comme ça, il est parti depuis à peine une demi-heure. Quant à son histoire de double vue, c'est bizarre, car il n'a pas de cheveux frontal alors il ne le devrait pas.
- C'est une marotte votre cheveu ce n'est pas possible, peut-être qu'il n'y a pas le feu, mais nous sommes là à attendre pendant que la chatte de l'agent Fripouille est en danger.
- Ça, c'est drôle, ce que vous dites, l'histoire du feu. Sachez que mon cheveu m'a traumatisé, c'est un fait certain. Car il est responsable d'un échec amoureux, celui de mon premier amour alors que j'avais tout juste treize ans.
- Ha bon, et que s'est-il passé de si grave ?
- Hé bien voilà, c'est à cause du barbecue.
Ce jour-là était celui de mon anniversaire. Ma maman, m'avait autorisé au repas que je désirais. C'est alors que j'ai eu l'idée de déguster des cordons-bleus au barbecue. Le soir même, je devais aller voir une tendre amie dont je vous l'avoue, j'en fus tombé amoureux grâce à mon cheveu. Oui, la douce faisait des jeux vidéos sur ce qui fut l'ancêtre de la Nintendo, l'atari. Elle faisait un jeu où un point, qui était supposé être un prince charmant se déplaçait dans les dédales d'un labyrinthe. La pauvre n'y arrivait pas, car ce jeu forçait les yeux à la bigloucherie. C'est alors que je me suis proposé avec galanterie de l'aider. Ayant la capacité de voir au milieu et sur les côtés en même temps, cet avantage d'une vue en 3D m'aidait et je réussit donc à passer tous les niveaux et elle se retrouva numéro un mondial de vitesse à ce jeu. Oui, je n'ai jamais dit l'avoir aidé et elle s'en prétendît être la joueuse de cette partie. Elle était tombée amoureuse de moi et l'on devait se rencontrer le soir de mon anniversaire. Après l'orgie de cordon-bleus au barbecue, mon père m'emmena chez elle et me laissa. C'est plus tard dans la soirée en voulant l'embrasser que j'ai penché la tête à cent quatre-vingts degrés pour y arriver et que j'ai mis le feu aux rideaux de la salle de séjour.
- Très étrange, je n'entends pas le rapport avec votre cheveu frontal mon maréchal.
- J'y viens, ne vous en inquiétez pas. Voilà, il faut savoir que ce cheveu était quasiment indestructible par le feu. Il aurait fallu au moins une semaine pour qu'il brûle entièrement. En prenant mes friandises sur le barbecue celui-ci a touché la braise et s'est mit à se consumer. Lorsque que j'ai voulu embrasser la douce, il s'en fut d'aventure à toucher les rideaux et ils se sont enflammés. Oui, nous étions contre la fenêtre. C'est alors que son père est arrivé avec des seaux d'eau en faisant la chaîne. C'est moi qui jetais l'eau et comme je louchais, je les jetais sur ma dulcinée. Du coup, nous avons dû fuir la maison et quand les pompiers sont arrivés elle était en cendre. Ma promise quant à elle, à ses cheveux qui ont cuit sous l'action des seaux d'eau que je lui aie jetés et deux jours plus tard elle était chauve. Déjà très agacée après moi, deux jours plus tard, j'ai fait une bévue en la visitant à l'hôpital. Je m'apprêtais à lui dire devant ses parents, regardez Laure va mieux, regardez, la chauve sourit, au lieu de dire, regardez là, Laure sourit, c'est alors qu'elle a rompu et je ne l'ai jamais revu. Au derrière nouvelle elle serait toujours chauve et ne sourit plus.
- Effectivement, c'est une drôle d'aventure.
Le Pépère qui était dans sa petite auto ne vit pas le brigadier repasser.
Par contre, il vit le cochon qui était repartit vers sa voiture.
- Toc toc toc, que fait il, mais où est le gendarme, toc toc toc, cet homme vole une voiture, toc toc toc.
- Fle fle fle, mais qu'a-t-il dans les mains, fle fle fle.
- Regarde, Pépère, il a un bidon dans les mains, où a-t-il trouvé ça ?
- Il a dû passer chez ton maître, et récupéré un bidon d'essence il doit être en panne.
Effectivement, l'homme avait trouvé un jerrican sous le hangar du poète et il profitait du malaise du brigadier pour remplir le réservoir du contenu et ainsi s'enfuir beaucoup plus vite qu'il ne l'aurait espéré.
Le Pépère dans sa tête ruminait l'histoire de l'épicerie et il écoutait à moitié ce que les autres disaient. Il mit en arrêt le temps avec sa magie et descendit de la voiture. Il s'en alla vers la cabane du poète et passa devant la maison à Bibou. Il vit le brigadier et eu peur. Il remit le temps en marche et constata qu'il ronflait.
Ses amis dans la voiture durant cette brève remise en route du temps ne s'aperçurent de rien.
Il partit ensuite vers la cabane du poète. Monté sur la chaise, il le vit derrière son bureau immobile comme une statue, croissant en main.
- Hé bien, pendant que nous mourrons de faim nous autres, il se fait des orgies de croissants. Mais je comprends, c'est ma soûlarde déguisée en poète.
Il ouvrit la porte en se penchant et en appuyant sur la poignée. Il l'ouvrit juste de quoi passer son derrière et fit un pet immonde avant de refermer la porte en donnant un violant coup de patte arrière.
- Tiens, l'aubergine des marchés de Lourdes, cadeau de bouboule dit la fifille. Brise de campagne façon fleur d'intelligence intestinale.
Il repartit ensuite vers l'épicerie en coupant à travers le bois. Il savait en empruntant ce chemin que seulement une centaine de mètres le séparait du terrain.
Arrivé devant le commerce, il vit au loin, immobile comme des statues eux aussi, le général Picolle et le président de la République.
- Tiens, c'est bizarre ça, que font-ils ici sans aucun moyen de transport. Alors, à nous deux marque-pages pour carte des vins. Où es-tu vilaine, Pépère vient te donner une bonne leçon.
Il entra et vit la femme immobile derrière son comptoir, ses longs cheveux roux dans le vide.
Il tira une chaise et monta dessus et commença par lui faire des nœuds dans les cheveux.
- Voilà, chevelure, Chatchat Distel, des pommes des poires et des scoubidous, tout roux, chat chat chat. Tu vas voir, un gros chat gris avec le bout des pattes blanches une espèce de sosie de Pépère qui sentait très mauvais qui miaulait comme une fifille que je soupçonne d'être cette fifille qui s'était déguisée en humain.
Bon allons voir la rôtissoire.
Hum, mes amours, je vous love, love, love, que vous êtes belles mes amours. Bon, déjà lequel va avoir l'honneur de rendre hommage aux dents les plus célèbres de France.
Le Pépère mangea un poulet entier avant de faire un caca sous la rôtissoire.
- Alors ça, c'est cadeau crème glacé d'intelligence, marque, le colon de Pépère, chat chat chat. Chat où t'es où as-tu mis ton caca chat chat où t'es, chat chat chat. À bientôt vilaine je vais t'apprendre la politesse squelettor bis. Le Pépère était content de lui et s'en retourna vers ses amis.
Mon passage préfère. Celui du cheveux du président
Vraiment hilarant.
Vivement ce soir pour de nouvelles aventures
Amicalement
Gaby
 
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