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Pépère le chat du poète. Suite. 13 septembre

#1
Dans la maison du poète, Momo présentait que quelques choses n'allaient pas comme il fallait. Le soleil tapait sur la paillasse où il était couché avec Mimine, Bouillette et Bibou.
-Diantre, quel phénomène se produit il pour que nous ayons ainsi de la lumière à cette heure. Laissons la troupe dormir et sortons dehors pour enquêter. Je suis tout de même curieux de voir cette statue qu'érigent les travailleurs là-bas. Dormez mes braves amis, je m'en quérir la vérité en ces lieux plus loin.
Les hommes étaient dans le champ étaient non loin de Cookie. Ils avaient revêtu des combinaisons jaunes avec un drôle de sigle. Ils regardaient les juments dans une attention qui n'était pas très rassurante pour les animaux. Ils avaient revêtu des combinaisons jaunes avec un drôle de sigle.
- Maman moi peur, maman moi peur.
Cookie hennissait, Rookie s'était réfugié dans sa maison. Chatdore était resté entre les sabots de Lucie et prêt à affronter le danger. Les hommes avaient pour ordre d'essayer de faire une piqûre hypodermique à Cookie pour pouvoir l'osculter avec des appareils très sophistiqués. Sybage dans la cabane entendait le remue-ménage et se demandais bien ce qui se passait. L'homme était sorti et avait le téléphone à la main.
- Oui chérie, je t'assure des combinaisons contre les radiations nucléaires. Je me demande aussi. Oui, chérie attend, je vais essayer de me renseigner. À tout à l'heure chaton.
Puis, il retourna à son bureau et brancha un téléphone et s'accroupissant, il dit à Sybage.
- Reste là Sybage, c'est peut-être dangereux pour toi. Je reviens tout de suite.
- J'ai peur pour mon cousin turbo.
Lui répondit-elle.
- Rassure-toi, je reviens, je vais voir ce que veulent ces hommes.
Dans la brasserie, l'ambiance était détendue. Tout le monde était concentré sur Pépère qui prenait tout l'espace à lui tout seul et personne ne s'était rendu compte que dehors le soleil était à midi alors qu'il était en réalité 19h00. Le Pape arriva à ce moment-là. Il était plutôt pâle et les pommettes légèrement rouges. Le ministre le vit arriver et lui dit.
- Alors mon Père comment allez-vous ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a trop bu, on dirait, lol.
- Non mon fils tout va très bien seulement, j'ai un peu mal à la tête. Je dois rejoindre notre brave curé qui me fait demander pour assister à la dernière représentation de la pièce de théâtre par ces petits protégés. Aurais-je loupé quelques anecdotes croustillantes de mon père spirituel Pépère ?
- Oh oui mon ami, vous avez manqué de savoureuses histoires. Tous plus passionnantes l'une que l'autre.
-Vous devriez prendre une aspirine.
Lui répondit le ministre.
- C'est ce que je vais faire prestement mon fils.
-Qu'en pensez-vous Pépère.
- C'est moi qui l'aie inventé pour les tricératops. Heu, oui pardon je raisonne tout haut oui faites-vous préparer une aspirine.
Le ministre regarda Pépère et il lui dit.
- Attendez, vous disiez à l'instant que vous aviez inventé l'aspirine pour les tricératops ?
- Hé bien oui, monsieur.
- Racontez moi cette histoire s'il vous plaît.
- Hé bien voilà pour situer l'histoire. J'étais remonté jusqu'au jurassique pour faire des relevés pour monsieur Google pour les cartographies GPS pour les animaux qui partaient en voyage. Il faut savoir que beaucoup se sont perdus et n'ont jamais retrouvé leur maison. Où bien simplement en allant chez le coiffeur. Oui, ces animaux avaient un minuscule cerveau. D'ailleurs, les tricératops passaient leur temps à se plaindre de migraine. Pour eux, j'ai inventé le scanner et ils étaient surveillés dans les plus prestigieuses grottes hôpital du jurassique. Personne ne trouvait d'où venait leur mal. C'était assez curieux. J'en ai suivi quelques-uns pour savoir de quoi, il en retournait et j'ai compris. Il faut comprendre que les tricératops était fan de musique électronique et la nuit, ils organisaient des raves-party sauvages. J'ai alors inventé l'aspirine pour les soulager voilà l'histoire messieurs, alors c'est qui le plus fort...


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