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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Sur Charnïa, la journée complète avait été utilisée à satisfaire les exigences de Pépère. Turbo se prenait vraiment pour lui et n'en pouvait plus. Il se goinfra de poulet une bonne partie de l'après-midi avant d'aller voir la construction de sa statue. Il là trouvait magnifique, il regrettait juste au fond de lui qu'elle ne le représente pas lui-même en tant que Turbo, il fit une photo de l'ensemble qui était encore en construction. Il était impatient de la voir terminée et râlait comme savent se plaindre les enfants gâtés. Il partit ensuite avec sa soucoupe volante pour voir où en était la construction du panneau à leds qui devait le porter aux gloires de l'univers. Il le trouva un peu petit malgré sa taille gigantesque. Il revint sur Charnïa et demanda si l'on avait fabriqué son trône en or avec ses initiales. Il fut agréablement surpris de voir que celui-ci était fini et qu'il était comme il l'avait désiré incrusté de rubis. Il récupéra ensuite la paire de Nike qu'il avait demandé avec des semelles recouvertes d'or et des leds qui écrivaient sur le talon, Pépère, le super-héros. Il était content de sa journée et pour la finir en beauté, il demanda que soit tiré en son honneur un gigantesque feu d'artifice.
Un œil et Isidore étaient un peu contrariés et auraient aimé qu'on parle d'eux aussi. Après tout, ils avaient aussi contribué à la réussite de la dernière bataille derrière Franïadus. Seul Pépère était glorifié et cela les embêtait un peu.
Dans le champ à Cookie, Chatdore était toujours en plein délire et crânait devait Sybage et Ainos sous la bienveillance de Lucie qui adorait ses histoires.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire la bonne du curé. Mais ça a fait un tube pour soûlard. Du coup, le tube d'aspirine pour varicelle des orteils s'est pris pour un poète.
- Ha bon, mais il est poète non, c'est Lolo, mon chatmoureux qui me l'a affirmé.
- Hé bien, Sybage, tu te trompes figure toi qu'il vole les poèmes à Pépère qui est le célèbre Guillaume Pépère, l'un des plus grands poètes de notre époque. Grâce à l'un de ses poèmes une grande marque d'électroménager à repris la tête des ventes. En plus, ils en ont profité pour faire la pub pour la vinasse du soûlard qui bien sûr a affirmé avoir écrit le fameux poème. En cadeau, ils lui ont donné un appareil et un camion de vinasse en paiement et le pauvre Pépère n'a rien eu du tout. Enfin si, un soir, il lui a donné les reste d'un pot de garbure de deux kilos qu'il venait d'ingurgiter, enfin les rogatons et les os.
- Hii, hé bien mon méga love Chatdore, c'est une drôle d'histoire, mais quel est donc cet appareil qu'il a venté le Pépère.
- Hé bien, ma copine écoute ces vers qui sont les plus beaux de la langue française depuis Hector Gigot, accroche toi ma copine.
C'est d'un soir de chaleur.
Où j'étais dans le malheur
Que j'ai trouvé le bonheur
Arrivant ce soir là tout en sueur
Chercher une bière dans le réfrigérateur...
Voilà ma copine et ces vers magnifiques sont écrit Guillaume pépère.
- Whaaaaa, c'est génial mon méga love Chatdore, tu aurais pu les écrire, j'en suis certaine.
Le président à la brasserie dit à Pépère, vos histoires sont à peine croyable.
- Écoutez pépère dit toujours la vérité, seulement de peur que l'on ne me croit pas, j'atténue énormément mes histoires qu'elles sont vraies réelles, pas fausses. C'est pour ça que des fois elle paraissent étranges.
- Apparemment, vous êtes imbattable Pépère dans tout ce que vous réalisez.
- Oui je suis le plus beau des chats c'est même rien dire un vrai pacha oui monsieur le président vous l'avez compris J'suis délaissé et incompris Et j'tape dans l'rap Je viens de TrappesEt ma maman c'est la plus belle Même qu'elle est fée d'une citadelle. Excusez-moi, je me laisse emporter.
- C'est trop bien mon copain, rajouta Lolo, ça mérite un verre non.
- Hé bien, alors monsieur Lolo, moi, je boirais un café. Je ne ferais pas sauter les bouchons de champagne, ajouta le président.
- Hé bien ça me rappelle l'histoire des bouchons en ciment de mon alcoolique.
- Ha, bon Pépère, quelle est encore cette nouvelle histoire.
