Deux émeraudes vertes comme un pré l'Été,
J'ai trempe mon regard à l'encre des bords dentes
Plongeant mes cils en tes prunelles aux iris noires
Je baigne en elles, tel des rais en mer Noire. .
J'aime tes yeux profonds comme des abysses,
Ils trahissent tes désirs, tes emois,
tes yeux sont malices,
Je les soutiens des miens pour lire en toi,
Le sexe n'est jamais ou on le croit
Ni où ou le voit, il chante tel un trouvere,
Et moi, comme Un Botticelli, ressemblant à son coquillage ouvert
Venus, venant au monde, vois -tu l'impact sur moi.
Ils influent sur mon désir de me laisser croquer par tes réverbères,
Et je me laisse, te laisse faire,
Non lassée réclamant gîte et couvert,
Couverte un vibrato de deux hémisphères
L'intensité est puissante, devenant aveugle et sans résistance....
J'ai trempe mon regard à l'encre des bords dentes
Plongeant mes cils en tes prunelles aux iris noires
Je baigne en elles, tel des rais en mer Noire. .
J'aime tes yeux profonds comme des abysses,
Ils trahissent tes désirs, tes emois,
tes yeux sont malices,
Je les soutiens des miens pour lire en toi,
Le sexe n'est jamais ou on le croit
Ni où ou le voit, il chante tel un trouvere,
Et moi, comme Un Botticelli, ressemblant à son coquillage ouvert
Venus, venant au monde, vois -tu l'impact sur moi.
Ils influent sur mon désir de me laisser croquer par tes réverbères,
Et je me laisse, te laisse faire,
Non lassée réclamant gîte et couvert,
Couverte un vibrato de deux hémisphères
L'intensité est puissante, devenant aveugle et sans résistance....
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