Le parfum d’une rose embaume le silence
De l’Éden, l’immense jardin.
Ma mémoire est troublée et sent la violence
Des mots marqués par le dédain.
De l’Éden, l’immense jardin.
Ma mémoire est troublée et sent la violence
Des mots marqués par le dédain.
Le désir de ton cœur souffre de l’excellence
Sous les traces d’un baladin,
Et je lis dans tes yeux la pénible insolence
D’un abominable gredin.
Sous les traces d’un baladin,
Et je lis dans tes yeux la pénible insolence
D’un abominable gredin.
Dans mon âme résonne un espoir de poète
Traçant sur la page des vers ;
Avec lui mon chagrin, dans l'oubli se reflète.
Traçant sur la page des vers ;
Avec lui mon chagrin, dans l'oubli se reflète.
Je déplore mes noirs hivers,
Sur cette heure inventive à la voix désuète
Qui se meurt dans cet univers...
Sur cette heure inventive à la voix désuète
Qui se meurt dans cet univers...
Maria-Dolores