- Que, je vous raconte l'histoire et vous allez comprendre. Un soir, la soûlarde arrive dans le gourbi de mon déjanté des dents du milieu. Il la regarde et lui dit, c'est bizarre, on dirait que tu as rétrécie. Ce à quoi elle lui répond, si tu picolais moins, tu n'aurais pas des hallucinations. Puis, elle sort et m'appelle. Je me suis dit ça y est, c'est reparti pour un tour de harnais. Elle me dit, mon gentil minet, j'ai un service à te demander, tu vas décharger la dacia. Elle avait ramené tout le vin nucléaire qu'elle stockait à la brigade. Il lui demande pourquoi elle a ramené le vin. Elle lui dit que sa copine Josiane vient régulièrement dans les caves de la brigade pour lui en voler. Je décharge donc le vin sous le regard de mes deux bâtons de sucette au concombre sous les célèbres, vas-y Pépère, encore une caisse, vas-y Pépère. Puis lui viens contrôler les caisses et dit tout bas. Ça, c'est une bonne idée, j'ai la réserve à présent. Le lendemain, il me dit sous prétexte de démontage d'une culasse qu'il a besoin que je lui fabrique un extracteur. J'ai trouvé ça curieux, car c'est moi qui fais la mécanique. Je fais l'outil et je le retrouve dix minutes plus tard dans les cartons de vin nucléaire avec l'extracteur. Puis, il retourne dans son capharnaüm et il reçoit un coup de fil de sa soûlarde qui lui dit qu'elle doit aller voir dosiste qui est un spécialiste du dos et un rapetisseur qui est un maître de l'étirement des gens qui ont rétrécis. Lui, il lui annonce avoir une allergie au ciment. Là, elle lui répond, hé soûlard, tu n'aurais pas tapé dans la réserve du vin nucléaire par hasard ? Il lui dit ne pas entendre ce qu'elle dit, car il y a du bruit. Il lui semblait que c'était une bétonnière. C'était bien l'objet en question et s'était son ami portugais qui s'en servait dans son appartement pour lui rendre service.
- Hé, bien Pépère, il faut vous suivre, quel est le rapport avec les bouchons.
- Hé bien voilà monsieur le président, les bouchons des bouteilles de vin nucléaire étaient en ciment. C'était une invention de sa soûlarde pour que mon Pygmée indonésien ne puisse pas les ouvrir. C'est pour ça qu'il m'avait fait faire un extracteur. De son côté, sa soûlarde avait bien rétréci du dos à force de porter des sacs de ciment. Voilà pourquoi son ami portugais était là pour faire le ciment des bouteilles de vinasse nucléaires.
- Ouf, quelle histoire tout de même.
 

Pièces jointes

Cortisone

Maître Poète
#2
Sur Charnïa, la journée complète avait été utilisée à satisfaire les exigences de Pépère. Turbo se prenait vraiment pour lui et n'en pouvait plus. Il se goinfra de poulet une bonne partie de l'après-midi avant d'aller voir la construction de sa statue. Il là trouvait magnifique, il regrettait juste au fond de lui qu'elle ne le représente pas lui-même en tant que Turbo, il fit une photo de l'ensemble qui était encore en construction. Il était impatient de la voir terminée et râlait comme savent se plaindre les enfants gâtés. Il partit ensuite avec sa soucoupe volante pour voir où en était la construction du panneau à leds qui devait le porter aux gloires de l'univers. Il le trouva un peu petit malgré sa taille gigantesque. Il revint sur Charnïa et demanda si l'on avait fabriqué son trône en or avec ses initiales. Il fut agréablement surpris de voir que celui-ci était fini et qu'il était comme il l'avait désiré incrusté de rubis. Il récupéra ensuite la paire de Nike qu'il avait demandé avec des semelles recouvertes d'or et des leds qui écrivaient sur le talon, Pépère, le super-héros. Il était content de sa journée et pour la finir en beauté, il demanda que soit tiré en son honneur un gigantesque feu d'artifice.
Un œil et Isidore étaient un peu contrariés et auraient aimé qu'on parle d'eux aussi. Après tout, ils avaient aussi contribué à la réussite de la dernière bataille derrière Franïadus. Seul Pépère était glorifié et cela les embêtait un peu.
Dans le champ à Cookie, Chatdore était toujours en plein délire et crânait devait Sybage et Ainos sous la bienveillance de Lucie qui adorait ses histoires.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire la bonne du curé. Mais ça a fait un tube pour soûlard. Du coup, le tube d'aspirine pour varicelle des orteils s'est pris pour un poète.
- Ha bon, mais il est poète non, c'est Lolo, mon chatmoureux qui me l'a affirmé.
- Hé bien, Sybage, tu te trompes figure toi qu'il vole les poèmes à Pépère qui est le célèbre Guillaume Pépère, l'un des plus grands poètes de notre époque. Grâce à l'un de ses poèmes une grande marque d'électroménager à repris la tête des ventes. En plus, ils en ont profité pour faire la pub pour la vinasse du soûlard qui bien sûr a affirmé avoir écrit le fameux poème. En cadeau, ils lui ont donné un appareil et un camion de vinasse en paiement et le pauvre Pépère n'a rien eu du tout. Enfin si, un soir, il lui a donné les reste d'un pot de garbure de deux kilos qu'il venait d'ingurgiter, enfin les rogatons et les os.
