Époussetant les bleus de la mère Françoise ou arme terrible à l’encontre de l’arme fleur (pastiche)
D’une plume réveillée, j’ai convolé,
Comme un roi mage émasculé,
Trouvé dans un p’tit espace que je toise,
Époussetant les bleus de la mère Françoise.
Respirez aux feux quand la blancheur se niche,
Cherchez en cachette une belle frime, chiche !
Elle est une permission qui plaît en passion,
L’art de miel enchanté chasse les pressions.
Il fourmille, sonne en été, courtise souvent,
Chance de finesse par une sente poétique,
Avale en tain, mais réclame un bel air ardent,
Trimes en vers réunis en fluos magnifiques.
Il relève dans l'ex place en arabesque,
Comme nappée en une faim familière,
Il méconnaît le bébête à son geste,
Mais l’ami Fred à sa réserve particulière.
Sa plume était d’un effet sur toutes les dames,
Comme on pose les rires pour des armes,
Récolte d’une vie hantée par sa trame,
En air qui désarme mais qui charme.
D’une plume réveillée, j’ai convolé,
Comme un roi mage émasculé,
Trouvé dans un p’tit espace que je toise,
Époussetant les bleus de la mère Françoise.
Respirez aux feux quand la blancheur se niche,
Cherchez en cachette une belle frime, chiche !
Elle est une permission qui plaît en passion,
L’art de miel enchanté chasse les pressions.
Il fourmille, sonne en été, courtise souvent,
Chance de finesse par une sente poétique,
Avale en tain, mais réclame un bel air ardent,
Trimes en vers réunis en fluos magnifiques.
Il relève dans l'ex place en arabesque,
Comme nappée en une faim familière,
Il méconnaît le bébête à son geste,
Mais l’ami Fred à sa réserve particulière.
Sa plume était d’un effet sur toutes les dames,
Comme on pose les rires pour des armes,
Récolte d’une vie hantée par sa trame,
En air qui désarme mais qui charme.