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Brume matinale.

#1
Brume matinale.

De la chaleur du froid que tisonne le soir
L'hiver avec ardeur, naît une douceur digne
D'un prélude de Bach, une sublime ligne,
Qui paraît infini comme fleurit l'espoir,

Et l'écrivain qui rêve au fond de son boudoir
Peut à loisir pourtant sans produire aucun signe
Parler de ce fantôme aux allures d'un cygne
Qui dérive sur l'air où le vent vient s'asseoir ;

Cet éclair de beauté, t'irait si bien bel ange
Toi qui t'habilles, sûr, de l'automne et mélange
Ses ors à tes cheveux quand se glace l'été,

Et imaginatif, je vois bien cette robe
Que le soleil frileux tôt le matin dérobe
Sur ton dos, bel amour, en étant habillé...

Daniel Beau le poète rêveur
13 janvier 2022
Inknotpad
Google Chrome
08:09
 

lebroc

Maître Poète
#2
Brume matinale.

De la chaleur du froid que tisonne le soir
L'hiver avec ardeur, naît une douceur digne
D'un prélude de Bach, une sublime ligne,
Qui paraît infini comme fleurit l'espoir,

Et l'écrivain qui rêve au fond de son boudoir
Peut à loisir pourtant sans produire aucun signe
Parler de ce fantôme aux allures d'un cygne
Qui dérive sur l'air où le vent vient s'asseoir ;

Cet éclair de beauté, t'irait si bien bel ange
Toi qui t'habilles, sûr, de l'automne et mélange
Ses ors à tes cheveux quand se glace l'été,

Et imaginatif, je vois bien cette robe
Que le soleil frileux tôt le matin dérobe
Sur ton dos, bel amour, en étant habillé...

Daniel Beau le poète rêveur
13 janvier 2022
Inknotpad
Google Chrome
08:09
Je reste admiratif en lisant tes poèmes
Un beau talent a service de la poésie
Belle journée
 

GABY73

Maître Poète
#3
Brume matinale.

De la chaleur du froid que tisonne le soir
L'hiver avec ardeur, naît une douceur digne
D'un prélude de Bach, une sublime ligne,
Qui paraît infini comme fleurit l'espoir,

Et l'écrivain qui rêve au fond de son boudoir
Peut à loisir pourtant sans produire aucun signe
Parler de ce fantôme aux allures d'un cygne
Qui dérive sur l'air où le vent vient s'asseoir ;

Cet éclair de beauté, t'irait si bien bel ange
Toi qui t'habilles, sûr, de l'automne et mélange
Ses ors à tes cheveux quand se glace l'été,

Et imaginatif, je vois bien cette robe
Que le soleil frileux tôt le matin dérobe
Sur ton dos, bel amour, en étant habillé...

Daniel Beau le poète rêveur
13 janvier 2022
Inknotpad
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08:09

Le premier vers me surprend agréablement
Merci Daniel
Amicalement
Gaby