- Hii, hé bien mon méga love Chatdore, c'est une drôle d'histoire, mais quel est donc cet appareil qu'il a venté le Pépère.
- Hé bien, ma copine écoute ces vers qui sont les plus beaux de la langue française depuis Hector Gigot, accroche toi ma copine.
C'est d'un soir de chaleur.
Où j'étais dans le malheur
Que j'ai trouvé le bonheur
Arrivant ce soir là tout en sueur
Chercher une bière dans le réfrigérateur...
Voilà ma copine et ces vers magnifiques sont écrit Guillaume pépère.
- Whaaaaa, c'est génial mon méga love Chatdore, tu aurais pu les écrire, j'en suis certaine.
Le président à la brasserie dit à Pépère, vos histoires sont à peine croyable.
- Écoutez pépère dit toujours la vérité, seulement de peur que l'on ne me croit pas, j'atténue énormément mes histoires qu'elles sont vraies réelles, pas fausses. C'est pour ça que des fois elle paraissent étranges.
- Apparemment, vous êtes imbattable Pépère dans tout ce que vous réalisez.
- Oui je suis le plus beau des chats c'est même rien dire un vrai pacha oui monsieur le président vous l'avez compris J'suis délaissé et incompris Et j'tape dans l'rap Je viens de TrappesEt ma maman c'est la plus belle Même qu'elle est fée d'une citadelle. Excusez-moi, je me laisse emporter.
- C'est trop bien mon copain, rajouta Lolo, ça mérite un verre non.
- Hé bien, alors monsieur Lolo, moi, je boirais un café. Je ne ferais pas sauter les bouchons de champagne, ajouta le président.
- Hé bien ça me rappelle l'histoire des bouchons en ciment de mon alcoolique.
- Ha, bon Pépère, quelle est encore cette nouvelle histoire.
- Que, je vous raconte l'histoire et vous allez comprendre. Un soir, la soûlarde arrive dans le gourbi de mon déjanté des dents du milieu. Il la regarde et lui dit, c'est bizarre, on dirait que tu as rétrécie. Ce à quoi elle lui répond, si tu picolais moins, tu n'aurais pas des hallucinations. Puis, elle sort et m'appelle. Je me suis dit ça y est, c'est reparti pour un tour de harnais. Elle me dit, mon gentil minet, j'ai un service à te demander, tu vas décharger la dacia. Elle avait ramené tout le vin nucléaire qu'elle stockait à la brigade. Il lui demande pourquoi elle a ramené le vin. Elle lui dit que sa copine Josiane vient régulièrement dans les caves de la brigade pour lui en voler. Je décharge donc le vin sous le regard de mes deux bâtons de sucette au concombre sous les célèbres, vas-y Pépère, encore une caisse, vas-y Pépère. Puis lui viens contrôler les caisses et dit tout bas. Ça, c'est une bonne idée, j'ai la réserve à présent. Le lendemain, il me dit sous prétexte de démontage d'une culasse qu'il a besoin que je lui fabrique un extracteur. J'ai trouvé ça curieux, car c'est moi qui fais la mécanique. Je fais l'outil et je le retrouve dix minutes plus tard dans les cartons de vin nucléaire avec l'extracteur. Puis, il retourne dans son capharnaüm et il reçoit un coup de fil de sa soûlarde qui lui dit qu'elle doit aller voir dosiste qui est un spécialiste du dos et un rapetisseur qui est un maître de l'étirement des gens qui ont rétrécis. Lui, il lui annonce avoir une allergie au ciment. Là, elle lui répond, hé soûlard, tu n'aurais pas tapé dans la réserve du vin nucléaire par hasard ? Il lui dit ne pas entendre ce qu'elle dit, car il y a du bruit. Il lui semblait que c'était une bétonnière. C'était bien l'objet en question et s'était son ami portugais qui s'en servait dans son appartement pour lui rendre service.
- Hé, bien Pépère, il faut vous suivre, quel est le rapport avec les bouchons.
- Hé bien voilà monsieur le président, les bouchons des bouteilles de vin nucléaire étaient en ciment. C'était une invention de sa soûlarde pour que mon Pygmée indonésien ne puisse pas les ouvrir. C'est pour ça qu'il m'avait fait faire un extracteur. De son côté, sa soûlarde avait bien rétréci du dos à force de porter des sacs de ciment. Voilà pourquoi son ami portugais était là pour faire le ciment des bouteilles de vinasse nucléaires.
- Ouf, quelle histoire tout de même.
N'ayant pas le temps de lire ce brave pépère ce soir je me ferai un plaisir de le lire demain matin